1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 ’une réalité qui, justement, m’attirait comme une étrangère . Néanmoins, j’eusse un beau jour cédé à la tentation du pittoresque e
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 ombre de l’année par les rues vides sous la pluie étrangère . Une porte basse s’ouvre sur un long corridor hanté d’ombres drapées,
3 La littérature hongroise n’est guère connue à l’ étranger que par quelques pièces légères de Molnar, qui n’ont de hongrois que
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 en capons de voir à sa fenêtre la silhouette de l’ Étranger . On a laissé sa photo dans ma chambre, « pour que vous ayez une compa
5 on connaît profondément. Par les yeux d’une femme étrangère , mes yeux possédaient sans mesure tout ce que l’anxiété de la vie nou
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
6 le désigne. Un tel milieu ne sollicite guère de l’ étranger je ne sais quelle admiration sentimentale ou esthétique. Que feraient
7 ette noblesse terrienne, dans son ensemble, reste étrangère au capital. Comme les autres ils ont été ruinés par la guerre, c’est-
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
8 e méfie ; se promener seul la nuit dans une ville étrangère , n’est-ce point la définition même de la luxure ? Quand je vais à pie
9 es, parmi les entreprises des fantômes… Enfin, un Étranger raconte l’histoire suivante qui est une des plus belles du monde : U