1 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
1 rds, noms à retenir sans les noter, etc. Ce qui m’ étonne , dans l’action, c’est cela : elle n’est faite en réalité, que de déta
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
2 uvrir cet autel au dieu inconnu dont saint Paul s’ étonnait devant les Athéniens. Toutes sont pleines le dimanche, pendant des he
3 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
3 sur la nuit. Je connais la cérémonie. Mes amis s’ étonnaient de mon calme. Que voulez-vous, je me sens tellement plus vieux que vo
4 ls nous apprennent dès l’enfance — et nul ne s’en étonne  — qu’il possède un climat tempéré. C’est la France. Ses habitants cro
4 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
5 es-vous nazis ? Tous jurent que non. L’officier s’ étonne , puis se fâche. Ne sait-on pas dans le monde entier que le peuple all
5 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
6 t incroyable. Je ne trouve ici d’autre sujet de m’ étonner que de n’en point trouver, justement. Tout est pareil à mes souvenirs
6 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
7 éalité n’est pas l’ordre mais le chaos. Voilà qui étonne encore trop de braves gens, nés dans un monde où presque tout allait
8 que déjà l’on y pense, et je veux dire qu’on s’en étonne parfois… La couche est mince et partout déchirée qui nous sépare du d