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ceci, que le christianisme parle sans cesse de l’
Éternité
, pense continuellement à l’Éternel, — et que la chrétienté ensuite pa
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ne mesure humaine. Toute présence est un éclair d’
éternité
qui rompt le temps pour initier un temps nouveau. De cette rupture, l
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tant que pure initiation : c’est le mystère de l’
éternité
, de cela qui échappe au temps, marque sa fin, et le recrée. De ce mys
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dans notre temps, où nous sommes, tout entier. L’
éternité
pour nous n’existe pas en dehors de l’appel qu’elle nous adresse ici
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que la personne est l’impensable incarnation de l’
éternité
dans le temps. La personne pure serait ainsi la coïncidence absolue e
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ngagement religieux est pris « pour le temps et l’
éternité
», c’est-à-dire qu’il ne tient aucun compte des variations de tempéra
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; mais tandis que pour Tristan l’infini, c’est l’
éternité
sans retour où s’évanouit la conscience douloureuse — pour le moderne
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us lie au temps, précisément, quand la foi veut l’
éternité
! Que répondre à cet homme qu’il n’ait déjà mieux dit ? Il a su louer