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tiques ». Sur le stade au soleil se déploient les
équipes
, et l’équipier Montherlant les contemple, ému de « cette ivresse qui
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comme une lutte sauvage et déloyale, la morale d’
équipe
devient toute la morale, et les qualités indispensables au bon équipi
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lon. Le regard connaît le regard dans la course d’
équipe
. Le cœur connaît la présence muette et sûre. Toutes ces choses ne se
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bservera les règles. Saluons-le donc du salut des
équipes
avant le match : « En l’honneur d’Henry de Montherlant, hip, hip, hur