1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 ent de domicile depuis le début de cette année. «  Étranger et voyageur sur la terre », ainsi pensais-je d’autres fois, dans ces
2 es au passage, d’infinis croisements d’existences étrangères . Paris propose une liberté et un danger, une révélation totale de l’h
3 ameuses photos en couleur d’écrivains français et étrangers ) et José Ortega y Gasset. Ortega spirituel et sérieux, parlant sur l
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
4 faisait coller chaque jour les articles parus à l’ étranger sur sa personne. Il y avait une coupure du Courrier de Saint-Étienne
5 la maison d’en face. L’ordre récemment donné aux étrangers de déposer leurs armes aux postes de police a permis d’observer le ph
6 même. Vous êtes accusé d’injures à un chef d’État étranger . Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave, c’est…
3 1946, Journal des deux mondes. Intermède
7 Pro Helvetia, par le Secrétariat des Suisses à l’ étranger , m’offrait une « mission culturelle » en Amérique. L’armée démobilisa
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
8 lorsque tout sera terminé, le chiffre maximum des étrangers admis à passer la frontière ce jour-ci ayant été atteint dès le matin
9 gne, car c’est une querelle de famille à quoi les étrangers ne peuvent rien comprendre. » Mais que pensent-ils, ceux d’ici, maint
10 nsent-ils, ceux d’ici, maintenant que les meneurs étrangers du jeu ont été opérer ailleurs, et que les frères ennemis se retrouve
11 aines personnes désignées par certaines autorités étrangères auxquelles on n’a rien à refuser… Enfin, le convoi se remet à rouler
12 moins brillamment prévu les choses… De fait, les étrangers sont toujours surprenants. On ne s’entend vraiment bien qu’entre gens
13 Je n’ai jamais eu la sensation d’un paysage plus étranger , mais plus étrangement accueillant. Tous ces arbres si riches, touffu
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
14 hâte de la fuite, leurs traits tirés, leur accent étranger … Gens d’ici, vous avez votre paix, et vous l’avez méritée, pensez-vou
6 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
15 accueil curieux, ferme et poli, de quelque avenir étranger . Au long souffle appuyé des nuits brûlantes, profond massage, les sou
7 1946, Journal des deux mondes. Intermède
16 onquérant n’occupe jamais que l’extérieur, mais l’ étranger s’infiltre au cœur de l’être. Comment lui résisterait-on ? C’est un a
8 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
17 ible d’être mobilisé d’un jour à l’autre, quoique étranger , père de deux enfants, et ressortissant d’un pays neutre. (L’Amérique
18 re. (L’Amérique est le seul pays qui mobilise les étrangers , si je ne me trompe.) Cependant mes chances de faire la guerre dans
9 1946, Journal des deux mondes. Virginie
19 naguère encore, avant l’occupation allemande, les étrangers qui n’avaient pas connu la France, ou qui n’en avaient vu que les lie
20 ue le peuple de France, pour la première fois à l’ étranger . Le peuple anonyme, sans vedettes, et que voici enfin devenu la vraie
21 français comme le héros de la France. Soudain, l’ étranger s’aperçoit d’une vérité aussi vieille que l’Europe, mais constamment
10 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
22 e-t-il, ce ne sont que des mensonges propagés à l’ étranger par les Juifs, les ploutocrates américains, les démocrates et les bol
23 irecteurs de bureaux. C’est ce qu’on en voit de l’ étranger . 75e rue, fin novembre 1945 Un camion ce matin m’apporta quelqu
11 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
24 si propre et bien tenu, trait dont s’égayent les étrangers de passage, un peu comme ces paysans qui se poussent du coude quand o