1 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
1 s ceux qui prétendent « mener » les foules ou les événements . Les premières tentatives faites par les clercs pour « repenser l’épo
2 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
2 n peu partout, je le sais bien. On répète que les événements nous dominent et qu’ils sont incompréhensibles et impensables. Ce n’e
3 s prêtres de l’insoluble. Mais, un beau jour, les événements nous réveillent brusquement. Maintenant, il va falloir choisir. La pe
4 acher à sa misère ; il lui faut une rencontre, un événement , un acte. Et voilà le mystère devant lequel je vous laisse maintenant
3 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
5 tion, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un événement , un drame entre Dieu et l’homme. 29. Parce qu’on ne peut pas le défe
4 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
6 dre inévitable, elle est la pierre de touche de l’ événement imprévu. Ceux qui la possèdent seront les seuls à demeurer calmes par
5 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
7 ision immédiate et dynamique. Et ce fait, c’est l’ événement central de toute l’Histoire, la seule nouveauté absolue de tous les t