1 ur les cœurs. Le vrai problème est là. Problème d’ éducation , d’information patiente, de culture. Et le reste viendra par surcroît

2 s, à des politiciens d’inspirer des entreprises d’ éducation , et d’une manière générale à n’importe qui de se prononcer sur n’impo

3 n budget de la défense aux dépens de son budget d’ éducation et de culture saboterait, en vérité, la défense de l’Europe. La jeune

4 ne notion de la personne. On n’y accède que par l’ éducation , laquelle est antérieure et supérieure à l’individu. Nous voulons ici

5 uropéens de se dépasser. Nous travaillons à cette éducation . « Il y a cet immense avenir tout neuf devant nous, qui nous attend e

6 e la création prochaine d’un Bureau européen de l’ éducation des adultes (ou éducation populaire) correspond au même ordre de préo

7 un Bureau européen de l’éducation des adultes (ou éducation populaire) correspond au même ordre de préoccupations. Quant à la sec

8 iétique. À cause de l’ignorance ou de la mauvaise éducation historique de l’opinion et de ceux qui disent la représenter. À cause

9 raintes absurdes, cette ignorance, cette mauvaise éducation historique, et cette inconscience tragique ? Le problème est en réali

10 urel » au sens large du mot : c’est un problème d’ éducation . C’est un problème qu’un organisme comme le Centre a justement pour r

11  : laboratoire européen de recherches nucléaires, éducation populaire, pédagogie sportive, ou encore dialogue Europe-Amérique. Il

12 Éducation européenne (octobre-novembre 1954)s Rien n’est perdu, tout reste

13 vient de se passer prouve une fois de plus que l’ éducation européenne des peuples, de leurs cadres et de leurs élites, reste à f

14 t toutes être rangées sous la rubrique générale d’ éducation européenne. Chacune d’elles constitue un des éléments d’un véritable

15 nid en un jour, toutes affaires cessantes. s. «  Éducation européenne », Bulletin du Centre européen de la culture, n° 6-7, octo

16 les divers domaines des arts, des sciences, de l’ éducation et de la presse. Situer nos problèmes dans le monde d’aujourd’hui, c’

17 ant alors au premier plan les grandes questions d’ éducation et de culture. Ainsi, chaque réussite de la recherche occidentale cré

18 ues et d’éducateurs, prenant pour thème général l’ éducation pour la paix, et pour sujets spéciaux : la connaissance des instituti

19 ologie de l’enfance ; la criminalité juvénile ; l’ éducation du sens de la solidarité humaine ; etc. un séminaire de compositeurs

20 œuvre en profondeur d’information des esprits, d’ éducation du sens civique, et de dés-éducation des préjugés acquis par les élit

21 nich, a été chargé de diriger le département de l’ éducation du CEC. Il nous apporte l’expérience de nombreuses années de travail

22 t la tâche d’organiser et de réaliser le projet d’ éducation européenne récemment élaboré par la Fondation. À partir du 1er janvie

23 EC s’est intéressé dès ses débuts au domaine de l’ Éducation populaire. Une série de rencontres et d’études préalables a permis la

24 mai 1953, et dont est né le Bureau européen de l’ éducation populaire, rattaché au CEC, bien qu’ayant son secrétariat à Bergen, e

25 er, dans le champ si vaste et presque vierge de l’ éducation postscolaire, un courant d’informations et une volonté de formation e

26 rojets. Il se propose de situer le problème d’une éducation pour l’Europe. Historiquement d’abord, afin de montrer comment la sit

27 par le développement d’innombrables entreprises d’ éducation populaire, répondant aux besoins nouveaux de la société technologique

28 er sous un juste éclairage l’esquisse du Projet d’ Éducation européenne de la Fondation. Le texte d’Henri Brugmans, qui leur fait

29 èmes concrets que rencontrera toute tentative « d’ éducation pour l’Europe ». L’essentiel était pour nous de situer le problème et

30 trop souvent le développement si particulier de l’ éducation occidentale au cours des âges : il n’existe pas, à notre connaissance

31 as, à notre connaissance, une seule Histoire de l’ éducation en Europe faisant le point des connaissances actuelles, d’un point de

32 it existé « de tout temps » et qu’elle suffit à l’ éducation des jeunes, alors qu’elle n’a guère que cent à cent-cinquante ans d’â

33 anée, dans tous nos pays, d’entreprises privées d’ éducation populaire (ou adult education) qui essaient de subvenir à ses carence

34 présenter déjà, et en lui-même, un premier acte d’ éducation européenne ! Et veuille le lecteur averti excuser les imperfections m

35 tin du Centre européen de la culture : « Pour une éducation européenne », Genève, n° 4, avril-mai 1956, p. 1-2.

36 -il une conception spécifiquement européenne de l’ éducation  ? La question n’est nullement « académique ». Car s’il existe une

37 enables à cette fin : c’est dire que la méthode d’ éducation doit être elle-même « européenne ». Précisons cela par une rapide com

38 ortant sur les buts généraux de diverses formes d’ éducation au cours des âges. Éduquer l’homme, dans tous les temps et dans toute

39 troisième caractère spécifiquement européen de l’ éducation réside dans notre volonté d’étendre à tous les hommes, sans distincti

40 il n’en demeure pas moins l’idéal directeur d’une éducation méritant d’être nommée européenne. Sera « bon Européen » l’homme qui

41 istant en URSS (pour 33 universités seulement). L’ éducation technique se divise en cinq branches principales, qui se subdivisent

42 rétés par le Parti et son État, qui déterminent l’ éducation , ou pour mieux dire, le dressage utilitaire de l’individu. Nous somme

43 ation des élites futures. L’idéal directeur d’une éducation spécifiquement européenne apparaît alors bien clairement : il est de

44 le nom de personne, et qui reste le but de toute éducation non seulement en Europe mais pour l’Europe. Former des responsable

45 esponsable, il ne suffirait pas de juxtaposer une éducation libre et un dressage autoritaire, ni de les faire alterner, ni de com

46 e et les rend illusoires. Il en résulte que toute éducation pour la liberté manquera son but si elle n’est pas en même temps et d

47 n’est pas en même temps et du même mouvement une éducation du sens de la responsabilité. Ceci posé, il faut bien constater que,

48 t faire, et qu’il fait quelque chose de réel. Une éducation véritable, préparant le jeune homme à devenir responsable (au sens le

49 général, du premier effort nécessaire en vue de l’ éducation des citoyens qui feront et vivront notre fédération. Il va de la réal

50 élite de responsables ; mais pas d’élite sans une éducation qui oriente l’individu dans le monde actuel et qui l’intègre d’une ma

51 struction y prend toute la place, aux dépens de l’ éducation . Il convient donc de se tourner vers l’Éducation populaire, c’est-à-d

52 ’éducation. Il convient donc de se tourner vers l’ Éducation populaire, c’est-à-dire vers les formes d’enseignement plus concrètes

53 tin du Centre européen de la culture : « Pour une éducation européenne », Genève, n° 4, avril-mai 1956, p. 32-41. Ce texte est pr

54 dent ont esquissé à grands traits un tableau de l’ éducation en Europe, et signalé les problèmes généraux qui se posent dans ce do

55 e mieux définir le problème urgent et vital d’une éducation pour l’Europe. Nous entendons par là : une éducation tendant à dévelo

56 cation pour l’Europe. Nous entendons par là : une éducation tendant à développer dans nos divers pays la conscience de la communa

57 sur les relations culturelles avec l’Est et sur l’ éducation européenne. Notre association des festivals a diffusé 160 000 exempla

58 du bulletin, départ de nos expériences-pilotes d’ éducation populaire, lancement international d’une collection d’ouvrages sur l’

59 e ramène donc, une fois de plus, au problème de l’ éducation . C’est vers lui que s’oriente notre effort principal, et que converge

60 Le Bureau européen de l’ éducation populaire (août-septembre 1956)ao Plusieurs centaines d’organismes

61 nternationaux sont à l’œuvre dans le domaine de l’ éducation populaire (ou adult education) en Europe. Les méthodes, les moyens, l

62 intelligemment les loisirs tout en suppléant à l’ éducation générale ou pratique que l’école ne peut plus donner. L’extrême dive

63 s pays. D’autre part, l’ensemble des organismes d’ éducation populaire groupe le plus vaste public organisé qui puisse être attein

64 intéressées la création d’un Bureau européen de l’ éducation populaire. Après deux années de contacts préliminaires et de réunions

65 ce, était chargé de créer le Bureau européen de l’ éducation populaire. Le Bureau fonctionne depuis 1954. Affilié au CEC, il a son

66 letin périodique. ao. « Le Bureau européen de l’ éducation populaire », Bulletin du Centre européen de la culture : « Origines,

67 le, dépendra d’un immense effort d’information, d’ éducation , et pour tout dire, d’hygiène civique. Notre tâche Plus que jam

68 e reprendre à sa charge les expériences-pilotes d’ éducation et de formation des cadres, élaborées et financées en grande partie p

69 ix des sujets de nos derniers numéros spéciaux : Éducation européenne et L’Europe s’inscrit dans les faits en 1956, L’Europe

70 au long du numéro de notre bulletin consacré à l’ éducation européenne 33, doit inspirer l’activité du CEC. Il nous conduit aujou

71 antes tant au point de vue des programmes et de l’ éducation du public qu’à celui des aspects économiques. Deux de ces options se

72 comme l’a fait Enrique Franco, sous l’angle d’une éducation européenne, par la musique chez les uns, pour la musique chez d’autre

73 ne, Jean Sarrailh, l’ancien ministre anglais de l’ Éducation Kenneth Lindsay, et l’ancien ministre belge Julius Hoste. Au terme de

74 ires, et coordination par le CEC des organismes d’ éducation populaire. Tout cela existe aujourd’hui34.   1950. Le Centre européen

75 e littérature. — Création du Bureau européen de l’ éducation populaire et première réunion de son exécutif. — Première réunion du

76 des éducateurs et début des expériences-pilotes d’ éducation européenne. — Création des Actualités européennes, diffusées en trois

77 égligerait encore la recherche d’avant-garde et l’ éducation générale, se verrait rapidement liquidée dans la compétition impitoya

78 qu’apportent à la culture, aux recherches et à l’ éducation les USA et l’URSS, nous sommes ridiculement sous-développés ! Mais il

79 Éducation européenne (février 1958)ay Communiqué de presse du 4 juin 1957 U

80 n Ford, destinée au développement des activités d’ éducation européenne entreprises par le Centre dans plusieurs pays, depuis le d

81 montent à 1951 : convocation de responsables de l’ éducation populaire pour examiner avec eux : 1° les possibilités de coopération

82 ant à compléter ou à prolonger chez les adultes l’ éducation scolaire ; 2° les possibilités d’introduire, dans les milieux touchés

83 ités d’introduire, dans les milieux touchés par l’ éducation populaire, l’idée européenne ou mieux : une connaissance plus réalist

84 i 1953), finit par naître le Bureau européen de l’ éducation populaire, rattaché au CEC mais autonome. Il a son siège à Bergen, en

85 érent : celui d’une série d’expériences-pilotes d’ éducation européenne en milieu populaire. L’objectif général était double. Il s

86 Rome) Objectif : vérifier les possibilités d’ éducation populaire, et à travers elle, d’éducation européenne dans une ville d

87 lités d’éducation populaire, et à travers elle, d’ éducation européenne dans une ville de 30 000 habitants d’économie mixte. Exéc

88 atis et en collaboration avec divers organismes d’ éducation , syndicalistes ou officiels. D’autre part, des négociations se poursu

89 ences en cours, plus des représentants d’œuvres d’ éducation des adultes d’Allemagne, de France, d’Italie, d’Autriche et de Belgiq

90 été consacrés aux problèmes éducatifs : Pour une éducation européenne (avril-mai 1956) et L’Europe et l’École (avril 1957). I

91 ion nationale de la famille rurale, Paris. ay. «  Éducation européenne », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, n° 1

92 nts de militants, propagande) ; la stratégie de l’ éducation , des recherches, de l’information et de la culture (CEC, instituts, a

93 es européens d’intérêt permanent ou d’actualité. Éducation , pour quel type d’humanité ? S’inspirant des travaux du 2e séminaire

94 La méthode culturelle, ou l’Europe par l’ éducation des Européens (mai 1958)ba E = mc2 L’Europe physique tient p

95 les d’un homme qui veut créer, diriger et servir. Éducation des responsables de demain, la minorité qui comptera. L’avenir de l’E

96 cience. L’information européenne Mais toute éducation comporte une instruction, outre la formation du caractère et du jugem

97 tions professionnelles, ses expériences-pilotes d’ éducation européenne, ses publications, plans de causeries et brochures, ses se

98 c de la formation des esprits, c’est-à-dire d’une éducation pour la liberté. Le matérialisme dialectique, ou diamat, doctrine off

99 enjeu principal les esprits. Il en résulte que l’ éducation et la culture, forces principales de l’Europe sont scandaleusement né

100 tant qu’ils n’auront pas décidé de consacrer à l’ éducation de la liberté autant d’efforts et de capitaux que les totalitaires en

101 e aide puissante et immédiate à la culture et à l’ éducation . L’un des objectifs prochains de la méthode culturelle est donc de mo

102 iser les moyens matériels désormais requis pour l’ éducation européenne. Il s’agit, d’une façon précise, de convaincre les détente

103 buts qui définit le mode de vie européen ; — une éducation de la liberté, créatrice et inspiratrice de ce mode de vie ; — une vi

104 ! ba. « La méthode culturelle, ou l’Europe par l’ éducation des Européens », Bulletin du Centre européen de la culture : « Méthod

105 Marché commun dans douze ans, ni le succès d’une éducation civique européenne dans les générations montantes, mais la seule unio

106 Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)be Laissant de côté le prob

107 la technique. Jusqu’au milieu du xixe siècle, l’ éducation intellectuelle était confiée soit à des écoles privées, réservées aux

108 s privilégiées, soit à des précepteurs. Quant à l’ éducation artistique et technique (ce qu’on appelait les Arts et Métiers), elle

109 non chez les producteurs de mass médias. be. «  Éducation et loisirs : les mass médias », Bulletin du Centre européen de la cul

110 nique et culture dans la société de demain (II) : Éducation et loisirs », Genève, n° 2, mai 1959, p. 80-84.

111 Neuf expériences d’ éducation européenne [Introduction] (décembre 1959)bk Comment faire pénétrer

112 ritique : c’est la propagande. La troisième est l’ éducation , qui est le contraire de la propagande parce qu’elle développe le jug

113 nnait le plan d’une série d’expériences-pilotes d’ éducation européenne en milieu populaire et scolaire. Ce plan avait été établi

114 tin du Centre européen de la culture : « Pour une éducation européenne » , Genève, n° 4, avril-mai 1956. bk. « Introduction », B

115 tre européen de la culture : « Neuf expériences d’ éducation européenne », Genève, n° 4-5, décembre 1959, p. 1-2.

116 Neuf expériences d’ éducation européenne [Conclusion] (décembre 1959)bl Nous avions deux objecti

117 ériences acquises, le CEC et son département de l’ éducation se donneront pour tâche, désormais, de seconder et de coordonner les

118 ays, en vue de multiplier les campagnes locales d’ éducation européenne. bl. « Conclusion et préface aux suites à donner », Bull

119 tre européen de la culture : « Neuf expériences d’ éducation européenne », Genève, n° 4-5, décembre 1959, p. 115.

120 , d’enseignement européen dans les universités, d’ éducation scolaire et populaire ; festivals, guildes du livre, et du disque, ag

121 égligerait encore la recherche d’avant-garde et l’ éducation générale, se verrait rapidement liquidée dans la compétition impitoya

122 qu’apportent à la culture, aux recherches et à l’ éducation les USA et l’URSS, nous sommes ridiculement sous-développés ! Mais il

123 La règle d’or, ou principe de l’ éducation européenne (1960-1961)bn Les deux fins de toute éducation Que

124 opéenne (1960-1961)bn Les deux fins de toute éducation Quel est le but de l’Éducation pour les Européens du xxe siècle ?

125 x fins de toute éducation Quel est le but de l’ Éducation pour les Européens du xxe siècle ? Et spécialement pour vous, futurs

126 e qu’elle veut de l’homme. C’est le problème de l’ Éducation qui se pose ici dans son ampleur et son urgence. Depuis des siècles,

127 epuis des siècles, on a discuté les méthodes de l’ Éducation , comme si les fins de cette Éducation allaient de soi. Et en effet, d

128 thodes de l’Éducation, comme si les fins de cette Éducation allaient de soi. Et en effet, durant des siècles, ces fins n’étaient

129 est-elle ? Nous continuons à parler de méthode d’ éducation et de pédagogie, sans déclarer leurs fins nouvelles. On l’a dit et on

130 . — saurons-nous distinguer les buts humains de l’ éducation occidentale au xxe siècle ? C’est le problème unique que je me pose

131 A — rappelons en quelques mots ce qu’a signifié l’ Éducation dans les grandes sociétés humaines de l’Antiquité, de l’Orient et de

132 ste et louable en tous les cas. Car en fait toute éducation digne du nom comporte les deux éléments à doses variables. Autorité e

133 é et liberté sont aussi nécessaires à la vie de l’ Éducation que la diastole et la systole du cœur à la circulation sanguine, ou q

134 déterminent les diverses conceptions connues de l’ Éducation , selon les divers types d’hommes qu’elle entend former. Quels sont, d

135 d’autorité et de liberté qu’elles ménagent dans l’ Éducation .   a) Les États-Unis d’Amérique se caractérisent par la prédominance

136 istant en URSS (pour 33 universités seulement). L’ éducation technique se divise en cinq branches principales, qui se subdivisent

137 rétés par le Parti et son État, qui déterminent l’ éducation . On revient au dressage utilitaire de l’individu comme dans les socié

138 ation des élites futures. L’idéal directeur d’une éducation spécifiquement européenne apparaît alors bien clairement : il est de

139 le nom de personne, et qui reste le but de toute éducation non seulement en Europe mais pour l’Europe. J’ai marqué trois tendanc

140 se au libre jeu de ses ailes. C’est l’utopie de l’ éducation trop libre en Amérique. L’utopie russe, c’est une colombe mécanisée,

141 philosophie. J’ai dit qu’à mon sens, le but de l’ éducation européenne est la personne, c’est-à-dire l’homme à la fois libre et r

142 nous appelons en Suisse fédéralisme) ; et enfin l’ éducation comporte à la fois le dressage et la préparation à l’autonomie. Le pr

143 e. La règle d’or de la culture européenne et de l’ éducation qui lui correspond, c’est cela : l’équilibre en tension entre l’autor

144 ait récemment des pères de famille français sur l’ éducation de leurs enfants, et l’un d’eux répondit que sa méthode était de les

145 ute chose, considérez la fin. » La fin seule de l’ Éducation doit et peut dicter les moyens, les méthodes de l’Éducation. Oserai-j

146 doit et peut dicter les moyens, les méthodes de l’ Éducation . Oserai-je vous confesser ici que je ne crois plus guère aux méthodes

147 nition générale, au But particulier, unique, de l’ éducation européenne, éducation pour la personne ? Il y a un saut à opérer. Le

148 t particulier, unique, de l’éducation européenne, éducation pour la personne ? Il y a un saut à opérer. Le général ne conduit pas

149 nd Supply. bn. « La règle d’or, ou principe de l’ éducation européenne », Bulletin du Centre européen de la culture : « Aspects d

150 t laïque, égalitaire et juridique. En Belgique, l’ éducation civique entend développer « le sentiment de fierté patriotique » et «

151 ssie soviétique n’a pas de ministère central de l’ Éducation (chacun des États garde le sien, comme en Allemagne ou en Suisse) mai

152 tes les lois et directives générales concernant l’ éducation sont discutées par les congrès du Parti et promulguées par le Soviet

153 nation, mais non pas sans patrie, va recevoir une éducation idéalement européenne. Son père est mort lorsque Joseph avait 4 ans,

154 éisme de Retinger : son patriotisme polonais, son éducation européenne, et l’influence de Boni de Castellane, conjuguée d’ailleur

155 ouvrage récent publié en Amérique, qui compare l’ éducation américaine et l’éducation soviétique, l’auteur américain prétend que

156 Amérique, qui compare l’éducation américaine et l’ éducation soviétique, l’auteur américain prétend que le jeune soviétique de 7e

157 chaîne du xix e siècle. Mais c’est un problème d’ éducation . Un phénomène analogue se produit dans l’évolution des techniques ind

158 allusion ici, des groupements professionnels ou d’ éducation populaire. À quoi l’on pourrait ajouter à l’avenir bien des choses :

159 lturel dont elle vivra en retour. La culture et l’ éducation , je crois que nous sommes tous d’accord là-dessus, il n’y a pas de me

160 ayée ou acceptée au prix de l’âme d’une culture ; éducation  ; recherches scientifiques, etc. — créant des occasions de convergenc

161 l’Afrique noire doit faire face à des problèmes d’ éducation qui nécessitent évidemment les échanges, mais d’abord à un problème d

162 ople in the Orient and Occident » ; Bombay, sur l’ Éducation  ; Bursa (Turquie), sur les « textbooks » en Inde et en Europe. Les in

163 oyens plus amples aux vrais problèmes du siècle : éducation des masses ; lutte contre le matérialisme que peut répandre la techni

164 es travaux à la disposition des responsables de l’ éducation , de la politique et de l’économie ; — servir enfin d’instruments eff

165 t-trois festivals de musique, et sur les foyers d’ éducation populaire, les fondations, les maisons d’édition, les congrès et stag

166 — Arts — Littérature et linguistique — Religion — Éducation — Problèmes politiques de l’Union — Aspects juridiques — Institutions

167 ain sur lequel allait se développer la Campagne d’ éducation civique européenne. Les considérations conduisant à l’idée d’une tell

168 a coopération de tous les organismes préoccupés d’ éducation européenne et travaillant déjà dans ce domaine : Conseil de l’Europe*

169 hauts fonctionnaires de plusieurs ministères de l’ Éducation , le groupe ad hoc tint sa première séance à Genève les 5 et 6 janvier

170 1962. Il élabora le plan général d’une Campagne d’ éducation civique européenne et son horaire pour les années 1962 et 1963. Le pl

171 suivantes : 1. Enquête auprès des ministères de l’ Éducation de tous les pays d’Europe, sur l’état de l’instruction civique et les

172 on civique et les possibilités d’y introduire une éducation européenne. 2. Réunion d’un séminaire international pour examiner les

173 ’une publication, par les soins du ministère de l’ Éducation nationale et de la culture.) Deux autres stages vont avoir lieu en 19

174 gard d’une action européenne dans le domaine de l’ éducation . Cette réaction positive, sans réserve, est particulièrement frappant

175 er de notre enquête. C’est dire que la Campagne d’ éducation civique était nécessaire, et qu’elle est possible, mais qu’il lui res

176 naissances réelles. Le motif de notre Campagne d’ éducation civique européenne, c’est la nécessité de sortir de ce sophisme théor

177 ants, des représentants de divers ministères de l’ Éducation nationale, le Centre européen de la culture assurant le secrétariat d

178 s publications61. Le comité a lancé la Campagne d’ éducation civique européenne dès l’automne 1961. Le programme de la Campagne co

179 dagogique européenne. ⁂ L’enquête sur l’état de l’ éducation civique a été lancée dès janvier 1962 auprès de 19 gouvernements par

180 t leçons qui s’y rapportent ; 2° Une carence de l’ éducation civique : là où elle existe, elle se borne à décrire les institutions

181 vie publique ; 3° Le besoin partout reconnu d’une éducation civique plus concrète sans laquelle point de démocratie ; 4° Le manqu

182 ur les matières suivantes : histoire, géographie, éducation politique, arts, sciences, littérature, langues. Pour organiser ces s

183 A. Ducimetière, secrétaire (chef du Département d’ éducation au CEC), MM. A. Alers et A. Biedermann, président et secrétaire de l’

184 ue, norvégienne, 85 000 ex.) ; Neuf expériences d’ éducation européenne ; Guide européen de l’enseignant (éditions française, alle

185 CEC, n° 5, juin 1963. Même texte repris dans « L’ Éducation en Europe », publication du Conseil de l’Europe (en anglais et en fra

186 u Centre européen de la culture : « La Campagne d’ éducation civique européenne », Genève, n° 4, septembre 1964, p. 1-3.

187 u Centre européen de la culture : « La Campagne d’ éducation civique européenne », Genève, n° 4, septembre 1964, p. 80-81.

188 ométrique, ait la moindre chance de succès ; et l’ éducation permanente qu’on nous propose, qui s’étendrait du berceau à la tombe,

189 et de l’économie, dans le cadre d’une Campagne d’ éducation civique, voilà qui va de soi et personne ne demandera quel est le lie

190 qu’elle devrait être — mais ce n’est pas encore l’ éducation au civisme. Celle-ci, en effet, ne doit pas se contenter d’inculquer

191 ase résultent des conséquences importantes pour l’ éducation européenne. Alors que l’éducation dans les civilisations sacrées et l

192 ortantes pour l’éducation européenne. Alors que l’ éducation dans les civilisations sacrées et les totalitaires n’est en somme qu’

193 e, un apprentissage des règles et des réponses, l’ éducation européenne comporte aussi un apprentissage de la mise en question non

194 e initiative personnelle. Ces deux exigences de l’ éducation européenne ne sont contradictoires qu’en apparence. Elles sont en réa

195 tre le corrigera. Mais à cela ne se borne pas son éducation artistique : l’imitation correcte des modèles orthodoxes n’est pas sa

196 unication, qui définit le bon artiste européen. L’ éducation européenne, qu’il s’agisse de civisme ou de culture trouve ainsi sa f

197 responsabilités communautaires. C’est pourquoi l’ éducation artistique, au lieu de rester une sorte de luxe, de branche accessoir

198 européenne. Voilà pourquoi notre Campagne pour l’ éducation civique des jeunes Européens doit comporter une campagne pour l’éduca

199 unes Européens doit comporter une campagne pour l’ éducation artistique des futurs citoyens — et peut-être même, doit-elle commenc

200 de réflexes conditionnés par un siècle au moins d’ éducation stato-nationaliste gratuite et obligatoire : uniformisation et mise a

201 e réalisation. Résistances conditionnées par l’ éducation stato-nationaliste « Les nations sont immortelles » (François Maur

202 ou au moins à l’uniformité ? C’est un problème d’ éducation ou de recyclage qui va nous prendre au moins douze ans si nous commen

203 artenances démontre une déficience ou un retard d’ éducation démocratique. (« Ce qui n’est pas prescrit à tous, d’une manière unif

204 fusion efficace d’œuvres « marquantes », et par l’ éducation  : procédés à moyen ou à long terme, qui ne s’accordent pas avec l’idé

205 la politique agricole, ou des transports, ou de l’ éducation , ou de la recherche, et surtout de la politique écologique — quelle p

206 L’Ordre nouveau , n° 1. 107. D’où la Campagne d’ éducation civique européenne, lancée dans quinze pays, dès 1962, par le Centre

207 revanche, les nécessités conjointes d’un effort d’ éducation et d’un effort d’invention de structures deviennent évidentes aux yeu

208 gues de Civisme européen, organe de la Campagne d’ éducation civique européenne, et de Saison, publication annuelle de l’Associati

209 ; obstacles multipliés, légaux et financiers, à l’ éducation scolaire aux trois degrés et à la formation professionnelle ; tout ce

210 l’économie, ni l’écologie, ni l’énergétique, ni l’ éducation qui « indiquent » la région, mais la définition de l’homme même en ta