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rate. Lire à petites doses. Vers la fin, qui est
émouvante
, décider que ceux qui n’aimeront pas sont fermés à toute poésie à l’é
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le sait, du bien et du mal selon l’Église. Mais l’
émouvante
et ironique dialectique de Jouhandeau est-elle très catholique, ou mê
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fois. Et c’est à peine de lui. Dix petites pages
émouvantes
, d’une confidence encore contrainte : « Ah ! comme je suis mal fait p
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fait sauter le cadre, envahit tout à grands bonds
émouvants
, et l’auteur s’esquive prestement avec une bonne espièglerie, pour vo
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de Kuncz : il nous apporte un document bien assez
émouvant
comme tel. Et la preuve, une fois de plus, que l’homme moderne ne se
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ales et jugements tout faits n’est plus seulement
émouvant
: il revêt la valeur d’une expérience cruciale sur les limites de la