1 ut finit dans un râle, brusquement c’est le vide. Centre de soi, l’aspiration du néant. J’ai revu à l’envers le film de mon pa

2 revendications hitlériennes ? — Les dictateurs du Centre européen furent les premiers à s’apercevoir du paradoxe politique que

3 -Cène est partagée dans un silence de catacombes. Centre du monde ! Il s’en va, coudoyant la foule et traversant les lieux pub

4 -Cène est partagée dans un silence de catacombes. Centre du monde ! Il s’en va, coudoyant la foule et traversant les lieux pub

5 la vie courante des habitants des Amériques Nord, Centre , Sud, et de l’Asie, c’est-à-dire la moitié du genre humain. L’autre m

6 la vie courante des habitants des Amériques Nord, Centre , Sud, et de l’Asie, c’est-à-dire la moitié du genre humain. L’autre m

7 la vie courante des habitants des Amériques Nord, Centre , Sud, et de l’Asie, c’est-à-dire la moitié du genre humain. L’autre m

8 la vie courante des habitants des Amériques Nord, Centre , Sud, et de l’Asie, c’est-à-dire la moitié du genre humain. L’autre m

9 nos ressources naturelles. Et nous voulons qu’un Centre de la culture donne un organe, une voix et une autorité, à la conscie

10 parlements ; un organisme économique commun ; un Centre européen de la culture4 . Et la plupart des principes généraux posés

11 lesquels aucun pacte n’est possible. De plus, le Centre européen offrirait un lieu de rencontre aux porteurs et aux créateurs

12 blées et centres de culture ; B) que soit créé un Centre européen de l’enfance et de la jeunesse 1) pour coordonner les effor

13 opéen de la culture. Quelle sera la mission de ce Centre  ? Précisément, de maintenir et de vivifier l’idéal commun des Europée

14 — de ramener l’attention vers son but. Certes, le Centre de la culture aura tout d’abord quantité de tâches pratiques à exécut

15 de coordination pour donner leur plein effet. Le Centre sera d’abord au service de la culture. Mais il ne la servira bien que

16 Cour des droits de l’homme, mesures économiques, Centre de la culture. Décrivons rapidement les forces en présence : nos plan

17 omb voyait les Indes, on nommait ainsi sa vision. Centre vents et marées, contre tous les experts de son époque, il se mit en

18 eu distraits. Ce n’est pas cela que veut faire le Centre européen. Notre but est de coordonner les forces intellectuelles disp

19 lesquels aucun pacte n’est possible. De plus, le Centre européen offrira un lieu de rencontre aux porteurs et aux créateurs d

20 e physique, proposera au congrès la création d’un Centre européen des recherches atomiques, consacré uniquement à des buts pac

21 un Bureau d’études, chargé de préparer l’œuvre du Centre . Enfin, au mois de septembre de la même année, l’Assemblée consultati

22 erez l’exposé détaillé dans le rapport relatif au Centre culturel. Le besoin est donc reconnu, les plans sont là. Vous décider

23 n Bureau d’études 7 chargé de préparer l’œuvre du Centre . Enfin, au mois de septembre de la même année, l’Assemblée consultati

24 osé détaillé se trouve dans le rapport relatif au Centre culturel. Le besoin est donc reconnu, les plans sont là. La Conférenc

25 x-là nous demandent souvent : Que fera donc votre Centre  ? Pouvez-vous me l’expliquer en deux mots ? J’ai coutume de répondre

26 ges. Voilà deux types d’initiatives prises par le Centre en formation. Je pourrais en citer vingt autres analogues, dans les d

27 er les quelque 25 membres du conseil supérieur du Centre , ainsi que les responsables de ses groupes de travail. Dès le lendema

28 e idée de l’ampleur du programme assumé par notre Centre . Mais ceux qui ne l’ont pas vu sont en droit de se demander pourquoi

29 cheter 500… De plus nous espérons que l’action du Centre européen contribuera à empêcher que l’on ait un jour à se servir des

30 plan Pleven, du Plan vert pour l’agriculture, du Centre culturel de Genève, du Laboratoire européen de physique nucléaire, ou

31 ononcé par Denis de Rougemont à l’inauguration du Centre (mai 1951)a Notre programme n’est pas systématique, et il n’est pa

32 t moins décisif en soi que l’existence même de ce Centre , par où j’entends que le principal, c’est qu’il y ait en Europe un li

33 ononcé par Denis de Rougemont à l’inauguration du Centre  », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, mai 1951, p. 13

34 els qui s’occupent normalement d’autre chose. Le Centre veut grouper ceux qui sont responsables dans leur domaine particulier

35 peut paraître à première vue. Insistons donc : le Centre fait appel, en tous et en chacun, aux intérêts d’abord ; non point au

36 double sens de ce terme : ceux qui jugent que le Centre peut utilement servir les vrais intérêts de leur œuvre, en mettant à

37 ions qui se sont constituées sous les auspices du Centre , et celle d’entretenir en permanence des contacts, un échange vivant

38 ent, un excès de discrétion sur ce qui se fait au Centre . Si nous décidons aujourd’hui de rendre notre action publique, ce n’e

39 , ce n’est point pour essayer de démontrer que le Centre « sert vraiment à quelque chose ». (Notre budget demeure assez réduit

40 serait de vouloir organiser la culture, et notre Centre est « plutôt contre ». Car l’organisation est le fait de l’État, mais

41 nces de cette brève analyse. S’il est vrai que le Centre est un pool, à sa manière, et si on a pu le comparer parfois à une es

42 des ingénieurs et, pourquoi pas, des sportifs. Au Centre de la culture, nous avons en préparation une Commission d’hygiène et

43 voyages et d’échanges, comme celle établie par le Centre d’échanges internationaux en France. Je vous signale que d’autres ass

44 par M. Denis de Rougemont (novembre 1952)h Le Centre existe depuis deux ans, et pourtant, à plusieurs égards, il nous donn

45 tique, et rien de plus pour le moment. Le rôle du Centre ne devient concevable — mais alors il s’impose avec évidence — que si

46 prierai, en terminant, de juger l’état actuel du Centre en tenant compte d’une part des motifs d’échecs et de succès que je v

47 privée de son Est, de son extrême-Ouest et de son Centre , vous trouvez le moyen d’exclure les Scandinaves, la Grande-Bretagne,

48 oulignée, en même temps que le rôle catalyseur du Centre .   3. Initiative et contrôle gouvernementaux. Ce qui précède suffit à

49 les « foyers » autonomes fédérés sous l’égide du Centre . Notre organisme n’est pas plus que d’autres à l’abri du sort. Mais s

50 t ancienne. Un comité exécutif, composé d’amis du Centre , de compositeurs, chefs d’orchestre, critiques musicaux et musicologu

51 s seront choisis les hôtes de cette rencontre. Le Centre a constitué un Comité d’honneur international qui comprend des compos

52 aux discussions. Le Comité consultatif musical du Centre décidera des thèmes des conférences et discussions. Le Congrès pour l

53 janvier 1953, sous la présidence du directeur du Centre . Étaient présents : MM. Boris Blacher, Luigi Dallapiccola, Frederick

54 res du comité exécutif et retenus en principe (le Centre est chargé de leur donner une formulation définitive) : 1. Musique et

55 es) pour deux raisons : la première, c’est que le Centre est au service de l’idée européenne ; la seconde, c’est que son direc

56 froidement refusé, l’un après l’autre, d’aider le Centre en aucune manière. Les prétextes allégués sont vagues, et leur sincér

57 u redouter le double emploi avec les objectifs du Centre . En fait, rien de tel ne s’est produit, ainsi que j’ai pu m’en assure

58 rayonnement de l’idée qui est la raison d’être du Centre . En vue d’accomplir la première de ces tâches, le Centre étudie la po

59 En vue d’accomplir la première de ces tâches, le Centre étudie la possibilité prochaine de faire revivre les sections culture

60 maintenir et animer l’idéal de l’Europe unie, le Centre doit devenir de plus en plus le lieu de ralliement des esprits qui pe

61 stole, de repliement, de réaction. Les cantons du Centre continuaient à se gouverner selon le système des Landsgemeinde. Mais

62 t tout catholique, l’autre avant tout libéral. Le Centre comprend le parti radical, le parti agrarien (ou parti des paysans, a

63 vent sanglante, contre les cantons catholiques du Centre , jusqu’aux débuts du xviiie siècle. Dès l’époque de Zwingli, le part

64 uestions que posent les trois mots de notre nom : Centre , Européen et Culture. C — Je voudrais savoir d’abord ce que vous

65 e sens, le CEC ne s’occupe pas de politique. — Le Centre veut-il être producteur de culture ou simplement organisateur de cong

66 ? — La culture est produite par les personnes. Le Centre en tant que tel ne produit donc ni tableaux, ni poèmes, ni statues, n

67 resse, histoire, enseignement, éducation5). — Le Centre pense-t-il avoir, de cette manière, vraiment servi ou aidé la culture

68 e sont les « Relations culturelles ». L’apport du Centre a consisté dans la mise au point d’une méthode pratique de coopératio

69 ce morale de l’Europe doit se payer. E — Le Centre est-il, ou veut-il être aussi, un agent d’union de l’Europe ? — Certe

70 argument le plus fort en faveur de l’existence du Centre . On n’a pas réussi à créer l’union fédérale de l’Europe dans le délai

71 ation. C’est un problème qu’un organisme comme le Centre a justement pour raison d’être de poser tout d’abord, puis d’étudier,

72 s disiez tout à l’heure : « un organisme comme le Centre  ». Est-ce donc qu’il en existe d’autres ? Et ne ferait-il pas double

73 européen) de problèmes soulevés ou traités par le Centre  : laboratoire européen de recherches nucléaires, éducation populaire,

74 là, peut-être, danger de double emploi7). Mais le Centre ne cessera pas pour autant de poursuivre la réalisation de ses initia

75 raître. Qu’en résulterait-il ? Je constate que le Centre , du seul fait qu’il existe, polarise des possibilités, crée une certa

76 ans, au début de notre action réelle. Mais si le Centre n’existait pas, il faudrait l’inventer — la phrase n’est pas de nous

77 z de nécessité… En voulant rester européen, notre Centre ne fera pas double emploi avec l’Unesco, qui est une organisation mon

78 rin, le Bureau européen d’éducation populaire, le Centre européen de recherches nucléaires, l’Association européenne des festi

79 tons seulement, parmi les récentes initiatives du Centre , une Conférence internationale des compositeurs, interprètes et criti

80 air que la tâche d’un organisme culturel comme le Centre n’est pas de suppléer à la carence d’une véritable propagande europée

81 ouvelles activités ou créations par lesquelles le Centre espère donner à cette question un sérieux commencement de réponse. Ce

82 aratoires des révolutions réussies. L’ambition du Centre est d’agir. Il a pris au sérieux l’action européenne. Il voit qu’elle

83 borde encore les moyens dont dispose en propre le Centre , mais non pas les moyens potentiels de l’Europe, dont il s’agit de su

84 et destinée cette fois à demeurer très proche du Centre , une seconde initiative est en voie d’aboutir. Le 16 décembre 1954, à

85 gemont est extrait du ">n° 6 du bulletin de ce Centre (122, rue de Lausanne). ad. Rougemont Denis de, « Rien n’est perdu,

86 qui lui assurent une base d’utilité technique, le Centre peut aborder maintenant d’une manière plus large sa vraie mission : d

87 vitale de l’union institutionnelle Les Amis du Centre Comment élargir l’action du Centre ? Comment intensifier le rayonn

88 Les Amis du Centre Comment élargir l’action du Centre  ? Comment intensifier le rayonnement de l’idée européenne non seuleme

89 Continent ? L’idée de former un groupe d’Amis du Centre est né de semblables questions. Les Amis du Centre ne seront pas une

90 ntre est né de semblables questions. Les Amis du Centre ne seront pas une organisation, ni un comité, ni un mouvement de plus

91 constructives, de discuter des plans d’action. Le Centre bénéficiera des suggestions et de l’appui collectif ou individuel des

92 s Amis. En retour, ceux-ci pourront considérer le Centre comme l’instrument d’exécution des projets qu’ils pourraient élaborer

93 ent élaborer en commun. ⁂ L’influence des Amis du Centre prendra des formes multiples et en partie imprévisibles, selon ce que

94 en faveur de l’union européenne, et en prenant le Centre comme point d’appui, relai de coordination, instrument de diffusion o

95 iés entre eux, autant qu’à la mission générale du Centre , par l’idéal européen qui les anime, et par les tâches communes dont

96 publicité, c’est ce que doivent être les Amis du Centre . Ils ne rêveront pas de dominer par la force. Ils ne souhaiteront pas

97 tard, le secrétariat qu’ils avaient constitué au Centre , publiait une première brochure contenant les programmes de tous les

98 énérale de l’association des festivals, réunie au Centre les 8 et 9 octobre, a démontré que l’idéal primitif avait victorieuse

99 6, M. Jean-Paul de Dadelsen a cessé de remplir au Centre les fonctions qu’il occupait depuis 1951. Le nouveau secrétaire génér

100 xé, et de vérifier les commandes. Le programme du Centre est connu : il suffit de lire les premières lignes de notre page de c

101 murs depuis six mois ? Que fait-on réellement au Centre  ? De janvier au milieu de juin, dix-neuf comités et conseils se sont

102 uoi s’ajoutent cinq commissions convoquées par le Centre dans différents pays, et de nombreuses participations de nos collabor

103 xtérieures. Chacun de ces comités suscités par le Centre a représenté des mois de préparation ; chacun nous a laissé, aussitôt

104 pe de collaborateurs formant l’équipe actuelle du Centre . Il faut d’abord diagnostiquer les besoins réels de l’Europe, les con

105 i, c’est que l’ampleur des tâches assumées par le Centre — « réveiller la conscience européenne » et l’informer — vaut infinim

106 es plus fréquents que l’on adresse amicalement au Centre , c’est de ne pas faire suffisamment connaître ses réalisations. Ce bu

107 d’union européenne est la seule politique dont le Centre s’occupe, et dont il doit se préoccuper pour des raisons bien évident

108 x : l’Est aux Russes, l’Ouest à l’Amérique, et le Centre neutralisé. Sa décadence paraissait donc irréversible. Le mouvement v

109 le unit ses forces pendant qu’il en est temps. Le Centre a donc suscité dans plusieurs de nos pays des expériences-pilotes d’

110 deux sténodactylos, ils préparent le programme du Centre , et mettent sur pied la Conférence européenne de la culture. Patronné

111 gentes ne seraient pas entreprises ailleurs si le Centre lui-même, à ses risques et périls, ne tentait de les assumer. Ce qui

112 , dès l’été 1950, avait recommandé de soutenir le Centre . (Mais la seule République fédérale donna vraiment suite à ce vœu, d’

113 assez de résultats matériellement mesurables… Le Centre a cependant lancé de nombreux projets, pour la plupart réalisés. Cert

114 de l’union et pour notre mission particulière, le Centre s’est maintenu, il a duré, il a mis au point des méthodes, créé des i

115 ris dans le domaine de la culture. La vocation du Centre , à Genève, se trouve ici clairement inscrite dans les faits.   2. Rec

116 pécifiées, les cotisations d’associations dont le Centre assure le secrétariat, l’émission de médailles d’or en 1952 et 1953,

117 tivités d’éducation européenne entreprises par le Centre dans plusieurs pays, depuis le début de 1956. Ces activités comprenne

118 le de ce programme. Les premières initiatives du Centre , en ce domaine, remontent à 1951 : convocation de responsables de l’é

119 in 1955 jusqu’en avril 1957 — devait permettre au Centre de développer un projet tout différent : celui d’une série d’expérien

120 rope, Bruges ; Albert Dory, secrétaire général du Centre international audiovisuel, La Haye ; Roger Girod, professeur à l’Univ

121 trois des éditeurs associés et un représentant du Centre . Des éditeurs de Suède, de Hollande, d’Italie et du Portugal ont man

122 Le bulletin du Centre (février 1958)bq br Conçu à l’origine comme un simple organe d’in

123 ins, un seul présente l’ensemble des activités du Centre , les cinq autres étant des numéros spéciaux consacrés à un thème uniq

124 etc. bq. Rougemont Denis de, « Le bulletin du Centre  », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, février 1958, p

125 son étant assurée par le secrétariat de l’AIEE au Centre ). Deux grandes associations européennes d’enseignants sont à l’œuvre,

126 fondamentalement européen qui est celui de notre Centre et qui inspire sa méthode, quel intérêt éducatif et culturel présente

127 , qu’il s’agit de prendre au sérieux. Le mythe de Centre appartient au trésor des archétypes de toute humanité, et l’homme mod

128 igions, nous font saisir comment le symbolisme du Centre régit le choix, ou pour mieux dire la « découverte » des lieux où il

129 oire une simple maison. Le lieu doit se révéler «  Centre du monde », intersection d’axes cosmiques, lieu « vivant et réel au s

130 uvent situées en un seul et même point commun, le Centre de l’univers. Il s’agit là, on s’en rend compte, d’un espace transcen

131 centres. » Comme tout ce qui tient au sacré, le Centre ainsi déterminé doit satisfaire à deux séries d’exigences contradicto

132 t du vocabulaire les plus courants, disons que le Centre a pour double fonction de rassurer et de bluffer. Il doit être ouvert

133 udes devant le problème particulier du choix d’un Centre . Sens. Le Dictionnaire abrégé de la fable nous apprend que Myscille,

134 repose en termes concrets. On revient à l’idée du Centre de l’hémisphère principal. Mais au sud‑est de Nantes, on ne voit rien

135 tinentales et régionales ; et tout près de là, le Centre européen de la recherche nucléaire, haut lieu de la science. Au sud,

136 La création d’un Centre européen d’enseignement postuniversitaire (juillet 1958)bx Le vr

137 l’Europe ; 2° réunion de ces instituts en un seul Centre européen d’enseignement postuniversitaire ; mise en commun de leurs c

138 rt ; 3° organisation par le staff permanent de ce Centre d’une série de stages d’études professionnelles.   8. Deux problèmes

139 nelles.   8. Deux problèmes à discuter. I. Un tel Centre devrait être ouvert en principe aux Européens de tous les pays membre

140 me auditeurs, par exemple.) II. L’implantation du Centre devrait être étudiée en fonction des facilités matérielles (locaux, c

141 vraient pas intervenir à l’occasion du choix d’un Centre d’enseignement postuniversitaire. Genève, le 19 juin 1958. bx. Ro

142 ’une conférence donnée le 27 mars 1958 à Nice, au Centre universitaire méditerranéen, dans la chaire C. F. Ramuz ; on voudra b

143 angues, qui se sont associés sous les auspices du Centre en vue de publier tous ensemble une série d’ouvrages sur l’Europe. D.

144 respondre aux possibilités comme aux principes du Centre . Nous n’avons pas cessé de le répéter ici : pour faire l’Europe, il f

145 de clôture de M. Denis de Rougemont, directeur du Centre culturel du Conseil de l’Europe [sic], a été particulièrement remarqu

146 e quelle Europe s’agit-il ? — pourquoi faut-il un Centre en pareil domaine ? Répondre à ces trois questions, très normales et

147 l’on nous pose bien souvent : pourquoi faut-il un Centre , s’il s’agit de culture ? D’une manière générale et dans une vue théo

148  : plus prétentieux, voire nocif, que l’idée d’un Centre . Ceci posé, regardons notre époque et le concret de ses problèmes. Vo

149 ’esprit de coopération ferait réussir. Il faut un Centre , et il se crée, à la suite des congrès de La Haye et de Lausanne. Non

150 ire lui-même œuvre de créateur, bien entendu — un Centre n’écrit pas de poèmes — mais pour qu’il y ait quelque part en Europe

151 férent à la culture. ⁂ En 1960, faut-il encore un Centre  ? Nous avons dit que la raison d’être d’une institution de ce genre n

152 emier congrès en 1961.) En Inde : l’International Centre , New Dehli, 1958, a entrepris l’étude des cultures différentes, en s’

153 ltures différentes, en s’inspirant des travaux du Centre international de Tokyo. 1 b) Institutions permanentes spécialisées

154 ont marqué d’empreintes inégalement profondes le Centre , le Sud-Est et l’Est du continent. Il est difficile de trouver un dén

155 oyage d’études. N.B. Plutôt que de rassembler au Centre même des archives encombrantes et coûteuses, et difficiles à consulte

156 les à consulter, il suffit le plus souvent que le Centre sache où sont les sources existantes de renseignements sur un sujet d

157 culture. Quelques-uns d’entre vous connaissent ce Centre . Je ne vais pas perdre un temps précieux à décrire ses activités. Qu’

158 les dans un certain nombre de cités du Nord et du Centre de la péninsule italienne, en Provence, puis en Île-de-France. Des ci

159 x : l’Est aux Russes, l’Ouest à l’Amérique, et le Centre neutralisé. Sa décadence paraissait donc irréversible. Le mouvement v

160 niveau intellectuel, la Fondation Ford a créé un Centre d’études avancées pour les sciences du comportement. Un club-house do

161 cle dans un certain nombre de cités du Nord et du Centre de la péninsule italienne, en Provence, puis en Île-de-France. Des ci

162 ticipants aux stages précédents. 6. Création d’un Centre européen de documentation pédagogique au CEC. 7. Rédaction d’un mémor

163 us et les régions, se manifeste la nécessité d’un Centre inspirant, équilibrant, coordonnant les efforts et veillant au surplu

164 de l’Inde, présidé par le Maharajah de Mysore. Un Centre vient de se créer à Lagos, capitale du Nigéria, et l’on projette d’en

165 9. De la conférence de Lausanne et de l’action du Centre à Genève, jusqu’à ce jour, vont naître successivement le Laboratoire

166 e l’action du CEC vont naître successivement : le Centre européen de recherches nucléaires (CERN) à Genève, la Fondation europ

167 d degré de l’enseignement ; les publications ; un Centre de documentation pédagogique européenne. ⁂ L’enquête sur l’état de l’

168 é de vos désirs. Quant aux relations entre un tel Centre de synthèse et les universités existantes, on les imaginera sans pein

169 demandé d’adhérer aux Ligues, les cinq cantons du Centre , auxquels se joint Fribourg, s’allient contre elle avec le duc de Sav

170 industriel, on pouvait croire que les décrets du Centre , géométriques et uniformes, assureraient seuls une bonne ordonnance d

171 spagne et la Grande-Bretagne ; des petits pays du Centre et du Nord, Suisse, Autriche, Scandinavie ; des Balkans ; et enfin, d

172 orité de l’héritage de l’Europe », estime « qu’un Centre aiderait les hommes de pays différents à maintenir un contact étroit

173 passera dans la résolution votée à l’unanimité : Centre culturel, Charte des droits de l’homme et Cour suprême, « instance su

174 laboratoire européen de recherches nucléaires. Le Centre d’études et de recherches nucléairesp a été la réalisation de cette p

175 se, et que vous présidez, à Genève ? J’ai créé ce Centre en 1949-1950 comme la contrepartie, sur le plan de l’unification euro

176 , j’ai, par des tours de force, réussi à créer ce Centre et à le maintenir. Qui devait être un lieu de rencontre pour les homm

177 pays, qui a donné lieu à la création du CERN — le Centre européen de recherche nucléaire, le plus grand laboratoire européen,

178 spagne et la Grande-Bretagne ; des petits pays du Centre et du Nord, Suisse, Autriche, Scandinavie ; des Balkans ; et enfin de

179 re européen de la culture, à Genève, puis, née du Centre , la Fondation européenne, aujourd’hui présidée par S. A. R. le prince

180 ccasion ne fut pas l’une des activités propres du Centre , mais le service de l’Europe, qui est sa fin générale. D. de R.

181 un Bureau d’études, chargé de préparer l’œuvre du Centre , et d’assurer dans la mesure du possible certaines de ses fonctions,

182 t de cette manière que par correspondance. c) Le Centre culturel, prenant le contre-pied des usages devenus courants dans les

183 nistrative et de guerre au papier. Les bureaux du Centre proprement dit (à Genève) limiteraient leur activité aux trois points

184 ys, et jouiraient d’une large autonomie. Ainsi le Centre resterait un organe de coordination, mais il serait, si l’on peut dir

185 cement. d) Dans l’ensemble complexe formé par le Centre et ses sections ou dépendances dispersées dans toute l’Europe, on pou

186 ritique des traductions — Publications propres du Centre  — Revues — Groupes de travail et Congrès professionnels. III. Relatio

187 un Fonds européen de Recherches scientifiques, un Centre européen de recherches nucléaires — le futur CERN.) Financement des

188 Naissance du Centre7 Le Centre est né pour tâcher de répondre à certaines exigences d’une situation

189 ifier s’il est besoin, la première tâche de notre Centre . Je n’hésite pas à lui donner son nom, bien qu’il soit très mal vu de

190 ’un autre qui puisse être de moi »8. La devise du Centre est inverse : « Que rien ne soit à moi qui puisse être à un autre ».

191 t moins décisif en soi que l’existence même de ce Centre par où j’entends que le principal, c’est qu’il y ait en Europe un lie

192 qui lui assurent une base d’utilité technique, le Centre peut aborder maintenant d’une manière plus large sa vraie mission : d

193 e quelle Europe s’agit-il ? — pourquoi faut-il un Centre en pareil domaine ? Répondre à ces trois questions, très normales et

194 ntérieur, pour mieux représenter à l’extérieur. Centre , à l’inverse du mot culture, évoque des images trop précises : celle

195 on nous pose bien souvent : « Pourquoi faut-il un Centre , s’il s’agit de culture ? » D’une manière générale et dans une vue th

196  : plus prétentieux, voire nocif, que l’idée d’un Centre . Cela posé, regardons notre époque et le concret de ses problèmes. Vo

197 ’esprit de coopération ferait réussir. Il faut un Centre , et il se crée, à la suite des congrès de La Haye et de Lausanne. Non

198 ire lui-même œuvre de créateur, bien entendu — un Centre n’écrit pas de poèmes — mais pour qu’il y ait quelque part en Europe

199 Post-scriptum 1970 En 1970, faut-il encore un Centre  ? Après vingt ans, si nous nous interrogeons sur la méthode du CEC, n

200 a Cité fédérale. Mais qu’en est-il de l’avenir du Centre  ? La reprise par d’autres institutions — officielles ou privées — de

201 e à la nouveauté, qui a caractérisé la méthode du Centre dès ses débuts, reste sa justification la moins douteuse. Il est deve

202 à l’unisson. En un mot fédérer, mot-clé de notre Centre . Je prie les historiens de prendre note d’un petit fait qui a son imp

203 ont marqué d’empreintes inégalement profondes le Centre , le Sud-Est et l’Est du continent. Il est difficile de trouver un dén

204 e d’éducation civique européenne lancée par notre Centre il y a huit ans sur le slogan « pour faire l’Europe, faire d’abord de

205 d’éducation, d’information, et c’est pourquoi le Centre doit vivre, et tout d’abord survivre matériellement, fût-ce au prix d

206 lée européenne d’une résolution accordant à notre Centre l’appui matériel et moral des États membres. Salvador de Madariaga, n

207 de reconnaissance à mes amis et collaborateurs du Centre et de ses si diverses activités, aux directeurs des festivals de musi

208 onne une idée du travail du CEC. Les activités du Centre se sont toujours portées sur ce qu’il y avait de plus neuf dans chaqu

209 obert Schuman — qui présida un temps le Comité du Centre  : « L’unité de l’Europe ne se fera ni uniquement, ni principalement p

210 en 1954. Après deux ans d’études, de réunions au Centre , de démarches auprès des grandes associations sportives et des gouver

211 rtin et amenés par ses soins à collaborer avec le Centre . Une si heureuse initiative, et si rondement menée vers son destin eu

212 me », Le Fédéralisme et Alexandre Marc, Lausanne, Centre de recherches européennes, 1974, p. 51-69.

213 Documents pour l’enseignement, Genève, Bruxelles, Centre d’éducation européenne, 1974, p. 1-6. h. Précédé de la note suivante

214 us, que décentraliser n’est encore que le fait du Centre , et qu’il nous faut repartir d’en bas, des racines, c’est-à-dire des

215 phie à Ankara ; Philippe d’Iribarne, directeur du Centre de recherches sur le bien-être du CNRS ; Mme Marie-Elizabeth Klee, mi

216 me suis vu nommé président du Bureau directeur du Centre international de formation européenne, et en cette qualité, convié à

217 e la Provence et les gens qui habitent du côté du Centre  ? On dit absolument n’importe quoi pour les besoins de la cause. Comm

218 hes. La Commission de coopération scientifique du Centre , présidée par Raoul Dautry, administrateur général du Commissariat fr

219 s compétents du Conseil de l’Europe. Un projet de Centre européen des recherches atomiques, éventuellement lié à ce Fonds, et

220 lais Cyril Darlington, Jean Willems, président du Centre de recherches universitaires belge, le chimiste italien Mario Rollier

221 rêt de la création, en Europe occidentale, d’un «  Centre de recherche pour l’accroissement des connaissances nouvelles en phys

222 asse divers critères tels que : 1. proximité d’un Centre important de recherches et d’enseignement ; 2. ravitaillement facile

223 u Laboratoire ; f) la création dès à présent d’un Centre de formation de physiciens théoriciens, destinés à constituer la sect

224 par la Commission de coopération scientifique du Centre , groupant les personnalités suivantes : Étaient présents : MM. D. de

225 moi une commission de coopération scientifique du Centre , et les échanges de vues sur les chances de réussite et sur le progra

226 stitué. Ce signe CERN, je le rappelle, signifiait Centre européen de recherches nucléaires. Puis le CERN I, organisme indépend

227 exsangue, elle a besoin d’une transfusion, et le Centre européen se présente comme une saignée. […] Pour cacher l’absence tot

228 française… La vérité historique est que l’idée du Centre a été conçue en 1949 par les hommes de ce qu’on appelle le Mouvement

229 e n’est pas moi qui ai établi la liaison entre le Centre européen de recherches nucléaires et le Mouvement européen, mais un d

230 ricain pour l’Europe unie refuse son aide à notre Centre , jugé « inclassable », et décide de donner un million de dollars à un

231 ontrôler une action pour l’Europe inspirée par le Centre , et qui se fût située dès le départ au niveau des idées et des prises

232 qui lui assurent une base d’utilité technique, le Centre peut aborder maintenant d’une manière plus large sa vraie mission : d

233 vitale de l’union institutionnelle. Les Amis du Centre Comment élargir l’action du Centre ? Comment intensifier le rayonnem

234 Les Amis du Centre Comment élargir l’action du Centre  ? Comment intensifier le rayonnement de l’idée européenne non seuleme

235 continent ? L’idée de former un groupe d’Amis du Centre est née de semblables questions. Les Amis du Centre ne seront pas une

236 ntre est née de semblables questions. Les Amis du Centre ne seront pas une organisation, ni un comité, ni un mouvement de plus

237 constructives, de discuter des plans d’action. Le Centre bénéficiera des suggestions et de l’appui collectif ou individuel des

238 s Amis. En retour, ceux-ci pourront considérer le Centre comme l’éventuel instrument d’exécution des projets qu’ils pourraient

239 ent élaborer en commun. L’influence des Amis du Centre prendra des formes multiples et en partie imprévisibles, selon ce que

240 en faveur de l’union européenne, et en prenant le Centre comme point d’appui, relai de coordination, instrument de diffusion o

241 iés entre eux, autant qu’à la mission générale du Centre , par l’idéal européen qui les anime, et par les tâches communes dont

242 publicité, c’est ce que doivent être les Amis du Centre . Ils ne rêveront pas de dominer par la force. Ils ne souhaiteront pas

243 La Fondation est un organisme de financement ; le Centre est un organisme d’exécution ; 2° La Fondation devait « partir » avec

244 nnées divers projets, dont plusieurs activités du Centre . Plus tard elle s’est associée étroitement à ce projet majeur dont M.

245 e », où nous sommes heureux de collaborer avec le Centre , aux côtés du Conseil de l’Europe, des Communautés et d’autres organi

246 Je crois qu’il est juste qu’une des créations du Centre vienne témoigner ici de la puissance d’une inspiration qui l’a condui

247 sincères, Monsieur de Rougemont, accompagnent le Centre dans ses activités au cours des décennies à venir. Elles seront la su

248 eants et les finalités de la société occidentale, Centre de recherches européennes, Lausanne, 1972. 130. Voir les citations d