1 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
1 oici dans le train vers Zurich et Innsbruck, et j’ écris sur mes genoux des notes pour mon discours. Du 4 au 7 septembre Alpba
2 qu’une manière de parler, ou plus exactement : d’ écrire . En même temps se répand dans le grand public une crédulité sans limi
2 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
3 es Limites à la croissance » (matérielle) reste à écrire  : je l’intitulerais pour ma part Rapport sur la dégradation des relat
4 emandé Aurelio Peccei. Sur quel thème ? lui ai-je écrit . Et l’on me répond de Rio : « Sur vos derniers travaux, sur ce que vo
5 u de toute équivoque, du rapport que je me mets à écrire sans plus de délai, et qui prendra dans mon esprit la suite logique d
6 erceuses se déclenchent aussitôt autour de moi. J’ écris 16 pages, je ne sais comment, et les envoie aux organisateurs berlino
3 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). III. Venise : colloque sur le fédéralisme, modèle de l’Europe
7 ières toute coopération avec « l’étranger ». J’ai écrit alors : « La différence (entre les deux discours) consiste en ceci :
4 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). IV. Berlin : le second Rapport au club de Rome
8 e au statut de très grave préoccupation » comme l’ écrivent les professeurs Mihajlo Mesarovic et Eduard Pestel. À mon sens, les L
9 ommes et des femmes en tant que citoyens. Comme l’ écrivait Alexandre Marc dès 1934 et comme il le réitère en 1961, « l’état, san