1
ut finit dans un râle, brusquement c’est le vide.
Centre
de soi, l’aspiration du néant. J’ai revu à l’envers le film de mon pa
2
revendications hitlériennes ? — Les dictateurs du
Centre
européen furent les premiers à s’apercevoir du paradoxe politique que
3
-Cène est partagée dans un silence de catacombes.
Centre
du monde ! Il s’en va, coudoyant la foule et traversant les lieux pub
4
-Cène est partagée dans un silence de catacombes.
Centre
du monde ! Il s’en va, coudoyant la foule et traversant les lieux pub
5
la vie courante des habitants des Amériques Nord,
Centre
, Sud, et de l’Asie, c’est-à-dire la moitié du genre humain. L’autre m
6
la vie courante des habitants des Amériques Nord,
Centre
, Sud, et de l’Asie, c’est-à-dire la moitié du genre humain. L’autre m
7
la vie courante des habitants des Amériques Nord,
Centre
, Sud, et de l’Asie, c’est-à-dire la moitié du genre humain. L’autre m
8
la vie courante des habitants des Amériques Nord,
Centre
, Sud, et de l’Asie, c’est-à-dire la moitié du genre humain. L’autre m
9
nos ressources naturelles. Et nous voulons qu’un
Centre
de la culture donne un organe, une voix et une autorité, à la conscie
10
parlements ; un organisme économique commun ; un
Centre
européen de la culture4 . Et la plupart des principes généraux posés
11
lesquels aucun pacte n’est possible. De plus, le
Centre
européen offrirait un lieu de rencontre aux porteurs et aux créateurs
12
blées et centres de culture ; B) que soit créé un
Centre
européen de l’enfance et de la jeunesse 1) pour coordonner les effor
13
Cour des droits de l’homme, mesures économiques,
Centre
de la culture. Décrivons rapidement les forces en présence : nos plan
14
lesquels aucun pacte n’est possible. De plus, le
Centre
européen offrira un lieu de rencontre aux porteurs et aux créateurs d
15
n Bureau d’études 7 chargé de préparer l’œuvre du
Centre
. Enfin, au mois de septembre de la même année, l’Assemblée consultati
16
osé détaillé se trouve dans le rapport relatif au
Centre
culturel. Le besoin est donc reconnu, les plans sont là. La Conférenc
17
ononcé par Denis de Rougemont à l’inauguration du
Centre
(mai 1951)a Notre programme n’est pas systématique, et il n’est pa
18
t moins décisif en soi que l’existence même de ce
Centre
, par où j’entends que le principal, c’est qu’il y ait en Europe un li
19
ononcé par Denis de Rougemont à l’inauguration du
Centre
», Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, n° 1, mai 1951,
20
els qui s’occupent normalement d’autre chose. Le
Centre
veut grouper ceux qui sont responsables dans leur domaine particulier
21
peut paraître à première vue. Insistons donc : le
Centre
fait appel, en tous et en chacun, aux intérêts d’abord ; non point au
22
double sens de ce terme : ceux qui jugent que le
Centre
peut utilement servir les vrais intérêts de leur œuvre, en mettant à
23
ions qui se sont constituées sous les auspices du
Centre
, et celle d’entretenir en permanence des contacts, un échange vivant
24
ent, un excès de discrétion sur ce qui se fait au
Centre
. Si nous décidons aujourd’hui de rendre notre action publique, ce n’e
25
, ce n’est point pour essayer de démontrer que le
Centre
« sert vraiment à quelque chose ». (Notre budget demeure assez réduit
26
serait de vouloir organiser la culture, et notre
Centre
est « plutôt contre ». Car l’organisation est le fait de l’État, mais
27
nces de cette brève analyse. S’il est vrai que le
Centre
est un pool, à sa manière, et si on a pu le comparer parfois à une es
28
des ingénieurs et, pourquoi pas, des sportifs. Au
Centre
de la culture, nous avons en préparation une Commission d’hygiène et
29
voyages et d’échanges, comme celle établie par le
Centre
d’échanges internationaux en France. Je vous signale que d’autres ass
30
par M. Denis de Rougemont (novembre 1952)g Le
Centre
existe depuis deux ans, et pourtant, à plusieurs égards, il nous donn
31
tique, et rien de plus pour le moment. Le rôle du
Centre
ne devient concevable — mais alors il s’impose avec évidence — que si
32
prierai, en terminant, de juger l’état actuel du
Centre
en tenant compte d’une part des motifs d’échecs et de succès que je v
33
privée de son Est, de son extrême-Ouest et de son
Centre
, vous trouvez le moyen d’exclure les Scandinaves, la Grande-Bretagne,
34
oulignée, en même temps que le rôle catalyseur du
Centre
. 3. Initiative et contrôle gouvernementaux. Ce qui précède suffit à
35
les « foyers » autonomes fédérés sous l’égide du
Centre
. Notre organisme n’est pas plus que d’autres à l’abri du sort. Mais s
36
t ancienne. Un comité exécutif, composé d’amis du
Centre
, de compositeurs, chefs d’orchestre, critiques musicaux et musicologu
37
s seront choisis les hôtes de cette rencontre. Le
Centre
a constitué un Comité d’honneur international qui comprend des compos
38
aux discussions. Le Comité consultatif musical du
Centre
décidera des thèmes des conférences et discussions. Le Congrès pour l
39
janvier 1953, sous la présidence du directeur du
Centre
. Étaient présents : MM. Boris Blacher, Luigi Dallapiccola, Frederick
40
res du comité exécutif et retenus en principe (le
Centre
est chargé de leur donner une formulation définitive) : 1. Musique et
41
u redouter le double emploi avec les objectifs du
Centre
. En fait, rien de tel ne s’est produit, ainsi que j’ai pu m’en assure
42
rayonnement de l’idée qui est la raison d’être du
Centre
. En vue d’accomplir la première de ces tâches, le Centre étudie la po
43
En vue d’accomplir la première de ces tâches, le
Centre
étudie la possibilité prochaine de faire revivre les sections culture
44
maintenir et animer l’idéal de l’Europe unie, le
Centre
doit devenir de plus en plus le lieu de ralliement des esprits qui pe
45
stole, de repliement, de réaction. Les cantons du
Centre
continuaient à se gouverner selon le système des Landsgemeinde. Mais
46
t tout catholique, l’autre avant tout libéral. Le
Centre
comprend le parti radical, le parti agrarien (ou parti des paysans, a
47
vent sanglante, contre les cantons catholiques du
Centre
, jusqu’aux débuts du xviiie siècle. Dès l’époque de Zwingli, le part
48
uestions que posent les trois mots de notre nom :
Centre
, Européen et Culture. C — Je voudrais savoir d’abord ce que vous
49
e sens, le CEC ne s’occupe pas de politique. — Le
Centre
veut-il être producteur de culture ou simplement organisateur de cong
50
? — La culture est produite par les personnes. Le
Centre
en tant que tel ne produit donc ni tableaux, ni poèmes, ni statues, n
51
resse, histoire, enseignement, éducation5). — Le
Centre
pense-t-il avoir, de cette manière, vraiment servi ou aidé la culture
52
e sont les « Relations culturelles ». L’apport du
Centre
a consisté dans la mise au point d’une méthode pratique de coopératio
53
ce morale de l’Europe doit se payer. E — Le
Centre
est-il, ou veut-il être aussi, un agent d’union de l’Europe ? — Certe
54
argument le plus fort en faveur de l’existence du
Centre
. On n’a pas réussi à créer l’union fédérale de l’Europe dans le délai
55
ation. C’est un problème qu’un organisme comme le
Centre
a justement pour raison d’être de poser tout d’abord, puis d’étudier,
56
s disiez tout à l’heure : « un organisme comme le
Centre
». Est-ce donc qu’il en existe d’autres ? Et ne ferait-il pas double
57
européen) de problèmes soulevés ou traités par le
Centre
: laboratoire européen de recherches nucléaires, éducation populaire,
58
là, peut-être, danger de double emploi7). Mais le
Centre
ne cessera pas pour autant de poursuivre la réalisation de ses initia
59
raître. Qu’en résulterait-il ? Je constate que le
Centre
, du seul fait qu’il existe, polarise des possibilités, crée une certa
60
ans, au début de notre action réelle. Mais si le
Centre
n’existait pas, il faudrait l’inventer — la phrase n’est pas de nous
61
z de nécessité… En voulant rester européen, notre
Centre
ne fera pas double emploi avec l’Unesco, qui est une organisation mon
62
rin, le Bureau européen d’éducation populaire, le
Centre
européen de recherches nucléaires, l’Association européenne des festi
63
tons seulement, parmi les récentes initiatives du
Centre
, une Conférence internationale des compositeurs, interprètes et criti
64
air que la tâche d’un organisme culturel comme le
Centre
n’est pas de suppléer à la carence d’une véritable propagande europée
65
ouvelles activités ou créations par lesquelles le
Centre
espère donner à cette question un sérieux commencement de réponse. Ce
66
aratoires des révolutions réussies. L’ambition du
Centre
est d’agir. Il a pris au sérieux l’action européenne. Il voit qu’elle
67
borde encore les moyens dont dispose en propre le
Centre
, mais non pas les moyens potentiels de l’Europe, dont il s’agit de su
68
et destinée cette fois à demeurer très proche du
Centre
, une seconde initiative est en voie d’aboutir. Le 16 décembre 1954, à
69
gemont est extrait du ">n° 6 du bulletin de ce
Centre
(122, rue de Lausanne). x. « Rien n’est perdu, tout reste à faire »,
70
qui lui assurent une base d’utilité technique, le
Centre
peut aborder maintenant d’une manière plus large sa vraie mission : d
71
vitale de l’union institutionnelle Les Amis du
Centre
Comment élargir l’action du Centre ? Comment intensifier le rayonn
72
Les Amis du Centre Comment élargir l’action du
Centre
? Comment intensifier le rayonnement de l’idée européenne non seuleme
73
Continent ? L’idée de former un groupe d’Amis du
Centre
est né de semblables questions. Les Amis du Centre ne seront pas une
74
ntre est né de semblables questions. Les Amis du
Centre
ne seront pas une organisation, ni un comité, ni un mouvement de plus
75
constructives, de discuter des plans d’action. Le
Centre
bénéficiera des suggestions et de l’appui collectif ou individuel des
76
s Amis. En retour, ceux-ci pourront considérer le
Centre
comme l’instrument d’exécution des projets qu’ils pourraient élaborer
77
ent élaborer en commun. ⁂ L’influence des Amis du
Centre
prendra des formes multiples et en partie imprévisibles, selon ce que
78
en faveur de l’union européenne, et en prenant le
Centre
comme point d’appui, relai de coordination, instrument de diffusion o
79
iés entre eux, autant qu’à la mission générale du
Centre
, par l’idéal européen qui les anime, et par les tâches communes dont
80
publicité, c’est ce que doivent être les Amis du
Centre
. Ils ne rêveront pas de dominer par la force. Ils ne souhaiteront pas
81
tard, le secrétariat qu’ils avaient constitué au
Centre
, publiait une première brochure contenant les programmes de tous les
82
énérale de l’association des festivals, réunie au
Centre
les 8 et 9 octobre, a démontré que l’idéal primitif avait victorieuse
83
6, M. Jean-Paul de Dadelsen a cessé de remplir au
Centre
les fonctions qu’il occupait depuis 1951. Le nouveau secrétaire génér
84
xé, et de vérifier les commandes. Le programme du
Centre
est connu : il suffit de lire les premières lignes de notre page de c
85
murs depuis six mois ? Que fait-on réellement au
Centre
? De janvier au milieu de juin, dix-neuf comités et conseils se sont
86
uoi s’ajoutent cinq commissions convoquées par le
Centre
dans différents pays, et de nombreuses participations de nos collabor
87
xtérieures. Chacun de ces comités suscités par le
Centre
a représenté des mois de préparation ; chacun nous a laissé, aussitôt
88
pe de collaborateurs formant l’équipe actuelle du
Centre
. Il faut d’abord diagnostiquer les besoins réels de l’Europe, les con
89
i, c’est que l’ampleur des tâches assumées par le
Centre
— « réveiller la conscience européenne » et l’informer — vaut infinim
90
es plus fréquents que l’on adresse amicalement au
Centre
, c’est de ne pas faire suffisamment connaître ses réalisations. Ce bu
91
d’union européenne est la seule politique dont le
Centre
s’occupe, et dont il doit se préoccuper pour des raisons bien évident
92
x : l’Est aux Russes, l’Ouest à l’Amérique, et le
Centre
neutralisé. Sa décadence paraissait donc irréversible. Le mouvement v
93
deux sténodactylos, ils préparent le programme du
Centre
, et mettent sur pied la Conférence européenne de la culture. Patronné
94
gentes ne seraient pas entreprises ailleurs si le
Centre
lui-même, à ses risques et périls, ne tentait de les assumer. Ce qui
95
, dès l’été 1950, avait recommandé de soutenir le
Centre
. (Mais la seule République fédérale donna vraiment suite à ce vœu, d’
96
assez de résultats matériellement mesurables… Le
Centre
a cependant lancé de nombreux projets, pour la plupart réalisés. Cert
97
de l’union et pour notre mission particulière, le
Centre
s’est maintenu, il a duré, il a mis au point des méthodes, créé des i
98
ris dans le domaine de la culture. La vocation du
Centre
, à Genève, se trouve ici clairement inscrite dans les faits. 2. Rec
99
pécifiées, les cotisations d’associations dont le
Centre
assure le secrétariat, l’émission de médailles d’or en 1952 et 1953,
100
tivités d’éducation européenne entreprises par le
Centre
dans plusieurs pays, depuis le début de 1956. Ces activités comprenne
101
le de ce programme. Les premières initiatives du
Centre
, en ce domaine, remontent à 1951 : convocation de responsables de l’é
102
in 1955 jusqu’en avril 1957 — devait permettre au
Centre
de développer un projet tout différent : celui d’une série d’expérien
103
rope, Bruges ; Albert Dory, secrétaire général du
Centre
international audiovisuel, La Haye ; Roger Girod, professeur à l’Univ
104
trois des éditeurs associés et un représentant du
Centre
. Des éditeurs de Suède, de Hollande, d’Italie et du Portugal ont man
106
ins, un seul présente l’ensemble des activités du
Centre
, les cinq autres étant des numéros spéciaux consacrés à un thème uniq
107
son étant assurée par le secrétariat de l’AIEE au
Centre
). Deux grandes associations européennes d’enseignants sont à l’œuvre,
108
fondamentalement européen qui est celui de notre
Centre
et qui inspire sa méthode, quel intérêt éducatif et culturel présente
109
, qu’il s’agit de prendre au sérieux. Le mythe de
Centre
appartient au trésor des archétypes de toute humanité, et l’homme mod
110
igions, nous font saisir comment le symbolisme du
Centre
régit le choix, ou pour mieux dire la « découverte » des lieux où il
111
oire une simple maison. Le lieu doit se révéler «
Centre
du monde », intersection d’axes cosmiques, lieu « vivant et réel au s
112
uvent situées en un seul et même point commun, le
Centre
de l’univers. Il s’agit là, on s’en rend compte, d’un espace transcen
113
centres. » Comme tout ce qui tient au sacré, le
Centre
ainsi déterminé doit satisfaire à deux séries d’exigences contradicto
114
t du vocabulaire les plus courants, disons que le
Centre
a pour double fonction de rassurer et de bluffer. Il doit être ouvert
115
udes devant le problème particulier du choix d’un
Centre
. Sens. Le Dictionnaire abrégé de la fable nous apprend que Myscille,
116
repose en termes concrets. On revient à l’idée du
Centre
de l’hémisphère principal. Mais au sud‑est de Nantes, on ne voit rien
117
tinentales et régionales ; et tout près de là, le
Centre
européen de la recherche nucléaire, haut lieu de la science. Au sud,
119
l’Europe ; 2° réunion de ces instituts en un seul
Centre
européen d’enseignement postuniversitaire ; mise en commun de leurs c
120
rt ; 3° organisation par le staff permanent de ce
Centre
d’une série de stages d’études professionnelles. 8. Deux problèmes
121
nelles. 8. Deux problèmes à discuter. I. Un tel
Centre
devrait être ouvert en principe aux Européens de tous les pays membre
122
me auditeurs, par exemple.) II. L’implantation du
Centre
devrait être étudiée en fonction des facilités matérielles (locaux, c
123
vraient pas intervenir à l’occasion du choix d’un
Centre
d’enseignement postuniversitaire. Genève, le 19 juin 1958. bd. « R
124
’une conférence donnée le 27 mars 1958 à Nice, au
Centre
universitaire méditerranéen, dans la chaire C. F. Ramuz ; on voudra b
125
le unit ses forces pendant qu’il en est temps. Le
Centre
a donc suscité dans plusieurs de nos pays des expériences-pilotes d’
126
respondre aux possibilités comme aux principes du
Centre
. Nous n’avons pas cessé de le répéter ici : pour faire l’Europe, il f
127
angues, qui se sont associés sous les auspices du
Centre
en vue de publier tous ensemble une série d’ouvrages sur l’Europe. D.
128
e quelle Europe s’agit-il ? — pourquoi faut-il un
Centre
en pareil domaine ? Répondre à ces trois questions, très normales et
129
l’on nous pose bien souvent : pourquoi faut-il un
Centre
, s’il s’agit de culture ? D’une manière générale et dans une vue théo
130
: plus prétentieux, voire nocif, que l’idée d’un
Centre
. Ceci posé, regardons notre époque et le concret de ses problèmes. Vo
131
’esprit de coopération ferait réussir. Il faut un
Centre
, et il se crée, à la suite des congrès de La Haye et de Lausanne. Non
132
ire lui-même œuvre de créateur, bien entendu — un
Centre
n’écrit pas de poèmes — mais pour qu’il y ait quelque part en Europe
133
férent à la culture. ⁂ En 1960, faut-il encore un
Centre
? Nous avons dit que la raison d’être d’une institution de ce genre n
134
de clôture de M. Denis de Rougemont, directeur du
Centre
culturel du Conseil de l’Europe [sic], a été particulièrement remarqu
135
culture. Quelques-uns d’entre vous connaissent ce
Centre
. Je ne vais pas perdre un temps précieux à décrire ses activités. Qu’
136
emier congrès en 1961.) En Inde : l’International
Centre
, New Dehli, 1958, a entrepris l’étude des cultures différentes, en s’
137
ltures différentes, en s’inspirant des travaux du
Centre
international de Tokyo. 1 b) Institutions permanentes spécialisées
138
ont marqué d’empreintes inégalement profondes le
Centre
, le Sud-Est et l’Est du continent. Il est difficile de trouver un dén
139
oyage d’études. N.B. Plutôt que de rassembler au
Centre
même des archives encombrantes et coûteuses, et difficiles à consulte
140
les à consulter, il suffit le plus souvent que le
Centre
sache où sont les sources existantes de renseignements sur un sujet d
141
niveau intellectuel, la Fondation Ford a créé un
Centre
d’études avancées pour les sciences du comportement. Un club-house do
142
us et les régions, se manifeste la nécessité d’un
Centre
inspirant, équilibrant, coordonnant les efforts et veillant au surplu
143
ticipants aux stages précédents. 6. Création d’un
Centre
européen de documentation pédagogique au CEC. 7. Rédaction d’un mémor
144
de l’Inde, présidé par le Maharajah de Mysore. Un
Centre
vient de se créer à Lagos, capitale du Nigéria, et l’on projette d’en
145
cle dans un certain nombre de cités du Nord et du
Centre
de la péninsule italienne, en Provence, puis en Île-de-France. Des ci
146
les dans un certain nombre de cités du Nord et du
Centre
de la péninsule italienne, en Provence, puis en Île-de-France. Des ci
147
x : l’Est aux Russes, l’Ouest à l’Amérique, et le
Centre
neutralisé. Sa décadence paraissait donc irréversible. Le mouvement v
148
e l’action du CEC vont naître successivement : le
Centre
européen de recherches nucléaires (CERN) à Genève, la Fondation europ
149
é de vos désirs. Quant aux relations entre un tel
Centre
de synthèse et les universités existantes, on les imaginera sans pein
150
d degré de l’enseignement ; les publications ; un
Centre
de documentation pédagogique européenne. ⁂ L’enquête sur l’état de l’
151
9. De la conférence de Lausanne et de l’action du
Centre
à Genève, jusqu’à ce jour, vont naître successivement le Laboratoire
152
demandé d’adhérer aux Ligues, les cinq cantons du
Centre
, auxquels se joint Fribourg, s’allient contre elle avec le duc de Sav
153
industriel, on pouvait croire que les décrets du
Centre
, géométriques et uniformes, assureraient seuls une bonne ordonnance d
154
spagne et la Grande-Bretagne ; des petits pays du
Centre
et du Nord, Suisse, Autriche, Scandinavie ; des Balkans ; et enfin, d
155
orité de l’héritage de l’Europe », estime « qu’un
Centre
aiderait les hommes de pays différents à maintenir un contact étroit
156
passera dans la résolution votée à l’unanimité :
Centre
culturel, Charte des droits de l’homme et Cour suprême, « instance su
157
laboratoire européen de recherches nucléaires. Le
Centre
d’études et de recherches nucléairesl a été la réalisation de cette p
158
se, et que vous présidez, à Genève ? J’ai créé ce
Centre
en 1949-1950 comme la contrepartie, sur le plan de l’unification euro
159
, j’ai, par des tours de force, réussi à créer ce
Centre
et à le maintenir. Qui devait être un lieu de rencontre pour les homm
160
pays, qui a donné lieu à la création du CERN — le
Centre
européen de recherche nucléaire, le plus grand laboratoire européen,
161
onne une idée du travail du CEC. Les activités du
Centre
se sont toujours portées sur ce qu’il y avait de plus neuf dans chaqu
162
re européen de la culture, à Genève, puis, née du
Centre
, la Fondation européenne, aujourd’hui présidée par S. A. R. le prince
163
ccasion ne fut pas l’une des activités propres du
Centre
, mais le service de l’Europe, qui est sa fin générale. D. de R.
164
un Bureau d’études, chargé de préparer l’œuvre du
Centre
, et d’assurer dans la mesure du possible certaines de ses fonctions,
165
t de cette manière que par correspondance. c) Le
Centre
culturel, prenant le contre-pied des usages devenus courants dans les
166
nistrative et de guerre au papier. Les bureaux du
Centre
proprement dit (à Genève) limiteraient leur activité aux trois points
167
ys, et jouiraient d’une large autonomie. Ainsi le
Centre
resterait un organe de coordination, mais il serait, si l’on peut dir
168
cement. d) Dans l’ensemble complexe formé par le
Centre
et ses sections ou dépendances dispersées dans toute l’Europe, on pou
169
ritique des traductions — Publications propres du
Centre
— Revues — Groupes de travail et Congrès professionnels. III. Relatio
170
un Fonds européen de Recherches scientifiques, un
Centre
européen de recherches nucléaires — le futur CERN.) Financement des
171
Naissance du Centre7 Le
Centre
est né pour tâcher de répondre à certaines exigences d’une situation
172
ifier s’il est besoin, la première tâche de notre
Centre
. Je n’hésite pas à lui donner son nom, bien qu’il soit très mal vu de
173
’un autre qui puisse être de moi »8. La devise du
Centre
est inverse : « Que rien ne soit à moi qui puisse être à un autre ».
174
t moins décisif en soi que l’existence même de ce
Centre
par où j’entends que le principal, c’est qu’il y ait en Europe un lie
175
qui lui assurent une base d’utilité technique, le
Centre
peut aborder maintenant d’une manière plus large sa vraie mission : d
176
e quelle Europe s’agit-il ? — pourquoi faut-il un
Centre
en pareil domaine ? Répondre à ces trois questions, très normales et
177
ntérieur, pour mieux représenter à l’extérieur.
Centre
, à l’inverse du mot culture, évoque des images trop précises : celle
178
on nous pose bien souvent : « Pourquoi faut-il un
Centre
, s’il s’agit de culture ? » D’une manière générale et dans une vue th
179
: plus prétentieux, voire nocif, que l’idée d’un
Centre
. Cela posé, regardons notre époque et le concret de ses problèmes. Vo
180
’esprit de coopération ferait réussir. Il faut un
Centre
, et il se crée, à la suite des congrès de La Haye et de Lausanne. Non
181
ire lui-même œuvre de créateur, bien entendu — un
Centre
n’écrit pas de poèmes — mais pour qu’il y ait quelque part en Europe
182
Post-scriptum 1970 En 1970, faut-il encore un
Centre
? Après vingt ans, si nous nous interrogeons sur la méthode du CEC, n
183
a Cité fédérale. Mais qu’en est-il de l’avenir du
Centre
? La reprise par d’autres institutions — officielles ou privées — de
184
e à la nouveauté, qui a caractérisé la méthode du
Centre
dès ses débuts, reste sa justification la moins douteuse. Il est deve
185
à l’unisson. En un mot fédérer, mot-clé de notre
Centre
. Je prie les historiens de prendre note d’un petit fait qui a son imp
186
ont marqué d’empreintes inégalement profondes le
Centre
, le Sud-Est et l’Est du continent. Il est difficile de trouver un dén
187
spagne et la Grande-Bretagne ; des petits pays du
Centre
et du Nord, Suisse, Autriche, Scandinavie ; des Balkans ; et enfin de
188
obert Schuman — qui présida un temps le Comité du
Centre
: « L’unité de l’Europe ne se fera ni uniquement, ni principalement p
189
en 1954. Après deux ans d’études, de réunions au
Centre
, de démarches auprès des grandes associations sportives et des gouver
190
rtin et amenés par ses soins à collaborer avec le
Centre
. Une si heureuse initiative, et si rondement menée vers son destin eu
191
Documents pour l’enseignement, Genève, Bruxelles,
Centre
d’éducation européenne, n° 9-10, février 1974, p. 1-6. Précédé de la
192
e la Provence et les gens qui habitent du côté du
Centre
? On dit absolument n’importe quoi pour les besoins de la cause. Comm
193
me », Le fédéralisme et Alexandre Marc, Lausanne,
Centre
de recherches européennes, 1974, p. 51-69.
194
us, que décentraliser n’est encore que le fait du
Centre
, et qu’il nous faut repartir d’en bas, des racines, c’est-à-dire des
195
phie à Ankara ; Philippe d’Iribarne, directeur du
Centre
de recherches sur le bien-être du CNRS ; Mme Marie-Elizabeth Klee, mi
196
me suis vu nommé président du Bureau directeur du
Centre
international de formation européenne, et en cette qualité, convié à
197
eants et les finalités de la société occidentale,
Centre
de recherches européennes, Lausanne, 1972. 134. Voir les citations d
198
hes. La Commission de coopération scientifique du
Centre
, présidée par Raoul Dautry, administrateur général du Commissariat fr
199
s compétents du Conseil de l’Europe. Un projet de
Centre
européen des recherches atomiques, éventuellement lié à ce Fonds, et
200
lais Cyril Darlington, Jean Willems, président du
Centre
de recherches universitaires belge, le chimiste italien Mario Rollier
201
rêt de la création, en Europe occidentale, d’un «
Centre
de recherche pour l’accroissement des connaissances nouvelles en phys
202
asse divers critères tels que : 1. proximité d’un
Centre
important de recherches et d’enseignement ; 2. ravitaillement facile
203
u Laboratoire ; f) la création dès à présent d’un
Centre
de formation de physiciens théoriciens, destinés à constituer la sect
204
par la Commission de coopération scientifique du
Centre
, groupant les personnalités suivantes : Étaient présents : MM. D. de
205
moi une commission de coopération scientifique du
Centre
, et les échanges de vues sur les chances de réussite et sur le progra
206
stitué. Ce signe CERN, je le rappelle, signifiait
Centre
européen de recherches nucléaires. Puis le CERN I, organisme indépend
207
exsangue, elle a besoin d’une transfusion, et le
Centre
européen se présente comme une saignée. […] Pour cacher l’absence tot
208
française… La vérité historique est que l’idée du
Centre
a été conçue en 1949 par les hommes de ce qu’on appelle le Mouvement
209
e n’est pas moi qui ai établi la liaison entre le
Centre
européen de recherches nucléaires et le Mouvement européen, mais un d
210
ricain pour l’Europe unie refuse son aide à notre
Centre
, jugé « inclassable », et décide de donner un million de dollars à un
211
ontrôler une action pour l’Europe inspirée par le
Centre
, et qui se fût située dès le départ au niveau des idées et des prises
212
qui lui assurent une base d’utilité technique, le
Centre
peut aborder maintenant d’une manière plus large sa vraie mission : d
213
vitale de l’union institutionnelle. Les Amis du
Centre
Comment élargir l’action du Centre ? Comment intensifier le rayonnem
214
Les Amis du Centre Comment élargir l’action du
Centre
? Comment intensifier le rayonnement de l’idée européenne non seuleme
215
continent ? L’idée de former un groupe d’Amis du
Centre
est née de semblables questions. Les Amis du Centre ne seront pas une
216
ntre est née de semblables questions. Les Amis du
Centre
ne seront pas une organisation, ni un comité, ni un mouvement de plus
217
constructives, de discuter des plans d’action. Le
Centre
bénéficiera des suggestions et de l’appui collectif ou individuel des
218
s Amis. En retour, ceux-ci pourront considérer le
Centre
comme l’éventuel instrument d’exécution des projets qu’ils pourraient
219
ent élaborer en commun. L’influence des Amis du
Centre
prendra des formes multiples et en partie imprévisibles, selon ce que
220
en faveur de l’union européenne, et en prenant le
Centre
comme point d’appui, relai de coordination, instrument de diffusion o
221
iés entre eux, autant qu’à la mission générale du
Centre
, par l’idéal européen qui les anime, et par les tâches communes dont
222
publicité, c’est ce que doivent être les Amis du
Centre
. Ils ne rêveront pas de dominer par la force. Ils ne souhaiteront pas
223
La Fondation est un organisme de financement ; le
Centre
est un organisme d’exécution ; 2° La Fondation devait « partir » avec
224
nnées divers projets, dont plusieurs activités du
Centre
. Plus tard elle s’est associée étroitement à ce projet majeur dont M.
225
e », où nous sommes heureux de collaborer avec le
Centre
, aux côtés du Conseil de l’Europe, des Communautés et d’autres organi
226
Je crois qu’il est juste qu’une des créations du
Centre
vienne témoigner ici de la puissance d’une inspiration qui l’a condui
227
sincères, Monsieur de Rougemont, accompagnent le
Centre
dans ses activités au cours des décennies à venir. Elles seront la su
228
tre européen de la culture à Genève, puis, née du
Centre
, la Fondation européenne présidée par S. A. R. le prince Bernhard des
229
à l’unisson. En un mot fédérer, mot-clé de notre
Centre
. Je prie les historiens de prendre note d’un petit fait qui a son imp
230
, c’est que rien n’est encore perdu. Fondateur du
Centre
européen de culture à Genève, il a écrit une trentaine d’ouvrages :
231
voici les dernières nouvelles, 18 mai 1976 : Le
Centre
de recherches nucléaires de Jülich, près de Cologne, expérimente actu
232
ants et les finalités de la société occidentale ,
Centre
de recherches européennes, Lausanne, 1972, p. 27 et 28. 95. Bernard
233
re européen de la culture, à Genève, puis, née du
Centre
, la Fondation européenne de la culture, aujourd’hui transférée à Amst
234
mbreux spécialistes comme les physiciens du CERN (
Centre
européen de recherche nucléaire) et bien d’autres… Suis-je pour autan
235
Vous avez été à l’origine de la création du CERN (
Centre
européen de la recherche nucléaire). Vous avez également créé la Comm
236
roche que nous avons préconisée dès nos débuts au
Centre
européen de la culture16. Et nous ne sommes heureusement plus les seu
237
ute l’Europe, du sud au nord par l’axe rhénan, du
Centre
à l’Est, et à l’Ouest ibérique, comme l’ont fait l’art roman, le goth