1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
1 ceci, que le christianisme parle sans cesse de l’ Éternité , pense continuellement à l’Éternel, — et que la chrétienté ensuite pa
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
2 ne mesure humaine. Toute présence est un éclair d’ éternité qui rompt le temps pour initier un temps nouveau. De cette rupture, l
3 tant que pure initiation : c’est le mystère de l’ éternité , de cela qui échappe au temps, marque sa fin, et le recrée. De ce mys
4 dans notre temps, où nous sommes, tout entier. L’ éternité pour nous n’existe pas en dehors de l’appel qu’elle nous adresse ici
5 que la personne est l’impensable incarnation de l’ éternité dans le temps. La personne pure serait ainsi la coïncidence absolue e
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
6 ngagement religieux est pris « pour le temps et l’ éternité  », c’est-à-dire qu’il ne tient aucun compte des variations de tempéra
7  ; mais tandis que pour Tristan l’infini, c’est l’ éternité sans retour où s’évanouit la conscience douloureuse — pour le moderne
4 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
8 us lie au temps, précisément, quand la foi veut l’ éternité  ! Que répondre à cet homme qu’il n’ait déjà mieux dit ? Il a su louer