1 du clerc engagé malgré lui dans le désordre de l’ époque . Ce sont là des motifs égoïstes, dira-t-on. J’en ai quelques autres,

2 nt des considérations qui suivent. Dire que notre époque a renversé toutes les valeurs, c’est trop peu dire. Elle les a, beauc

3 un certain sens, est fort exacte. Nous vivons à l’ époque de la plus juste pénitence des intellectuels. Ils ont si bien habitué

4 ouvait croire que la mission était de penser leur époque  ? Ils s’en garderont bien, pour les raisons qu’on vient de voir. Ils

5 entatives faites par les clercs pour « repenser l’ époque  » ne sont point trop encourageantes. Ne les voyons-nous pas, pour cet

6 plus juste, pour qui se borne à considérer notre époque et les doctrines infiniment contradictoires qui s’affrontent au milie

7 és d’aménagement de la terre. Pourtant, certaines époques ont connu la grandeur. Ce ne furent pas les moins corrompues de l’his

8 ent reconnue, dénoncée et battue en brèche. Notre époque , elle aussi, possède sa chance de grandeur. Je dirai même qu’elle a p

9 netteté qui, je le répète, est la chance de notre époque . Je voudrais décrire cette époque, telle qu’elle nous apparaît de ce

10 chance de notre époque. Je voudrais décrire cette époque , telle qu’elle nous apparaît de ce point de vue, en quelques traits f

11 e erreur insondable que de voir le salut de notre époque dans un retour à l’individu. L’individu est l’origine la plus certain

12 en définitive, la question simple que nous pose l’ époque . Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le défini

13 nomique servit de point de départ à Marx dans une époque où la bourgeoisie se croyait « spiritualiste » ou « idéaliste » au se

14 nité de refus devant la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et vouloir se trouve coupé de son o

15 n d’intellectuels dans un pays qui compte à cette époque moins de 3 millions d’ouvriers sur une population de 160 millions, et

16 XIICommunauté révolutionnaire L’ époque où nous vivons cherche la paix comme d’autres ont cherché la puissanc

17 ait peut-être l’importance qu’avait prise, à leur époque , l’argent. L’argent devenait le principal facteur de différenciation

18 vanouit aussitôt qu’on l’atteint. Vraiment, notre époque vit sur des données fragiles, éthérées ! La carotte qu’on fixe devant

19 oisir. Il ne semble pas que rien l’y aide, dans l’ époque . C’est qu’il a tout infecté, ou presque. La mystique bourgeoise du tr

20 ent au moins en accord avec l’esprit général de l’ époque  : intelligence d’un côté, action de l’autre, et surtout ne mélangeons

21 de penser n’importe quoi, sans tenir compte de l’ époque , était une illusion entretenue par l’apparente paix sociale, mais que

22 ques siècles, pour retomber tout à la fois dans l’ époque de la Réformation et dans le sujet précis qui nous occupe. L’Église p

23 ces gestes sont-ils ressentis comme tels à cette époque . Or il est évident que cet individualisme est un retour du paganisme

24 ces termes sont présentes, et sont en conflit à l’ époque de la Réforme. Essayons de les dégager sommairement. Le but unique de

25 sez abstraits pour s’appliquer à n’importe quelle époque de l’histoire. Mais, au contraire, je tiens la situation présente pou