1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
1 ois, dans la bouche des innocents, d’une humanité émouvante , — émouvante par l’erreur même. La femme poursuit : Mais ne vante-t-
2 bouche des innocents, d’une humanité émouvante, —  émouvante par l’erreur même. La femme poursuit : Mais ne vante-t-on pas partou
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). André Rouveyre, Singulier (janvier 1935)
3 classique et volontaire. Je ne sais rien de plus émouvant que l’effort vers eux-mêmes, et l’un par l’autre, de ces deux êtres d
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
4 le et ses difficultés souvent sordides et parfois émouvantes , enfin l’espèce d’incertitude insouciante du lendemain dans laquelle
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
5 e. N’est-ce pas assez ? Cette voix n’est-elle pas émouvante  ? — Oui, c’est beaucoup, la voix d’un homme. C’est assez rare dans la
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
6 vienne l’homme. Chrétien, je ne puis voir dans l’ émouvant effort d’Henri Petit pour sauver d’une foi perdue tous les trésors de
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). La fièvre romanesque (janvier 1937)
7 que des visions parfois bizarres et amusantes, ou émouvantes , souvent fort incertaines et monotones, s’imposent de cette manière a
7 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
8 ait Novalis songeant à sa fiancée perdue. C’est l’ émouvante formule de la fidélité courtoise ; une négation sans retour de la vie
8 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
9 dites-vous. Mais voilà, je le « vide de sa riche, émouvante réalité humaine », Et vous citez la légende de Rudel, et vous me repr
10  éloquent », si « intérieur », si « riche », si «  émouvant  », que ce n’était pas trop de tout un pesant livre pour essayer de fo
11 uve. Vous me reprocherez de sacrifier la richesse émouvante du réel ; et moi, je crains que l’ambition scolastico-mirandolesque d