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e ici à l’armature catholique, qui condamne cette
Église
au réformisme modéré, c’est-à-dire à un effort pour durer par des moy
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eant du paganisme contemporain. Il sévit dans nos
églises
, avec une virulence sourde, attisée de temps à autre par un sermon co
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est mon objet, il n’est pas autonome. 7. Ainsi l’
Église
: le chrétien, dans l’acte de la communion avec le Christ, fonde véri
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a communion avec le Christ, fonde véritablement l’
Église
universelle. L’Église est universelle parce qu’elle s’enracine dans l
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rist, fonde véritablement l’Église universelle. L’
Église
est universelle parce qu’elle s’enracine dans l’acte qui confère à to
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mme le voulait Calvin, le contenu des dogmes de l’
Église
chrétienne. Cette indifférence est si profonde qu’elle rend parfois i
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sies qui se sont introduites dans la piété de nos
églises
au cours des deux derniers siècles. Non seulement on voit des pasteur
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asteurs lire sans sourciller la confession de nos
églises
, qui proclame le salut par la foi seule. Bien plus, quand un théologi
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de la mort à soi-même, vient définir à nouveau l’
Église
chrétienne comme le lieu où la Parole est prêchée, on voit des pasteu
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par la religion, et qui définissent volontiers l’
Église
comme une force au service de la civilisation, s’étonner des rudesses
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e temps de ses témoins bibliques, — le temps de l’
Église
(notre temps). Ce sont là les trois temps de la Parole. Jésus-Christ
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oignages de la Parole. Enfin, la prédication de l’
Église
procède de ces témoignages et renvoie, au-delà d’elle-même, à travers
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t, le temps de Pierre sur lequel Christ bâtit son
Église
…, — autre encore est le temps de cette Église même, le temps de la pr
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son Église…, — autre encore est le temps de cette
Église
même, le temps de la prédication dérivée de la parole des prophètes e
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s apôtres, la Bible, est le vis-à-vis absolu de l’
Église
dans notre temps. Il dépend de Dieu seul, et nullement de nos efforts
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— dont quinze nous sont communs d’ailleurs avec l’
Église
romaine — à quatre siècles d’une tradition que l’on réduit au seul do
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seul domaine français, sans même compter que nos
églises
ont subi de telles persécutions qu’elles ont été quasi anéanties dura
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st une doctrine du salut par la foi au sein d’une
Église
obéissant à la Révélation, et une doctrine du salut par l’Église, par
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t à la Révélation, et une doctrine du salut par l’
Église
, par une Église qui prend barre sur l’Écriture. Précisons encore ce s
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n, et une doctrine du salut par l’Église, par une
Église
qui prend barre sur l’Écriture. Précisons encore ce schéma, qui ne pr
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est le chef absolu, souverainement adorable, de l’
Église
qui est son corps ; tandis que Rome affirme que la tradition et le pa
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que cette objection ne porte guère. En effet, « l’
Église
ne reconnaît une expression exacte de sa substance que dans la person
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’importent, mais la manière dont on en use dans l’
Église
romaine, mais le degré de sérieux qu’on leur accorde en fait, mais l’
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s que le catholique, en tant que tel, croit que l’
Église
est au-dessus de l’Évangile, qu’elle a barre sur lui, qu’elle dispose
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es achever en les incorporant à la tradition de l’
Église
, corps du Christ ressuscité ! » Réponse qui justement donne un exempl
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Que Jésus-Christ a donné un grand pouvoir à son
Église
dans la dispensation de ses mystères !… Il a permis à son Église de s
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dispensation de ses mystères !… Il a permis à son
Église
de séparer ce qu’il avait mis ensemble… Et non seulement l’Église a c
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r ce qu’il avait mis ensemble… Et non seulement l’
Église
a cessé de faire ce que Jésus-Christ avait fait, et les apôtres suivi
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imparfaites, c’est qu’on n’entend pas que c’est l’
Église
qui sait le secret de Jésus-Christ, qui sait ce qui appartient essent
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! Mais plutôt ne vous étonnez jamais de ce que l’
Église
fait. Instruite par le Saint-Esprit et par la tradition de tous les s
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faire voir [aux apôtres] qu’il leur laissait son
Église
pour être une fidèle interprète de ses volontés, et une sûre dispensa
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acrements ? » Décidément, nous sommes d’accord. L’
Église
véritable est bien cela pour nous aussi. Nous ajouterons une simple p
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rque Bossuet, que vous n’entendez pas que c’est l’
Église
, et non pas la seule Écriture, qui sait le secret de Jésus-Christ ! —
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nt cette pratique. » — Si nous comprenons bien, l’
Église
prouve qu’elle sait le secret de Jésus-Christ, en ordonnant de faire
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tenant. Examinons alors l’origine du secret que l’
Église
, selon Bossuet et les conciles, détient et possède si bien qu’elle a
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ieux droit romain, caractérise la propriété. Si l’
Église
a le secret du Christ, c’est « qu’instruite par le Saint-Esprit et pa
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qu’elle est notre critère, ce « vis-à-vis » de l’
Église
dont parle Barth, et auquel doit se rapporter sans cesse toute prédic
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re source » de la Révélation. En réalité, c’est l’
Église
de Rome qui nous paraît à cet égard abandonnée à un subjectivisme red
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e l’Écriture ne peut être interprétée que selon l’
Église
, et en particulier selon les décisions du concile de Trente. La tradi
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secrète » du Christ, intention que Bossuet loue l’
Église
d’avoir exécutée, n’est donc pas contenue dans l’Écriture. Il faudra
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se fonde dans cette inquiétude32, qui a conduit l’
Église
de Rome à statuer qu’il existe, à côté de la Bible, une autre source.
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umain, mais la suite des témoignages rendus par l’
Église
historique à son chef, qui lui fut révélé dans l’Écriture, et non ail
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clarer par avance anathème celui qui dirait que l’
Église
n’a pas été amenée par des raisons justes (iustis causis et rationibu