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es. C’est dire que l’œuvre de synthèse qu’exige l’
état
présent de notre culture et de nos universités, devrait d’abord être
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thèse, nous voulions laisser les choses dans leur
état
de tension. Quant à Esprit, son premier numéro manifestait une tendan
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nde un jeune homme, de n’être pas écrivain ? Cet
état
« singulier » de notre littérature n’autorise pas trop d’optimisme.
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nvie d’écrire. Et je ne dis pas que ce besoin à l’
état
brut ne continue d’agir dans mes écrits, mais il n’est plus seul disc
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cation, contre l’Église et contre la famille. Cet
état
de fait nous vient tout droit de Napoléon, qui a légué au monde entie
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éaire. Ils pourront confirmer ma description de l’
état
d’innocence générale où nous étions à peu près tous. […] Je ne pense