1 attaqua de front le christianisme officiel et les évêques , qui avaient loué ses premières œuvres, il se vit abandonné dans la p

2 pour un cliché dans un discours très officiel. L’ évêque Mynster, primat de l’Église danoise, venait de mourir. Et le professe

3 vérité, c’est-à-dire pratiquement de martyr. Or l’ évêque Mynster avait été un grand prélat, chargé de titres et d’honneurs, un

4 l attendit que le professeur Martensen fût devenu évêque à son tour, succédant à Mynster. Puis il publia l’article. Et cet art

5 son existence, sa mort et son enterrement — et l’ évêque Mynster, dit le professeur Martensen, fut un des vrais témoins de la

6 rter les dangers et de jouer ensuite au jeu que l’ évêque Mynster était un témoin de la vérité. Une polémique furieuse s’éleva

7 mérique. Convoqués par l’empereur de Byzance, les évêques se rassemblent de tout le Proche-Orient, d’Afrique, de Macédoine, d’É

8 te de la nef où sont massés plusieurs centaines d’ évêques et de docteurs, tandis que les légats du pape (toujours absent) et le

9 e remettent en question le lendemain. Un groupe d’ évêques menace de s’en aller. On échange des députations. On a signé des list

10 les Pères, illumine les quartiers, reconduit les évêques en cortège à la lueur des torches et dans l’encens des cassolettes à

11 ulement après l’édit de Constantin, et beaucoup d’ évêques qui dominent le concile portent les traces de la persécution et des t

12 ns pieuses et sentimentales.) 17. Hécatombes d’ évêques déposés à la suite de certains conciles : comment ne pas songer aux é

13 tienne Gilson, Jules Romains, Ignazio Silone, des évêques , des académiciens, des dirigeants syndicalistes, des ministres de l’É