1 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
1 veut-on que le chrétien échappe à cette espèce d’ équivoque  ? Dès qu’il fait de la politique, il est bien obligé de parler le lan
2 és les essais qu’on va lire. Et si j’ose parler d’ équivoque , c’est dans l’espoir qu’on voudra bien ne pas oublier les raisons qui
3 sons qui m’empêchent honnêtement d’en sortir. Une équivoque définie comme telle cesse d’ailleurs d’être trompeuse. Le rôle de la
2 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
4 sse sous silence, et le système s’établit sur une équivoque fondamentale. C’est le cas de la démocratie libérale ; elle est fondé
3 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
5 oïsme. Nous savons bien que ce mot introduit une équivoque grave. Les fascismes régnants en ont fait un abus qui tend à le disqu
4 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
6 la phrase —, ce cri est significatif de l’étrange équivoque cultivée par la bourgeoisie capitaliste. De cette équivoque, sans dou
7 cultivée par la bourgeoisie capitaliste. De cette équivoque , sans doute pensa-t-elle pouvoir rester longtemps la dernière à souff
5 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
8 andis que L’Ordre nouveau évitait l’emploi fort équivoque du mot Esprit, pour y substituer l’adjectif « spirituel » qualifiant
6 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
9 es d’État démocratiques. Tout cela ne va pas sans équivoques . Les dissiper me paraît une tâche d’une importance particulière pour