1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 et américains : il s’agit d’un langage phénicien écrit en caractères grecs. 10. Sur la légende de Cadmus, voir Robert Grave
2 lomb (ou Colón) lui furent donnés dans une lettre écrite de Barcelone par Ferdinand et Isabelle le 30 mars 1493 : « Don Cristó
2 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
3 m : le café. C’est là qu’elle se parle d’abord, s’ écrit bien souvent, et se lit. C’est dans les cafés de Hollande que se réun
3 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
4 qu’il manquât de réalisme, au contraire, comme l’ écrit un commentateur : « Il était trop réaliste pour son époque, qui ne l’
5 érémonies se valent donc. « Seul un esprit borné, écrit -il, croit que tous sont tenus de vivre comme lui, et ne prise que ses
6 embarqués sur un seul et même navire. » (Ceci fut écrit , je le rappelle, il y a plus de trois-cents ans.) De l’Essay de Willi
7 cle, et qui n’apporte en six volumes médiocrement écrits pas grand-chose de neuf, sinon la proposition de commencer l’union de
8 oire de mille ans. »37 Un an plus tôt, Hugo avait écrit  : Au xxe siècle, il y aura une nation extraordinaire. Cette nation
9 ais aussi Nietzsche, prédisent le pire. Nietzsche écrit dans la Volonté de Puissance : « Un peu d’air pur ! Il ne faut pas qu
10 la Première Guerre mondiale, Paul Valéry pouvait écrire  : Tout ne s’est pas perdu, mais tout s’est senti périr… Nous autres
11 rter pour le contexte. 22. Dante, De Monarchia, écrit en 1308, en latin, cité d’après la traduction française de B. Landry,
12 5. Le traité de Georges Podiebrad (1420-1471) fut écrit en latin, l’an 1463. Son texte est reproduit dans les mémoires de Phi
13 s Comenius (nom latinisé de Komenski), 1592-1670, écrivit sa Panegersia ou Réveil universel en 1645 et la publia en 1666. La ph
14 41. Paul Valéry, Variété I, La Crise de l’esprit ( écrit en 1919), Paris, 1924. 42. Le comte Richard Coudenhove-Kalergi lança
4 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
15 ie siècle, elle hantait nos esprits. Voici ce qu’ écrit à Catherine de Russie le baron Grimm, gazetier littéraire de Paris, à
16 and, dont le père s’était fait protestant, et qui écrivait en Angleterre des articles pour le New York Herald Tribune. (Ces arti
17 metière… ». Cinquante ans plus tard, J.-P. Sartre écrit  : « L’Europe est foutue… Elle est en grand danger de crever… Elle fai
18 ».) 52. Lettre de Melchior Grimm à Catherine II, écrite en 1790, l’année où Grimm quitte Paris pour se mettre au service de l
5 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
19 t Æneas Silvius au xve siècle. Qu’est-ce qu’on y écrit sur ce sujet ? Je trouve plusieurs dizaines d’ouvrages publiés en deu
20 ope est littéralement la création du tiers-monde, écrit Fanon. Ses richesses ne proviendraient que de ses vols, c’est-à-dire
21 r « l’Europe » des hargnes provinciales. Quand il écrit Europe, il ne pense que France, et quand il pense France, il ne voit