1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
1 poir —, péril pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’ordinaire consciencieux. Les canons de Shang
2 vance jusqu’à Königsberg. 4. Note de 1967 : Je m’ étonne d’avoir commis ici une erreur moins pardonnable que celle que je dési
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
3 ent assez bien à eux deux, par un hasard qui ne m’ étonne guère, ce double mouvement de matérialisation du spirituel et d’intel
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
4 vain peut faire sa « spécialité ». Et rien ne les étonnerait davantage que d’apprendre un beau jour que je m’intéresse à leurs « i
5 ron 35 ans, l’air intelligent. Je l’approuve et m’ étonne que la discussion n’ait pas été plus longue : il y avait pourtant bie
6 e pense pas comme ça ici ? » Il me regarde un peu étonné à son tour : « Qu’est-ce que vous voulez, il n’y a rien à répondre, c
7 tout naturel. Je fus certainement le seul ici à m’ étonner que l’instituteur citât Ernest Lavisse ; ou le pasteur, M. Benda. Il
8 t celle d’un clerc parfait. Je n’ai pas fini de m’ étonner de cette rencontre. 20 décembre 1933 « Si l’on veut réellement
9 si obsédantes. Et même, en y réfléchissant, je m’ étonne soudain du calme particulier avec lequel j’accepte en fait mon existe
10 ine ; l’enthousiasme du plan de cinq ans. Et je m’ étonnais tout en parlant de raconter une épopée contemporaine : tout cela se d
11 es uns pour les autres, dès qu’ils ont cessé de s’ étonner les uns des autres, et qu’ils n’ont pas le même genre de métier. Ce n
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
12 ile ! Moi, ça ne me gênerait pas. Mais eux on les étonnerait , et surtout ils y sont entre eux. Je n’ai aucune envie d’aller faire
13 crivais que je n’y crois pas. Superstition ! Je m’ étonne de ce que ce « reproche », que je me formule en vertu d’une habitude
14 indre effort. » C’est la fin de la phrase qui m’a étonné . La santé n’étant pas une valeur « culturelle » ni même une valeur de
15 s au-dedans de moi », note Pascal. En sorte que s’ étonner d’une pluie « intempestive » c’est une manière de dire : « Je m’atten
16 ’arriveraient pas à concevoir qu’on puisse même s’ étonner . Et ne pas croire, surtout, qu’il s’agit là de « préjugés », comme di
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
17 z ni son chef Ribbentrop n’auraient le droit de s’ étonner que je l’écrive avec la même franchise. Trois semaines plus tard, j’é
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
18 que je viens de recevoir et lui ai prêtées. Il s’ étonne sincèrement du communisme affiché par l’auteur, et conclut que « ce d
19 siez pas tout à l’heure ! Je vais sans doute vous étonner . Ce que je reproche à votre « peut-être qu’il faut cela », ce n’est p
20 llu, sur place, des mois pour la comprendre. Je m’ étonne après coup de mon aveuglement, comme l’initié qui se souvient de ses
21 rs fut écouté avec un intérêt courtois, vaguement étonné il est vrai… 62. Association des étudiants nationaux-socialistes. 6
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
22 s articles parus en Allemagne sur mon livre. Cela étonne , venant d’un tel pays, et cela n’est pas sans signification quant aux
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
23 rds, noms à retenir sans les noter, etc. Ce qui m’ étonne , dans l’action, c’est cela : elle n’est faite, en réalité, que de dét
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
24 uvrir cet autel au dieu inconnu dont saint Paul s’ étonnait devant les Athéniens. Toutes sont pleines le dimanche, pendant des he
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
25 sur la nuit. Je connais la cérémonie. Mes amis s’ étonnaient de mon calme. Que voulez-vous, je me sens tellement plus vieux que vo
26 ls nous apprennent dès l’enfance — et nul ne s’en étonne  — qu’il possède un climat tempéré. C’est la France. Ses habitants cro
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
27 ain, interrompant ses voisins : — Vos jugements m’ étonnent , dit-elle, car l’homme que je respecte le plus au monde est un Juif.
28 -vous nazis ? » Tous jurent que non. L’officier s’ étonne , puis se fâche. Ne sait-on pas dans le monde entier que le peuple all
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
29 t incroyable. Je ne trouve ici d’autre sujet de m’ étonner que de n’en point trouver, justement. Tout est pareil à mes souvenirs
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
30 éalité n’est pas l’ordre mais le chaos. Voilà qui étonne encore trop de braves gens, nés dans un monde où presque tout allait
31 que déjà l’on y pense, et je peux dire qu’on s’en étonne parfois… La couche est mince et partout déchirée qui nous sépare du d