1
sa force n’est rien que la faiblesse d’autrui. L’
égoïsme
sacré serait donc le dernier mot de la sagesse politique ? Il en est
2
’occuper que de son pays ; je veux cette espèce d’
égoïsme
national sans lequel nous trahirons nos devoirs, sans lequel nous sti
3
a négation même de ses premiers principes : à l’«
égoïsme
national », au nationalisme agressif. On ne saurait assez souligner l
4
elle liberté lorsqu’elle n’est inspirée que par l’
égoïsme
national, sacralisé sous le nom de « patriotisme » : La voix de la n
5
sées, refusant toute instance supérieure à leur «
égoïsme
sacré », donnera nécessairement la guerre, au point précis où la gran
6
que la France le mérite ; parce qu’elle manque d’
égoïsme
, parce qu’elle ne travaille pas pour elle seule, parce qu’elle] est c
7
la ligue des pouvoirs issus du privilège ou de l’
égoïsme
des intérêts. Et quant à nos ennemis, ils sont à la merci de notre tr
8
arges intérêts communs, à quoi rime d’exciter ces
égoïsmes
galeux ? Et cela au moment où l’absence d’indépendance intellectuelle
9
gion de lui-même, dans un mépris des autres — « l’
égoïsme
sacré » — tels qu’on n’en avait pas vu de semblables, cependant que d