1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
1 lle qu’elle nous est transmise, aux besoins que l’ époque nous crée. Surproduction ou sous-consommation ? C’est bien le même di
2 esse féodale. Pour les auteurs bourgeois de cette époque « la dignité de l’homme ne dépend ni de la naissance ni de la fortune
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
3 principe qui domine l’action et la pensée de leur époque . Nous avons vu que l’époque bourgeoise honore un principe rationnel.
4 et la pensée de leur époque. Nous avons vu que l’ époque bourgeoise honore un principe rationnel. Or la raison dont il s’agit
5 ion abstraite. Tout ceci pouvait être prévu dès l’ époque de la Renaissance ; il eût suffi de connaître un peu l’homme et la na
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
6 èle et plus aisément vérifiable du latin, entre l’ époque de Dante et celle d’Érasme. ⁂ Qu’est-ce que le latin, au xiiie siècl
7 locutions de paroles » du meilleur latiniste de l’ époque n’aboutissent qu’à orner un discours dont l’ornement paraît enfin tou
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
8 e langue est plus malade que n’était le latin à l’ époque de la Renaissance. Le latin de Bembo et de Sadolet était encore une r
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
9 étant mesurée par la tension qui l’opposait à son époque . Telle est l’origine spirituelle, ou culturelle si l’on veut, de la s
10 répondu à l’appel angoissé et inconscient de leur époque . Ils ont refait au moins provisoirement une mesure, en imposant une f
6 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
11 urs, ni les plus marquants… 37. C’était, à cette époque plus encore qu’aujourd’hui, une polémique antichrétienne. Voir David
7 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
12 ocialiste) ne serait guère qu’un épisode, non une époque , si elle restait purement politique ». Il est incontestable que ces t
8 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
13 crètes carences. Mais où se cache le secret d’une époque  ? Apparemment là où personne n’aura l’idée d’aller le chercher : dans
14 s crèvent les yeux. Dans la bonne conscience de l’ époque , et non dans ses débordements, dans ses raisons, et non dans ses excè
15 extension de notre propre absence de style, à des époques de grand style ? Est-ce que leur psychologie réductive, perfectionnée
16 l’homme ; et que la pensée n’agit jamais sur une époque , mais sur les hommes qui pensent avec leurs mains ; sur quelques-uns.
17 ine (Hegel) situer l’homme dans le concert de son époque et de ses déterminations. Et puis on a simplement oublié que ceux qui
18 é que ceux qui font l’Histoire vivent contre leur époque , et utilisent leurs déterminations pour des fins qu’ils se sont créée
9 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
19 i de savoir ce qu’on dit est un des moindres de l’ époque . Il paraît même décroître dans la mesure où croît la quantité des dis