1 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
1 se livrait avec beaucoup de sérieux à des jeux d’ écriture ou de télépathie. Parfois, on arrangeait une fête (comme celle qui fu
2 rles Fourier qu’il venait de recopier d’une belle écriture sage et d’orner de fleurs au crayon de couleur. Fourier était alors s
2 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
3 ts d’une poésie pure. Quels sont les secrets de l’ écriture qui anime ainsi tant d’images, et si variées ? Allons les rechercher
3 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
4 e lui attribue — Histoire qui est le produit de l’ écriture  ! Nul écrivain digne du nom qui ne soit par lui-même événement, et do
4 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
5 ou trois petits livres un peu trop parfaits par l’ écriture et la logique, et son autorité se fondait ailleurs : dans le style de
5 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Pourquoi j’écris (30-31 janvier 1971)
6 de reconstituer l’innocence de mes débuts dans l’ écriture . Écrire est une démangeaison que l’on calme en grattant du papier. C
7 ge bien défini, pour tel objet tout extérieur à l’ écriture , et qui ne dépend nullement du processus de la pensée en train de se
8 -tu ? Je l’ignore et j’y vais ! J’y vais par l’ écriture , qui est ma manière d’enregistrer la poésie dans l’existence. Un pays
9 écrire (idéalement). J’aurai touché à la fin de l’ écriture , ou mieux, j’aurai rejoint ma fin, qui est de me former sur une pensé
10 qui est de me former sur une pensée vécue dans l’ écriture . Au terme de mes livres, où figure le mot fin et juste au-dessous de