1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
1 rate. Lire à petites doses. Vers la fin, qui est émouvante , décider que ceux qui n’aimeront pas sont fermés à toute poésie à l’é
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
2 le sait, du bien et du mal selon l’Église. Mais l’ émouvante et ironique dialectique de Jouhandeau est-elle très catholique, ou mê
3 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
3 fois. Et c’est à peine de lui. Dix petites pages émouvantes , d’une confidence encore contrainte : « Ah ! comme je suis mal fait p
4 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
4 fait sauter le cadre, envahit tout à grands bonds émouvants , et l’auteur s’esquive prestement avec une bonne espièglerie, pour vo
5 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
5 de Kuncz : il nous apporte un document bien assez émouvant comme tel. Et la preuve, une fois de plus, que l’homme moderne ne se
6 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
6 ales et jugements tout faits n’est plus seulement émouvant  : il revêt la valeur d’une expérience cruciale sur les limites de la