1 plus naturel. L’homme de la rue (qui est aussi l’ électeur , accessoirement) se préoccupe de sa vie personnelle, avant de songer

2 même, c’est-à-dire à ses députés, ceux-ci à leurs électeurs , et ces derniers à leurs intérêts individuels. Si notre civilisation,

3 tis, et les intérêts bien ou mal compris de leurs électeurs , mais tout ce qui fait pour nous le sens même de la vie. L’Europe

4 ment faire l’Europe avec une Italie dont 42 % des électeurs votent totalitaire, sont donc anti-Européens sinon par raison, du moi

5 qui lui échappent d’ailleurs tout autant qu’à son électeur de hasard ou de tradition périmée. Voilà notre démocratie. Que peu

6 bon sens lui-même… Parvenu à l’âge adulte, devenu électeur et responsable, — instituteur ou industriel, député ou journaliste, m

7 able. « Je me sens perdu ! », diront en chœur les électeurs progressistes et les électeurs modérés, les rationalistes critiques e

8 iront en chœur les électeurs progressistes et les électeurs modérés, les rationalistes critiques et les totalitaires illuminés, l

9 a plupart des options proposées aux citoyens, aux électeurs , aux conseillers municipaux, cantonaux, régionaux, concernent des obj