1
’URSS le droit de disposer d’eux-mêmes. (Niet aux
élections
libres en Allemagne de l’Est). 8. K. dénonce le « culte de la personn
2
être les Américains (tout en gagnant des voix aux
élections
anglaises) reviendrait en effet à sacrifier l’union, que cent autres
3
de certains procédés qu’on dit démocratiques : l’
élection
libre, le droit d’opposition, etc. A. — Mais les gens se moquent de l
4
non de les élire. A. — Je persiste à penser que l’
élection
libre par le suffrage universel est le meilleur moyen de garantir les
5
ls durent. R. — Puis-je vous faire observer que l’
élection
n’est pas un procédé démocratique, si la démocratie repose sur le pri
6
de base. La preuve en est que vous approuvez les
élections
. A. — Je ne vous suis plus. R. — C’est pourtant simple. Si les démocr
7
aiment les hommes égaux, ils ne feraient jamais d’
élections
, car celles-ci visent au choix des meilleurs. Ils mettraient simpleme
8
les prends au sérieux. A. — Vous approuvez donc l’
élection
en tant que procédé antidémocratique ? R. — Cette raison ne serait pa
9
imé demander qu’on me rappelle la date des libres
élections
et du mouvement « d’en bas » qui ont porté Lénine au pouvoir. Et Kada
10
e subissent pas une pression populaire imposant l’
élection
d’une Assemblée de l’Europe qui créerait un pouvoir supérieur aux Éta
11
u prix du sacrifice de tous leurs biens. Privés d’
élections
libres, ils votaient avec les pieds, selon la formule de Lénine. M. K
12
n, D.C., n’avaient pas le droit de participer à l’
élection
du président des États-Unis. Un amendement à la Constitution, du 3 av
13
aud avait dépassé les fédéralistes en proposant l’
élection
au suffrage universel d’une Assemblée européenne. Il n’avait recueill
14
ard, les fédéralistes demanderaient à leur tour l’
élection
par le « peuple européen » d’une Assemblée, mais ils la voudraient co