Alexandre, par Klaus Mann (septembre 1932)h
Ce n’est pas pour l’amour du laurier, mais pour l’amour de▶ son ami Clitus, poète abstrait à la mode ◀de▶ 1920, qu’Alexandre a conquis le monde. Le défaut ◀de▶ ce point de vue, c’est qu’il n’étonnera personne, alors qu’Alexandre est tout de même un phénomène assez bouleversant. Klaus Mann a raconté cette histoire avec beaucoup de grâces et des pointes ◀d’▶ironie anachroniques. Cela frise Salammbô plus que Laforgue d’ailleurs, avec, en plus, du sentimentalisme. La préface ◀de▶ Cocteau joue sur les thèmes, inépuisables, du profil ◀de▶ plâtre, des boules ◀de▶ neige et du « dialecte du cœur ».