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tt et d’Hospental se groupent autour d’une grosse
église
baroque et d’un donjon romain sur un rocher. Au fronton de la chapell
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er des révoltes —, mais il était Français, chef d’
Église
en Europe, et Genève en ce temps n’était pas encore suisse. Ainsi tou
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t encore un cénotaphe, dans la très fine et haute
église
collégiale. Les Orléans-Longueville qui en furent les souverains dès
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ssassiné lui-même — y a fait construire une vaste
église
baroque sur la colline qui surplombe son château. Stucs bleu-vert et
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maisons bourgeoises des Zellweger forment avec l’
église
baroque la place somptueuse de Trogen, — petit village au cœur d’un h
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moyenne réelle dans les pays où une faction, une
Église
, une classe a tenté d’imposer ses règles, provoquant la violence et f
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d’Einsiedeln, la cathédrale de Saint-Gall et les
églises
de la campagne lucernoise, Beromünster, Ettiswill ou Sursee, font une
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révolté qu’on serait tenté d’imaginer, et que les
Églises
soient aujourd’hui plus vivantes qu’hier. Les nouvelles générations m
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ar son allégeance religieuse, à la Réforme ou à l’
Église
catholique, qui sont mondiales ; par sa langue, au domaine français ;
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. Et quand le lieu du grand débat devient enfin l’
Église
et sa réforme, courant toujours au plus pressé, au plus vivant, Manue
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é. Si la cité n’a plus de vraies mesures, c’est l’
Église
qui doit les refaire. Qu’elle s’y refuse, il faut la réformer. Après
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usto, dont les vitraux se voient partout dans les
églises
du pays. Alberto Giacometti est le fils de Giovanni. Il est né dans
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ancesco Borromini « baroquise » plusieurs grandes
églises
de Rome, dont Saint-Jean-de-Latran. Rien de suisse dans cette œuvre i
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de entier. Il a construit en France la plus belle
église
du siècle, Ronchamp ; en Inde une capitale, Chandigarh, et une partie
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aire du fonctionnel puritain. Seule, peut-être, l’
église
de Ronchamp avec ses alvéoles creusés dans le bloc nu à intervalles i
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l, d’usines blanches aux creux des collines, et d’
églises
où le « mystère » gothico-romantique fait place à des abstractions sy
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tés comme chants patriotiques. Et dans toutes les
églises
protestantes, psaumes de Goudimel ou de Bourgeois, cantiques dont les
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ans le langage de son milieu, la théologie de son
Église
; et s’il ne peut plus adhérer au dogme, il ira chercher les raisons
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is tous deux meurent en conflit déclaré avec leur
Église
établie, témoins de l’absolu subjectif. Vinet écrit : « Liberté, le p
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onales-socialistes, il dresse un manifeste de l’«
Église
confessante », première affirmation, fondamentale, de la Résistance e
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e pas le régime en soi, mais ses complices dans l’
Église
. On l’expulse. Et dès lors, revenu à Bâle, il édifie une Dogmatique d
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ors, revenu à Bâle, il édifie une Dogmatique de l’
Église
qui est le monument théologique le plus hardi et dur d’arêtes de l’èr
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ritain et sentimental, ne s’était élevée dans les
Églises
en retraite devant le « monde moderne ». En voulant ramener les prote
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écédé, en fait, la tentative d’aggiornamento de l’
Église
initiée par le pape Jean XXIII. Ce n’est pas le moindre paradoxe de s
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en depuis Calvin qui ait influencé l’ensemble des
Églises
protestantes, en Amérique comme en Europe, et que les docteurs de Rom
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che du comportement intellectuel et spirituel des
Églises
romaine et grecque — il connaît et il redécouvre la valeur des rites
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s trouvent des idoles de Wotan dans les anciennes
églises
romaines. Mais grâce à ces moines pérégrins, le christianisme renaîtr
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ns presque chaque bourg de quelque importance des
églises
des deux cultes, le protestant moyen continue à penser que le catholi
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mouvement œcuménique se fait sentir dans les deux
Églises
, au niveau populaire non moins qu’à l’étage des docteurs. En voici de
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cceptée par 68 % des votants. À Glaris, une vaste
église
, depuis de nombreuses années, est commune aux deux cultes. Elle s’orn
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ns la première moitié du xixe siècle, a doté les
églises
suisses de cantiques anglo-saxons aux rythmes tantôt allègres, tantôt
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oublier le manque de sobriété. L’organisation des
Églises
protestantes est calquée sur la structure fédéraliste du pays. Liées
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èles ou d’un impôt ecclésiastique facultatif, les
Églises
forment des unités cantonales, gouvernées par des synodes régionaux.
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a direction du pasteur assisté par un « conseil d’
église
». Il en résulte que l’Église suisse comme telle n’existe guère, n’es
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par un « conseil d’église ». Il en résulte que l’
Église
suisse comme telle n’existe guère, n’est qu’une fédération assez lâch
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iste guère, n’est qu’une fédération assez lâche d’
Églises
cantonales, et pourrait difficilement prendre une décision qui l’enga
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s pouvoirs et sauvegarde la pleine autonomie de l’
Église
. Ils s’accordent aussi pour préférer à l’idéologie démocratique des l
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à l’endroit des interventions spectaculaires de l’
Église
ou de ses ministres, qui a pour effet de rendre la religion très peu
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ture de « mandements » officiels, rédigés par les
Églises
. Cette occasion est devenue prétexte à des « menus du Jeûne » fort ab