1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 ale au fond de son esprit. Le mari. Je vais vous étonner . Le peintre. Essayez. Le mari. Tel le prestidigitateur, je vais ext
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
2 s, dirait-on, sans le savoir. Chamisso, lui, s’en étonnera . Tel est le calcul de l’homme sans ombre. Surprendre ce Français, c’e
3 ation sur un sujet qui défie l’expérience, l’on s’ étonne qu’aucun d’entre eux n’ait songé à se justifier. L’on s’étonne qu’auc
4 un d’entre eux n’ait songé à se justifier. L’on s’ étonne qu’aucun non plus n’ait essayé de formuler le symbole enfermé dans le
5 sens banal) préfère en ignorer la cause ? L’on s’ étonne enfin de ce lien entre le domaine germanique et l’expression littérai
3 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
6 sale. Qui sortirait pour voir ? Seul, d’ici, je m’ étonne  : ce monde peut si facilement glisser, tout se trouver changé, et les