1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 l’Amérique Cinq ans déjà, et chaque matin je m’ étonne encore de me réveiller en Amérique. J’ai vécu en Suisse, en Autriche,
2 elle ne sert à rien. Mais personne ne paraît s’en étonner , tant est puissant le sens des conventions publiques dans ce peuple q
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
3 ut avouer que l’Américain ne s’en prive pas, et s’ étonne fort de voir certains esprits tirer de cet état d’impuissance de la p
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
4 plus visible. Il faut être un Européen pour s’en étonner , me dit-on. De fait, pour un Américain qui connaît tant soit peu son
5 Ce qui est étonnant, c’est précisément que cela n’ étonne personne ici. Je songe à la France laïque de naguère ! Je songe même
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
6 noms des conjoints suivis de cette mention qui n’ étonne plus : « Lui, pour la troisième fois, elle pour la quatrième. » Motif
7 ence des mœurs chez les jeunes gens, l’Européen s’ étonne de ne point trouver trace de ce qu’il nommait libertinage. L’Américai
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
8 pas ce qu’on est devenu, on rit, on boit, on ne s’ étonne de rien, tout glisse et passe, il y a tant d’êtres sur la terre, tant