1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
1 ielle.) Le consolamentum était administré par les évêques , et comportait l’imposition des mains, au milieu du cercle des « purs
2 s maisons-mères des cathares ! Le plus fameux des évêques hérétiques, Guilabert de Castres, la dirigea en personne dès 1193 (no
3 int de péché au-dessous du nombril ! » précise un évêque dualiste, excusant ainsi la licence favorisée ou tolérée par plusieur
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
4  : sur la grande place d’Assise, en présence de l’ évêque et d’une foule immense, il se dépouilla de tous ses vêtements et se d
5 lara que désormais Dieu seul serait son Père. « L’ évêque lui jeta sur les épaules son propre manteau, et François s’enfuit dan
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
6 évolte des « puritains » contre la royauté et les évêques mondanisés, n’évoque-t-elle pas la révolte des « purs » contre la féo
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
7 clique Casti connubii a répondu à la décision des évêques anglicans dite de Lambeth. Les Congrès œcuméniques de Stockholm et d’
5 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
8 radition littéraire des cours aquitaines238, de l’ évêque Fortunat au vie siècle et de ses lettres galantes à la reine Radegon