1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 mps ! Il doit être pénible de « s’abaisser » de l’ état de demi-dieu académique à celui de « camarade » (!!!) populaire. On f
2 ouvent contenir bien plus de renseignements sur l’ état du monde que les « libres » journaux français. L’Allemand sait ce qui
3 omiques « provisoires », les clauses du Diktat, l’ état démographique de l’Europe centrale, le rôle des camps de travail dans
4 eur identité vertigineuse, c’est se mettre hors d’ état de rien comprendre à ce qu’il y a, dit-on, d’irréductible et de « pro
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
5 ue. L’un n’est plus possible sans l’autre, dans l’ état de nos sociétés. On peut n’aimer ni l’un ni l’autre, mais il serait u
6 talitaire — quelle que soit sa doctrine — c’est l’ état de guerre. Tout ce que l’on fait là-bas se fait au nom de l’union sac
7 us l’imposerait l’Allemagne, ne peut sortir qu’un état totalitaire. Il s’agit donc d’empêcher cette guerre, de se montrer as
3 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
8 pour son bien… On voit très clairement pourquoi l’ état national-socialiste ne peut pas appliquer le système de référendum, e
4 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
9 re catholique se rapprocherait de l’Autriche, les états rhénans de la France) ; c’est d’autre part la pression des Alliés qui
10 endre à l’école. 22. L’État totalitaire, c’est l’ état de guerre, et de même on peut affirmer qu’une idéologie née du seul c