Note de▶ ◀l’▶auteur
Ce petit ouvrage, écrit en mars 1949, fait partie ◀d’▶une série ◀d’▶études sur ◀les▶ nations modernes, entreprise sous ◀la▶ responsabilité ◀de▶ ◀la▶ Conférence permanente des hautes études internationales, dans ◀le▶ cadre du programme ◀de▶ ◀l’▶Unesco.
L’un des buts ◀de▶ cette série étant ◀de▶ « permettre ◀la▶ comparaison entre ◀les▶ aspirations et ◀les▶ institutions diverses des peuples étudiés », il était convenu que « ◀les▶ monographies adopteraient, en gros, un même plan qui rende possible cette comparaison ». Je m’y suis tenu scrupuleusement, estimant que ◀l’▶expérience valait ◀d’▶être tentée, et qu’il était en somme bien plus intéressant ◀de▶ jouer ◀la▶ règle du jeu que ◀de▶ « faire ◀l’▶écrivain » aux dépens du sujet et ◀de▶ ◀la▶ manière ◀de▶ ◀le▶ traiter qu’on attendait : « scientifique et au moins objective ».
Je remercie tout particulièrement M. Charles Burky, professeur ◀de▶ géographie humaine à ◀l’▶Université ◀de▶ Genève, pour ◀les▶ suggestions et critiques dont il m’a fait bénéficier. ◀Les▶ professeurs A. Simonius, ◀de▶ Bâle, et Paul Mantoux, ◀de▶ Genève, ont également relu mon manuscrit au nom de ◀la▶ Conférence des hautes études. Je suis heureux ◀d’▶avoir pu tenir compte ◀de leurs très compétentes observations.
D. R.
Septembre 1953