1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
1 approchons du dernier village. L’île devient très étroite . Par endroits, ce n’est plus qu’une bande de terre aride, portant la
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
2 arais, nous découvrons que notre domaine est bien étroit … Cela n’a plus la grandeur romantique de la désolation d’hiver. Et pa
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
3 arches et un balcon de pierre. L’on descend par d’ étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin, étagées sur le versa
4 ong d’une rivière rapide qui débouche d’une gorge étroite , cité couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A
5 si l’on peut marcher à pied sec dans les passages étroits . Sur les seuils, des groupes de femmes en noir jacassent pendant des
6 principe il est vrai, mais tristement abstraite, étroite , appauvrissante en fait. Je vois tous les espoirs et toutes les « ass
7 le couronnant des hauteurs ventées. Les rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cesse de les balay
8 ène de son petit pas élastique sur les restanques étroites , passant de l’une à l’autre par ces petits escaliers tout simplets, s