1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 lle Grecs plutôt les gens qui participent à notre éducation que ceux qui ont une même origine que nous.34 Reprenons maintenant
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
2 ation avec le sujet principal : il disserte sur l’ éducation des femmes et sur l’organisation militaire de la France, sur la réfor
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
3 guerre pour « exercice ». Il proposait un plan d’ éducation des peuples (sciences, médecine et mathématiques en premier lieu), un
4 ombreux traités spéciaux, à créer la science de l’ éducation en Europe. Mais ses recherches de philosophe et de théologien (il fut
5 ntroduire une discipline sévère ou modérée dans l’ éducation de la jeunesse, par une vie simple et un labeur convenable. Apprenez-
6 si le gouvernement a tant soit peu le souci de l’ éducation de la jeunesse, ce qui, après le bien-être présent et immédiat de cha
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
7 té des États. Il n’a d’espoirs que dans une lente éducation « de l’esprit de justice, de l’amour du prochain et de la maîtrise de
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
8 nglais voyageaient, c’était le complément de leur éducation  ; les jeunes seigneurs fraîchement sortis d’Oxford et de Cambridge, b
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
9 gne. Une dame Dupin avait confié à Jean-Jacques l’ éducation de son fils. Elle pria le précepteur de rédiger un « condensé » (proc
10 me à n’aimer que leur patrie ! L’éloge de cette «  éducation nationale » ne se lit pas aujourd’hui sans quelque inquiétude : C’es
11 as aujourd’hui sans quelque inquiétude : C’est l’ éducation qui doit donner aux âmes la forme nationale, et diriger tellement leu
12 ’est plus : et s’il n’est pas mort, il est pis. L’ éducation nationale n’appartient qu’aux hommes libres ; il n’y a qu’eux qui aie
13 la même manière ; et si l’on ne peut établir une éducation publique tout à fait gratuite, il faut du moins la mettre à un prix q
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
14 de deux hommes, peut-être de deux enfans, dont l’ éducation , le luxe et le despotisme avaient corrompu le caractère et les inclin
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
15 sources s’était composé un système de mœurs et d’ éducation qui était à peu près le même dans toute cette région du Globe et qui
16 riations dans le régime des universités et dans l’ éducation qu’elles donnaient à leur jeunesse, soit qu’il s’agît des diverses fa
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
17 cette page, fut à la fois le grand pionnier de l’ éducation populaire en Europe du Nord et l’initiateur d’un mouvement religieux
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
18 ans la douane, la circulation sans la barrière, l’ éducation sans l’abrutissement, la jeunesse sans la caserne, le courage sans le
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
19 pas favoriser, par une réaction instinctive, « l’ éducation d’une caste nouvelle destinée à régner sur l’Europe », — et c’est là,