1 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
1 atement vers les voyages, le sport, les jeux et l’ érotisme . L’expérience des vacances payées nous l’a fait voir à une échelle ré
2 oposant des recettes de bonheur, de télépathie, d’ érotisme , de paix de l’âme ou d’exaltation ; demain, des règles de yoga « scie
2 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
3 comme principe et comme catégorie spirituelle. L’ érotisme , « synthèse psycho-sensible » et déterminée par l’esprit, exige désor
4 rement à l’œuvre plastique, peinte ou sculptée. L’ érotisme , exclu par l’esprit, trouvera donc son « médium absolu » non pas dans
5 cteur, du moins s’il l’a vraiment séduite ».97 L’ érotisme de Don Juan s’oppose à l’Éros antique, qui était psychique et non sen
6 possibilités ou puissances rivales en l’homme : l’ érotisme sexuel et l’amour. Or, ni la passion érotique d’un Byron ou d’un Napo
7 ci, ne sont à parler proprement, des instincts. L’ érotisme commence précisément avec l’usage non instinctif du sexe (j’entends l
8 t est l’intelligence de Don Juan ; Don Juan est l’ érotisme de Faust… Le romantisme conciliera que Don Juan et Faust cherchent to
3 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
9 iter reste un peu court. Il n’accédera jamais à l’ érotisme , qui est dépassement de l’instinct et des faims animales. Il n’intére
10 , pour déceler une certaine faiblesse intime de l’ érotisme donjuanesque, même dans ses manifestations les plus altières et les p