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sque, il reprend le dialogue avec son public et l’
époque
, de ce ton viril et simple qui est à lui, nullement irrité (comme un
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et dans la crise… 7. On pourrait soutenir que l’
époque
1900-1910 fut « inactuelle » pour la grande masse de ceux qui la vécu
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n « au-delà » des conditions de vivre. Mais notre
époque
voudra-t-elle encore de ces évasions ? Elle les reproche au christian
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tte, en ceci plus chrétienne, plus tragique que l’
époque
romantique (Nietzsche plus chrétien que son idée du christianisme). P
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n d’intellectuels dans un pays qui compte à cette
époque
moins de 3 millions d’ouvriers sur une population de 160 millions, et
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nité de refus devant la consternante misère d’une
époque
où tout ce qu’un homme peut aimer et vouloir se trouve coupé de son o
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science est en train de revenir, après une sombre
époque
cérébrale et matérialiste. Il s’opposait32 aux médecins galénistes qu
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tes, elle n’est pas seulement cruelle et folle, l’
époque
qui nous offre de si grandes chances. Et c’est une ère favorable qui
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dès lors était celle-ci : « Comment donner à une
époque
plongée dans la plus grande mollesse spirituelle » l’amère passion de
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talent. Qu’arrive-t-il ? Tout simplement ceci : l’
époque
s’engoue de tes discours et tu deviens son favori. Tu es alors au déb
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rt, c’est-à-dire à donner raison au bon sens de l’
époque
présente. Il a trop souvent fait ses preuves. 15 décembre Déjeuné,
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és à faire vivre la joie dans le pays du fer, à l’
époque
du fer » nous ont appris à leur façon « les riches alternances de la
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une trace de hargne, c’est un miracle qui défie l’
époque
. M. de Lacretelle, dans sa préface, déclare fort justement qu’il s’ac
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e à l’art, la « critique dogmatique » des grandes
époques
, ne sont plus que mensonges à ses yeux dès que l’on passe à l’ordre s
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silence : « C’est ainsi que j’ai commis, à cette
époque
— je parle de mon premier séjour en Afrique, — une terrible erreur d’
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de l’attitude chrétienne devant le temps ? Notre
époque
aurait-elle simplement l’esprit « plus historique » que toutes les pr
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i moi, reprise et précisée par toutes les grandes
époques
de la théologie et de la philosophie, et toujours opposée à l’homme n