1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
1 e ici à l’armature catholique, qui condamne cette Église au réformisme modéré, c’est-à-dire à un effort pour durer par des moy
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
2 eant du paganisme contemporain. Il sévit dans nos églises , avec une virulence sourde, attisée de temps à autre par un sermon co
3 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
3 est mon objet, il n’est pas autonome. 7. Ainsi l’ Église  : le chrétien, dans l’acte de la communion avec le Christ, fonde véri
4 a communion avec le Christ, fonde véritablement l’ Église universelle. L’Église est universelle parce qu’elle s’enracine dans l
5 rist, fonde véritablement l’Église universelle. L’ Église est universelle parce qu’elle s’enracine dans l’acte qui confère à to
4 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
6 mme le voulait Calvin, le contenu des dogmes de l’ Église chrétienne. Cette indifférence est si profonde qu’elle rend parfois i
7 sies qui se sont introduites dans la piété de nos églises au cours des deux derniers siècles. Non seulement on voit des pasteur
8 asteurs lire sans sourciller la confession de nos églises , qui proclame le salut par la foi seule. Bien plus, quand un théologi
9 de la mort à soi-même, vient définir à nouveau l’ Église chrétienne comme le lieu où la Parole est prêchée, on voit des pasteu
10 par la religion, et qui définissent volontiers l’ Église comme une force au service de la civilisation, s’étonner des rudesses
5 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
11 e temps de ses témoins bibliques, — le temps de l’ Église (notre temps). Ce sont là les trois temps de la Parole. Jésus-Christ
12 oignages de la Parole. Enfin, la prédication de l’ Église procède de ces témoignages et renvoie, au-delà d’elle-même, à travers
13 t, le temps de Pierre sur lequel Christ bâtit son Église …, — autre encore est le temps de cette Église même, le temps de la pr
14 son Église…, — autre encore est le temps de cette Église même, le temps de la prédication dérivée de la parole des prophètes e
15 s apôtres, la Bible, est le vis-à-vis absolu de l’ Église dans notre temps. Il dépend de Dieu seul, et nullement de nos efforts
6 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
16 — dont quinze nous sont communs d’ailleurs avec l’ Église romaine — à quatre siècles d’une tradition que l’on réduit au seul do
17 seul domaine français, sans même compter que nos églises ont subi de telles persécutions qu’elles ont été quasi anéanties dura
18 st une doctrine du salut par la foi au sein d’une Église obéissant à la Révélation, et une doctrine du salut par l’Église, par
19 t à la Révélation, et une doctrine du salut par l’ Église , par une Église qui prend barre sur l’Écriture. Précisons encore ce s
20 n, et une doctrine du salut par l’Église, par une Église qui prend barre sur l’Écriture. Précisons encore ce schéma, qui ne pr
21 est le chef absolu, souverainement adorable, de l’ Église qui est son corps ; tandis que Rome affirme que la tradition et le pa
22 que cette objection ne porte guère. En effet, « l’ Église ne reconnaît une expression exacte de sa substance que dans la person
23 ’importent, mais la manière dont on en use dans l’ Église romaine, mais le degré de sérieux qu’on leur accorde en fait, mais l’
24 s que le catholique, en tant que tel, croit que l’ Église est au-dessus de l’Évangile, qu’elle a barre sur lui, qu’elle dispose
25 es achever en les incorporant à la tradition de l’ Église , corps du Christ ressuscité ! » Réponse qui justement donne un exempl
26 Que Jésus-Christ a donné un grand pouvoir à son Église dans la dispensation de ses mystères !… Il a permis à son Église de s
27 dispensation de ses mystères !… Il a permis à son Église de séparer ce qu’il avait mis ensemble… Et non seulement l’Église a c
28 r ce qu’il avait mis ensemble… Et non seulement l’ Église a cessé de faire ce que Jésus-Christ avait fait, et les apôtres suivi
29 imparfaites, c’est qu’on n’entend pas que c’est l’ Église qui sait le secret de Jésus-Christ, qui sait ce qui appartient essent
30  ! Mais plutôt ne vous étonnez jamais de ce que l’ Église fait. Instruite par le Saint-Esprit et par la tradition de tous les s
31 faire voir [aux apôtres] qu’il leur laissait son Église pour être une fidèle interprète de ses volontés, et une sûre dispensa
32 acrements ? » Décidément, nous sommes d’accord. L’ Église véritable est bien cela pour nous aussi. Nous ajouterons une simple p
33 rque Bossuet, que vous n’entendez pas que c’est l’ Église , et non pas la seule Écriture, qui sait le secret de Jésus-Christ ! —
34 nt cette pratique. » — Si nous comprenons bien, l’ Église prouve qu’elle sait le secret de Jésus-Christ, en ordonnant de faire
35 tenant. Examinons alors l’origine du secret que l’ Église , selon Bossuet et les conciles, détient et possède si bien qu’elle a
36 ieux droit romain, caractérise la propriété. Si l’ Église a le secret du Christ, c’est « qu’instruite par le Saint-Esprit et pa
37 qu’elle est notre critère, ce « vis-à-vis » de l’ Église dont parle Barth, et auquel doit se rapporter sans cesse toute prédic
38 re source » de la Révélation. En réalité, c’est l’ Église de Rome qui nous paraît à cet égard abandonnée à un subjectivisme red
39 e l’Écriture ne peut être interprétée que selon l’ Église , et en particulier selon les décisions du concile de Trente. La tradi
40 secrète » du Christ, intention que Bossuet loue l’ Église d’avoir exécutée, n’est donc pas contenue dans l’Écriture. Il faudra
41 se fonde dans cette inquiétude32, qui a conduit l’ Église de Rome à statuer qu’il existe, à côté de la Bible, une autre source.
42 umain, mais la suite des témoignages rendus par l’ Église historique à son chef, qui lui fut révélé dans l’Écriture, et non ail
43 clarer par avance anathème celui qui dirait que l’ Église n’a pas été amenée par des raisons justes (iustis causis et rationibu