1 prits turbulents allassent mettre au service de l’ étranger une humeur belliqueuse qui, Dieu merci, ne trouvait pas à s’exercer d

2 ient cette tradition ? Quelques années de service étranger , cela n’a jamais fait tort, bien au contraire, au sens patriotique de

3 pays. Les traductions de mon livre montrent que l’ étranger s’intéresse à une étude où l’on parle de l’amour sans ironie comme sa

4 temps d’abandonner cette attitude que beaucoup d’ étrangers , hélas, ont pu confondre avec l’esprit même de la Suisse, « peuple d’

5 intérieure qu’ils ont été une proie facile pour l’ étranger , pour les armées de la Révolution française. Je voudrais insister sur

6 rs c’en sera fait de noire liberté vis-à-vis de l’ étranger , c’est-à-dire de notre indépendance nationale. Il ne suffit donc pas

7 la Suisse, et son indépendance de toute influence étrangère , sont dans les vrais intérêts de la politique de l’Europe entière. »

8 ent de domicile depuis le début de cette année. «  Étranger et voyageur sur la terre », ainsi pensais-je d’autres fois, dans ces

9 es au passage, d’infinis croisements d’existences étrangères . Paris propose une liberté et un danger, une révélation totale de l’h

10 ameuses photos en couleur d’écrivains français et étrangers — et José Ortega y Gasset. Il y a trois semaines, nous étions ensembl

11 nt le moins…10) Or l’opposition gauche-droite est étrangère au génie de la Suisse. Son origine parlementaire le prouve : rien de

12 onc le droit de condamner ouvertement des régimes étrangers qui attaquent ouvertement le nôtre. Et qu’on ne vienne pas me dire qu

13 a chose européenne, qui nous représenteraient à l’ étranger — officiellement ou non — avec combien plus d’efficacité que les meil

14 ialement, manœuvrés moralement par des influences étrangères . Jamais notre existence indépendante ne fut plus gravement mise en qu