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tion, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un
événement
, un drame entre Dieu et l’homme. 6. Parce qu’on ne peut pas le défen
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et, il faut une mise en présence certifiée par un
événement
; il faut que la rencontre d’un sujet avec un objet soit attestée par
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ement le prévoit. Peut-on vraiment faire plus ? L’
événement
seul a la vertu de concrétiser le concret, et de manifester à l’évide
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, et de manifester à l’évidence son mystère. Or l’
événement
ne naît jamais, comme feignent certains philosophes, du croisement de
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hacun à leur manière ; car autrement, où serait l’
événement
? La manière d’être de l’objet lorsqu’il est mis en présence du suje
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mme, est à jamais incalculable, si l’homme est un
événement
, une rupture et une création, un fauteur de nouveauté pure, un poseur
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éfinis par les philosophes de l’école : présence,
événement
, concret, acte, personne. À tel point que la vraie définition d’un de
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t le terme d’incarnation. Si toute présence est l’
événement
de l’éternel dans le temps, par le moyen de l’homme, si l’homme n’est
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créant de rien, que « l’impossible, ici, devient
événement
», que l’idée du concret cesse d’être une idée, que la personne exist
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aspect d’une brochure à couverture bleue » où les
événements
actuels — cela se passe un jour d’été de 1918 — sont expliqués à la l
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physique en France : elles précèdent toujours des
événements
politiques et sociaux plus profonds que le jeu apparent et confus des
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son destin éternel et nécessaire… Enfin, dernier
événement
nietzschéen : L’Introduction à la philosophie de N. publiée par Karl
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le malentendu, il faudra bien sortir un jour. Les
événements
nous y obligeront si nous ne savons pas les prévenir. Si nous nous re
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n’est jamais dans ces apparences. Elle est dans l’
événement
irrationnel d’une décision prise en dépit de tout, et qui fonde une n
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ues nous sont suffisamment connues. On sait que l’
événement
qui devint pour Kierkegaard le point de départ de toute sa réflexion,