1 nde pendant des siècles. Elle est encore, à notre époque , celle qu’on imite partout, même quand on la combat. Elle est donc en

2 ale. Nous ne cessons de parler du « désarroi de l’ époque  ». Nous avons l’impression de vivre dans un chaos sans cesse croissan

3 e certains eurent le courage de risquer à la même époque . Et voici, à partir de ces pionniers, tout le développement des scien

4 s bien du véritable et du seul réalisme, dans une époque dont Churchill pouvait dire prophétiquement, au milieu de la guerre :

5 rée en Europe, comparable à la mode chinoise de l’ époque  : les Jeux russiens (tapisseries de J.-B. Leprince) répondent aux chi

6 , du reste, que le prestige du pays tient à cette époque , et plus tard encore, non pas tant à son nouvel essor culturel, dont

7 e. Ainsi y fut conservé le ballet classique à une époque où il s’étiolait complètement dans ses pays d’origine, la France et l

8 expérimentales dans les arts. Durant toute cette époque , le libre-échange des influences entre la Russie et les autres pays e

9 qui fut compris, rien de ce qui fut créé à cette époque n’est concevable en dehors de ces nouvelles connaissances, de ces nou

10 s le concret, que le problème le plus urgent de l’ époque est de former des responsables. (Tout en gardant bien dans l’esprit q

11 uscita la Communauté. On pouvait espérer, à cette époque , que la perspective de se voir publié en plusieurs langues par des as

12 , pour répondre à l’interrogation morale de notre époque , si en nous l’Européen finira par discipliner l’humain, autrement dit

13 s) additionnés. En outre, il devient évident, à l’ époque des armements atomiques et de la technique en plein essor, qu’aucun d

14 oblèmes dans le grand jeu mondial des forces de l’ époque , de manière à faire voir dans les faits la nécessité de notre union.

15 casion de trouver la seule voie praticable pour l’ époque . C’est la voie que nous indiquent depuis près d’un demi-siècle les sc

16 ons d’un ou deux siècles dans l’appréciation de l’ époque de « naissance », tous ces auteurs catholiques s’accordent à reconnaî

17 fait ou de dates. Une étude aussi exhaustive de l’ époque de l’Aufklärung, de la Révolution et du romantisme, déborde nécessair

18 texte historique, religieux et philosophique de l’ époque ne pourrait être critiquée que par un marxiste « vulgaire » ou par qu

19 à la conjoncture historique et sociale de chaque époque . Cette critique apparaît injuste, si l’on prend garde au titre et à l

20 ue l’idée d’un Centre. Ceci posé, regardons notre époque et le concret de ses problèmes. Voici le tableau, tel qu’il s’offrait

21 un trait de l’intelligentsia parisienne de cette époque . Il a rencontré Gide dans un train entre Prague et Paris, et il note

22 plus tôt, Conrad avait déjà derrière lui, à cette époque , toute sa carrière d’officier de la marine marchande. Il avait publié

23 irage de 250 000 exemplaires, sensationnel pour l’ époque . (Clemenceau lui-même lui consacre un article.) Négociations secrè

24 vé Boni de Castellane. Ce grand dandy de la Belle Époque ne manque pas d’idées politiques originales. Il propose à Retinger de

25 etracer ici. Qu’il suffise de rappeler qu’à cette époque , les compagnies étrangères, américaines surtout, possédaient 90 % du

26 avec Adenauer, qu’on connaissait à peine à cette époque , et qui au surplus demeura dans sa chambre d’hôtel, suivant de près l

27 nt, celui qui reste le plus conventionnel à notre époque , ennemi des conventions ! Pourquoi ne pas essayer dans ce domaine aus

28 ux Flandres, le long du grand axe commercial de l’ époque qui était Venise-Bruges. Elles se développent dans les Flandres, rede

29 taient pas les mêmes ou n’existaient pas dans ces époques -là. Elles ne vont pas d’une nation à l’autre mais d’un foyer de créat

30 oute race, est une création de l’Europe, durant l’ époque colonialiste et tout d’abord en réaction à ses outrages : las Casas,

31 Renaissance, probablement au xiiie siècle — à l’ époque justement qui a vu naître les premières universités européennes, en I

32 ver, puis vanter (et même jusqu’à l’excès, dans l’ époque moderne) la variation individuelle, l’innovation, l’originalité d’un

33 mmédiats avaient fait oublier. C’est ainsi qu’à l’ époque du cubisme et du fauvisme, qui rompent avec les réalistes et les impr

34 s, et Luther crée l’allemand littéraire à la même époque . Le norvégien, l’irlandais, le turc d’aujourd’hui, sont des produits

35 ance des nations, remplit d’effroi les sages de l’ époque . « Ô genre humain, tu es devenu un monstre aux multiples têtes ! » s’

36 a revue L’Ordre nouveau  ; et mon Journal d’une époque , 1968, p. 107, note 24. 93. Mais quand Malraux dit que la nation est

37 près le sens de quelques-uns des mots-clés notre époque . Une approche aphoristique, me semble-t-il, s’y prêtera mieux qu’un d

38 mpression qu’on renouait avec les traditions de l’ époque militante (que j’ai nommée ailleurs « la campagne des congrès »117),

39 stifier l’existence autonome de ce pays, dans une époque où l’homme complet devient un phénomène tellement plus important, tel

40 éelles, c’est donc au secret de la psyché de leur époque qu’ils ont surpris l’avenir comme à l’état naissant. À leurs yeux, la

41 e l’extérieur, définissant la « modernité » d’une époque , — « modernité » au sens de rupture de la tradition, d’où les condamn