1 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
1 tables, les femelles en tout temps accessibles. L’ érotisme , deuxième niveau, est l’usage non procréateur, non fonctionnel de la
2 de la passion, laquelle est la transposition de l’ érotisme en religion de l’amour ressenti, en exaltation nostalgique ou jubilan
3 u prochain dans le même rapport dialectique que l’ érotisme l’est à l’instinct sexuel. L’Éros grec Le vocabulaire de la Grè
4 ’apparaissent en Europe des expressions telles qu’ érotisme , sexualité, problème sexuel, dans les œuvres de Charles Fourier et de
5 Georges Bataille dans ses ouvrages sur Éros et l’ érotisme , si fort en vogue dans l’avant-garde intellectuelle des années 1970.
6 que de l’Éros. « Le christianisme, s’opposant à l’ érotisme , a condamné la plupart des religions », écrit-il avec une lucidité to
7 te son œuvre illustre les liens nécessaires entre érotisme et religion, désir et angoisse, transgression et volupté, finalement
8 ’agit plus d’échapper au péché, mais d’intégrer l’ érotisme à la vie sans qu’il perde cette force qu’il devait au péché ; de lui
9 tinct sexuel que le refouler. Cette invasion de l’ érotisme dans la rue, dans les mœurs, dans le langage, dans les livres, ne sig
10 e des puissances irrationnelles et affectives : l’ érotisme généralisé, le budget privé de la magie qui, en France, dépasse le bu
11 maîtriser les deux pulsions contradictoires de l’ érotisme et de la passion. Et ce sera la fonction retrouvée et renouvelée de l