1 1948, Réforme, articles (1946–1980). Roger Breuil qui vient de mourir était un grand romancier protestant (13 mars 1948)
1 peut en dire. Voilà le secret de la liberté d’un écrivain qui se voulait fidèle en vérité. De tous les romanciers contemporains
2 ent heureuse, comme exaucée… Il était le meilleur écrivain protestant de nos contemporains (bien que son œuvre soit indemne de t
3 « Roger Breuil qui vient de mourir était un grand écrivain  », Réforme, Paris, n° 156, 13 mars 1948, p. 7.
2 1952, Réforme, articles (1946–1980). Après l’Œuvre du xxe siècle (14 juin 1952)
4 Les sujets que nous avons discutés, que ce soit l’ écrivain dans la cité, l’isolement de l’artiste au temps des « mass médias »,
5 ant terminées. Nous n’avons rien dit des débats d’ écrivains , car après les avoir entendus, il nous a semblé qu’ils étaient dirigé
3 1953, Réforme, articles (1946–1980). « Les écrivains protestants » (11 avril 1953)
6 « Les écrivains protestants » (11 avril 1953)j Fils de pasteur comme les trois sœu
7 man Hesse, Pearl Buck, Curzio Malaparte et tant d’ écrivains scandinaves, américains, allemands, anglais ou hollandais, mais le se
8 e le protestantisme ne saurait me « gêner » comme écrivain , ni plus ni moins que n’ont pu le faire mes appartenances à la Suisse
9 ques, sources du seul langage vraiment commun aux écrivains de toutes les langues et confessions dans le domaine occidental. j
10 nfessions dans le domaine occidental. j. « Les écrivains protestants », Réforme, Paris, n° 421, 11 avril 1953, p. 7. Réponse à