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nt, et tous les problèmes qui en dépendent pour l’
éducation
des enfants, des adultes, et des techniciens. C’est le problème des m
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ogiques » créés dans nos esprits par une mauvaise
éducation
scolaire depuis un siècle, ou résultant de maladies chroniques de not
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ses : 1° Réduire les préjugés, nés d’une mauvaise
éducation
qui accrédite l’illusion générale de l’existence première de « cultur
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esquels se répartissent les secrétariats du CEC :
éducation
, information, recherches. Faire l’Europe, c’est d’abord faire des Eur
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plusieurs de nos pays des expériences-pilotes d’
éducation
européenne prenant appui soit sur le corps enseignant d’une région d
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s l’autre sur les conséquences pour la culture, l’
éducation
et les loisirs de la nouvelle révolution technique que symbolise le t
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furent donc créés sans plus attendre : celui de l’
éducation
et celui des Beaux-Arts. Le premier mit sur pied une série d’expérien
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er mit sur pied une série d’expériences-pilotes d’
éducation
européenne (dont l’exécution devait être confiée dès 1956 au CEC) et
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bourses furent décernées. Un comité d’experts en
éducation
et un jury musical présidèrent au choix des expériences-pilotes et de
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que l’opposition entre la culture générale et une
éducation
spécialisée est le type même du faux problème. Car sans culture occid
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n, par la réduction de la culture générale dans l’
éducation
au profit de la seule formation technique. Dans la première moitié du
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nieurs. Quant à l’URSS, elle subordonne toute son
éducation
scolaire et universitaire à la seule formation technique. Cette forma
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chnique et culture générale dans nos programmes d’
éducation
scolaire et universitaire. Car cela reviendrait à opposer l’arbre et
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ant par la philosophie, les sciences, les arts, l’
éducation
et la morale. L’Europe est très peu de choses plus une certaine cultu
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nt que de raison. Donc une question de culture, d’
éducation
nouvelle. Mais « faire l’Europe » ne veut pas dire seulement réduire
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nos principes et nos valeurs, c’est une affaire d’
éducation
. Contrairement à l’Asie et à l’URSS, l’Europe a toujours voulu former
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n plan commun, d’autre part. Dans le domaine de l’
éducation
civique, par la double exigence du développement de l’esprit critique
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ilosophie, des sciences humaines, et surtout de l’
éducation
. Si les programmes des instituts européens, des chercheurs et des pub
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le respect général et tacite des institutions, l’
éducation
publique, l’échange des opinions individuelles (de préférence contrad
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ménagement du territoire européen, d’urbanisme, d’
éducation
, de formation professionnelle, et de répartition des compétences entr