(1930) Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930) « Wilfred Chopard, Spicilège ironique (mai 1926) » p. 661

Wilfred Chopard, Spicilège ironique (mai 1926)r

Un léger flirt avec la muse, parce que c’est dimanche, parce qu’il pleut et qu’on s’ennuie. Si la vie est bête à pleurer, sourire est moins fatigant. « Le paon dédaigne encor mais ne fait plus sa roue. » Ce poète — qui fut aussi le prosateur charmant du Pédagogue et l’Amour — sourit avec une grâce un peu frileuse et se permet de bâiller en public. On connaît le danger…