1
partie les calomnies de l’Inquisition. Mais on s’
étonne
de voir ce saint docteur qualifier de « chrétienne » une prédication
2
Bretons montraient sans l’expliquer ni même s’en
étonner
, apparemment. Il développe et révèle ainsi tout le catharisme latent
3
isme aurait envahi l’Europe en deux ans ! Il s’en
étonne
. Je n’y crois pas. Sous d’autres noms, ou même sans nom, le catharism
4
ire, incendiaire, solaire139. » Voilà ce qui doit
étonner
chez Pétrarque : cette inoubliable passion animant pour la première f
5
eille l’avoue plus tard, tout en feignant de s’en
étonner
, comme il se doit, dans un Examen de sa pièce : « Cet amour de son re
6
ne inégalité de mœurs qui est vicieuse. » Ne nous
étonnons
point de cet aveuglement de l’auteur sur son dessein réel, pourtant s
7
ette maxime et de la publier. Cela pouvait encore
étonner
. Ce n’était encore, et ce ne sera jamais, qu’un idéalisme à rebours.
8
naturel ? Et pourtant un Hindou, un Chinois, s’en
étonnent
. Un Grec ressuscité ne s’en étonnerait pas moins. D’où nous viennent
9
hinois, s’en étonnent. Un Grec ressuscité ne s’en
étonnerait
pas moins. D’où nous viennent donc ce goût et ce dégoût bizarres ? Ne
10
les pavillons de votre lit ! » Il ne faudra pas s’
étonner
si les auteurs mystiques reprennent ces métaphores devenues banales,
11
de l’homme. J’écrivais en 1938 : « Le Français s’
étonne
des succès d’Hitler auprès de la masse germanique, mais il ne s’étonn
12
itler auprès de la masse germanique, mais il ne s’
étonnerait
pas moins des façons qui plaisent aux Allemandes. Chez les Latins, fa
13
e, mais alors « en vertu de l’absurde ». Et ils s’
étonnent
chaque jour de leur bonheur. (Ces choses-là sont trop simples et tota