1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 ent à notre insu. Ce qui fait qu’une histoire, un événement ou même un personnage deviennent des mythes, c’est précisément cet em
2  dissociatrice ». 7. Je résumerai les principaux événements du Roman en m’appuyant, sauf exception, sur la concordance établie pa
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
3 de — de la Lumière dans les Ténèbres —, tel est l’ événement inouï qui nous délivre du malheur de vivre. Tel est le centre de tout
4 r de l’amour chrétien que l’Écriture nomme Agapè. Événement sans précédent, et « naturellement » incroyable. Car le fait de l’Inc
5 placent par une cène fraternelle, symbolisant des événements tout spirituels. Ils rejettent aussi le baptême par l’eau, et ne reco
6  »… Mais le furent-elles, en vérité, plus que cet événement psychique ? De l’énigme historique, dont plusieurs ont cru voir la so
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
7 igieuse de forme et de contenu chrétiens, c’est l’ événement de l’Incarnation. Dès que l’on s’écarte un tant soit peu de ce foyer,
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
8 50 du dogme de l’Assomption de la Vierge marque l’ événement religieux le plus important depuis la Réforme. Voir aussi l’étude d’H
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
9 n’est jamais dans ces apparences. Elle est dans l’ événement irrationnel d’une décision prise en dépit de tout, et qui fonde une n
10 ues nous sont suffisamment connues. On sait que l’ événement qui devint pour Kierkegaard le point de départ de toute sa réflexion,