1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 partie les calomnies de l’Inquisition. Mais on s’ étonne de voir ce saint docteur qualifier de « chrétienne » une prédication
2 Bretons montraient sans l’expliquer ni même s’en étonner , apparemment. Il développe et révèle ainsi tout le catharisme latent
3 isme aurait envahi l’Europe en deux ans ! Il s’en étonne . Je n’y crois pas. Sous d’autres noms, ou même sans nom, le catharism
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
4 ire, incendiaire, solaire139. » Voilà ce qui doit étonner chez Pétrarque : cette inoubliable passion animant pour la première f
5 eille l’avoue plus tard, tout en feignant de s’en étonner , comme il se doit, dans un Examen de sa pièce : « Cet amour de son re
6 ne inégalité de mœurs qui est vicieuse. » Ne nous étonnons point de cet aveuglement de l’auteur sur son dessein réel, pourtant s
7 ette maxime et de la publier. Cela pouvait encore étonner . Ce n’était encore, et ce ne sera jamais, qu’un idéalisme à rebours.
8 naturel ? Et pourtant un Hindou, un Chinois, s’en étonnent . Un Grec ressuscité ne s’en étonnerait pas moins. D’où nous viennent
9 hinois, s’en étonnent. Un Grec ressuscité ne s’en étonnerait pas moins. D’où nous viennent donc ce goût et ce dégoût bizarres ? Ne
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
10 les pavillons de votre lit ! » Il ne faudra pas s’ étonner si les auteurs mystiques reprennent ces métaphores devenues banales,
11 de l’homme. J’écrivais en 1938 : « Le Français s’ étonne des succès d’Hitler auprès de la masse germanique, mais il ne s’étonn
12 itler auprès de la masse germanique, mais il ne s’ étonnerait pas moins des façons qui plaisent aux Allemandes. Chez les Latins, fa
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
13 e, mais alors « en vertu de l’absurde ». Et ils s’ étonnent chaque jour de leur bonheur. (Ces choses-là sont trop simples et tota