1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 ssions où triomphe sous tous les déguisements, de Ford à Clément Vautel, le matérialisme le plus pauvre auquel se soit jamai
2 lus répandus à Genève sont Ma vie et mon œuvre de Ford et Mon curé chez les riches. Très loin derrière viennent des France e
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les derniers jours (juillet 1927)
3 e des Maurras et des Mussolini, des Lénine et des Ford . Alors les hommes hurleront un affreux besoin mystique. Vous réveille
3 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
4 Le péril Ford (février 1928)a On a trop dit que notre époque est chaotique. Je c
5 l’époque m’offre de mieux réussi. Voici la vie de Ford , telle qu’il la raconte dans Ma vie et mon œuvre. Il naît fils de pay
6 on. Il fonde tôt après la Société des automobiles Ford , « et commence à réaliser son rêve, le type unique d’automobile utili
7 possibilité d’augmenter encore cette production. Ford est le plus puissant industriel du monde ; le plus riche, au point qu
8 dustriels européens s’en inspirent toujours plus. Ford leur montre le chemin qu’ils seront bien obligés de prendre tôt ou ta
9 er ou mourir », écrivait récemment un économiste. Ford , perfection de l’industriel, offre au monde moderne le premier exempl
10 s dit tout à l’heure quel fut le but de la vie de Ford , sa « grande et constante ambition ». Il semble que toute sa carrière
11 eur de l’humanité par la possession d’automobiles Ford . Et, comme il est très intelligent, il a vite fait de démêler les con
12 sans auto. Voilà l’affaire lancée. La passion de Ford se donne libre cours. Il ne s’agit plus maintenant que de lui donner
13 n’ait plus qu’à plier bagage. Mais c’est ici que Ford montre le bout de l’oreille, et que son but réel est la production po
14 umain dans la conception fordienne de l’oisiveté. Ford a créé un second dimanche dans la semaine, « retouché l’œuvre de la C
15 la duperie : ce jeu du chat et de la souris ; si Ford relâche les ouvriers et leur donne une apparence de liberté, c’est po
16 vu. Il est déterminé par la réclame, les produits Ford qu’il faut user, etc. Il a pour but véritable d’augmenter la consomma
17 atteintes. On peut se demander jusqu’à quel point Ford est conscient des buts et de l’avenir de son effort. Pour mon compte,
18 ns à la terre la satisfaction de nos besoins. » — Ford se moque de la philosophie. Il ne peut empêcher que son attitude ne p
19 ettes encore : « Je ne considère pas les machines Ford simplement comme des machines. J’y vois la réalisation concrète d’une
20 messianisme matérialiste ? Un seul doute effleure Ford vers la fin de son livre : Le problème de la production a été brilla
21 il faudrait en tirer des conséquences, alors que Ford passe outre et se remet à discuter des points de technique. Il n’a pa
22 grands esprits de tous les temps. On me dira que Ford a mieux à faire que de philosopher. Je le veux. Mais si j’insiste un
23 ies pour admirer mutuellement leur culture », dit Ford . Et tout est dit ! Le simplisme arrogant avec lequel, de nos jours, o
24 buts propres, humains et divins. Mauvais loisirs. Ford lui a donné une auto pour admirer la nature entre 17 et 19 heures : v
25 ans les rouages de la vie moderne. Le triomphe de Ford réduira l’Esprit à devenir l’apanage d’une sorte de franc-maçonnerie
26 l’Occident. La logique, parlant par la bouche de Ford  : « Inutile, donc à détruire. » Ford a raison, une fois de plus. Pas
27 la bouche de Ford : « Inutile, donc à détruire. » Ford a raison, une fois de plus. Pas de compromis possible de ce côté. Mai
28 lus du grand public sont Ma vie et mon œuvre, de Ford et Mon curé chez les riches, de Clément Vautel. Dans les pays de lang
29 ique ; poussée mystique en Russie. a. « Le péril Ford  », Foi et Vie, Paris, n° 4, février 1928, p. 189-202.
4 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
30 faire endosser le blâme, mais comme l’homme nommé Ford , de Détroit, a contribué davantage que n’importe quel autre de mon te
31 le souverain du monde. Tamerlan pour les anciens. Ford pour les modernes. Quelle décadence ! ax. « Sherwood Anderson : Mo
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
32 l’organisation du monde-termitière type Lénine ou Ford . Soucieux de comprendre notre temps avant de le condamner ou de l’abs
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
33 sement par exemple. Que l’on songe à l’œuvre d’un Ford , ou à celle de presque tous nos hommes d’État. Le privilège admirable
7 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
34 ent beaucoup d’ampleur sur le terrain préparé par Ford . Une récente enquête publiée en volume chez Macmillan sous ce titre :
8 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
35 Ce bourrage de crâne réalisé sur une échelle que Ford n’avait imaginée qu’en rêve, c’est la tentative désespérée de Staline
9 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
36 Ce bourrage de crâne réalisé sur une échelle que Ford n’avait imaginée qu’en rêve, c’est la tentative désespérée de Staline
10 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
37 Ce bourrage de crâne réalisé sur une échelle que Ford n’avait imaginée qu’en rêve, c’est la tentative désespérée de Staline
11 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
38 ’est un ouvrier qui parle. D’avoir travaillé chez Ford ne donne pas forcément plus de valeur que d’avoir traîné son vague à
12 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
39 s, des statistiques et des plans fabuleux. 30. «  Ford , c’est Descartes descendu dans la rue », écrivaient Aron et Dandieu d
13 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
40 a été détourné de ses fins humaines par Taylor et Ford  ; que le mécanisme et « l’intellectualisme décharné » ont provoqué de
14 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
41 représente. D’où l’ascétisme du capitaliste, type Ford ou Stinnes — son affectation de vie simple et son mépris des fins hum
15 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
42 représente. D’où l’ascétisme du capitaliste, type Ford ou Stinnes — son affectation de vie simple et son mépris des fins hum
16 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
43 de d’autarchisme panique, l’on peut bien dire que Ford apparaît sain si on l’oppose aux dictateurs fascistes ! Enfin la résu
17 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
44 at des ouvriers de l’industrie automobile offre à Ford un contrat collectif qui le protègera contre les grèves irrégulières,
18 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
45 at des ouvriers de l’industrie automobile offre à Ford un contrat collectif qui le protégera, lui le patron, contre les grèv
19 1946, Journal des deux mondes. Virginie
46 rencontré ce regard. 16. On peut bien dire que Ford , par exemple, qui est l’homme le plus riche d’Amérique, est loin d’êt
20 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
47 at des ouvriers de l’industrie automobile offre à Ford un contrat collectif qui le protégera, lui le patron, contre les grèv
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
48 s fermé nous menace. 96. On peut bien dire que Ford , par exemple, qui est l’homme le plus riche d’Amérique, est loin d’êt
22 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
49 at des ouvriers de l’industrie automobile offre à Ford un contrat collectif qui le protégera, lui le patron, contre les grèv
23 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
50 surtout — avaient construit des autos bien avant Ford . Son invention, ou sa ré-invention, n’en reste pas moins exemplaire.
24 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
51 surtout — avaient construit des autos bien avant Ford . Son invention, ou sa ré-invention n’en reste pas moins exemplaire.
25 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (février 1958)
52 é de presse du 4 juin 1957 Un don de la Fondation Ford au Centre européen de la culture. Le CEC vient de recevoir une subven
53 cevoir une subvention de $ 40 000 de la Fondation Ford , destinée au développement des activités d’éducation européenne entre
54 imés d’un esprit européen. Le don de la Fondation Ford permettra la poursuite et l’extension de l’ensemble de ce programme.
55 , grâce à une subvention spéciale de la Fondation Ford . Elles ont été prévues méthodiquement dans des milieux aussi variés q
26 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
56 onstruit d’autres voitures automobiles bien avant Ford , mais son invention ou sa ré-invention n’en demeure pas moins exempla
27 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
57 la fortune nationale. Le capital de la fondation Ford , nourri par les usines Ford, est actuellement de quatre milliards et
58 pital de la fondation Ford, nourri par les usines Ford , est actuellement de quatre milliards et demi de dollars ; je tiens c
28 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
59 on Amérique. Liberté Invité par la Fondation Ford pour me promener dans les États-Unis sans l’ombre d’une obligation —
60 is un très haut niveau intellectuel, la Fondation Ford a créé un Centre d’études avancées pour les sciences du comportement.
29 1965, Articles divers (1963-1969). La technique, facteur de paix (6 mars 1965)
61 re : phantasme typique de l’adolescence. Le jeune Ford le réalise en 1893, quelques années après que l’Allemand Otto eut inv
62 nstruit des prototypes variés d’automobiles avant Ford . Son invention, ou sa réinvention indépendante n’en demeure pas moins
63 plus que s’il est bien certain que l’invention de Ford est née d’un rêve d’évasion hors des voies imposées de la civilisatio
30 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Culture et technique en Europe et dans le monde
64 l’adolescence, qui est l’âge des fugues. Le jeune Ford le réalisa en 1893, quelques années après que l’Allemand Otto eût inv
65 onstruit d’autres voitures automobiles bien avant Ford . Son invention ou sa réinvention n’en demeure pas moins exemplaire, p
66 plus que s’il est bien certain que l’invention de Ford est née d’un rêve d’évasion hors des voies imposées de la civilisatio
31 1974, Articles divers (1974-1977). Recherche pour un modèle de société européenne (février 1974)
67 ans l’intention de jouer au plus rapide. En 1903, Ford gagne une course de vitesse, et encouragé par ce succès, fonde la Soc
68 é par ce succès, fonde la Société des automobiles Ford . Dans sa première publicité, il écrit que l’auto « peut vous mener n’
69 des toniques : une atmosphère salubre ». En 1910, Ford introduisit son fameux « Modèle T », robuste, utile et laid, mais bon
32 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
70 er article publié à Paris s’intitulait « Le péril Ford  », mon premier petit livre Les Méfaits de l’instruction publique  :
33 1975, Articles divers (1974-1977). Au-delà de la société industrielle (1975)
71 de l’adapter à « la science militaire ». Le jeune Ford , lui, marche à l’étoile, avec toute l’assurance que peuvent donner au
72 ar elle seule — la réclame, comme on dit alors —, Ford va changer tout cela. C’est dire qu’il va changer la nature même des
34 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
73 issait prévoir le croisement. Prenez l’exemple de Ford , l’inventeur de l’automobile, et de Hitler. À priori, rien de commun.
74 e conséquence, notre survie écologique, alors que Ford aurait pu, à lui seul, nous conduire à l’asphyxie et à l’embouteillag
35 1977, Articles divers (1974-1977). L’Avenir est votre affaire (11 octobre 1977)
75 ont le titre à lui seul est éloquent : « Le péril Ford  ». Ce texte, publié dans une revue protestante, tomba à l’époque dans
36 1977, Articles divers (1974-1977). Demain le soleil (20 décembre 1977)
76 onc écouté Denis de Rougemont m’expliquer comment Ford , qui généralisa l’automobile, et Hitler se sont trouvés être les alli
77 oncer à quelle fatalité nous allions être livrés. Ford a donné un tel essor que les villes se sont développées en fonction d
78 . La guerre du Kippour, en 1973, est l’endroit où Ford et Hitler se rencontrent. Résultat : l’embargo, la crise de l’énergie
79 istoire dont on se demande qui a pu les imaginer. Ford part d’une extrémité, Hitler de l’autre. Ils se croisent et tout s’il
37 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
80 artes le mécaniste, dont Marx procède de même que Ford et la grande industrie moderne. Elle trahit peut-être, en fin de comp
38 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
81 de l’adapter à la « science militaire ». Le jeune Ford , lui, marche à l’étoile, avec toute l’assurance que peuvent donner au
82 modèle T ne changera pas plus que son auteur. Le Ford milliardaire et souvent ridiculisé de la maturité et de la vieillesse
83 é et de la vieillesse, n’est en rien différent du Ford entreprenant et souvent malchanceux de l’adolescence et de la jeuness
84 utile à la poursuite de la production lui suffit. Ford n’est pas un capitaliste. Il se voit au contraire philanthrope. Il ve
85 s, d’où il est renvoyé vers la Norvège neutre, où Ford écœuré l’abandonne, pour reprendre aussitôt à Détroit son œuvre propr
86 , vingt-quatre ans après son « chemin de Damas », Ford abandonne un emploi bien rétribué de chef mécanicien à la Société Edi
87 tigineux, aveu du siècle ! En quelques décennies, Ford va changer tout cela : c’est dire qu’il va changer la nature même des
88 dans l’histoire de nos rêves. Voyons l’intrigue. Ford observe d’abord que le public ne s’intéresse aux voitures automobiles
89 tion. L’idée d’aller plus vite amuse l’Américain. Ford , sans plaisir, décide de jouer ce jeu. La même année 1903, il gagne s
90 s qui outrepassent largement la sobre utilité que Ford vénérait. Les jeunes gens prennent leur voiture pour faire 300 mètres
91 donc cela ? On a vu que le projet fondamental de Ford est né d’un rêve d’évasion campagnarde hors des voies imposées de la
92 pour toujours. Au lieu de la libération rêvée par Ford , nous avons accepté en fait l’asservissement au rythme des machines,
93 ble dans le sentiment de ce que, par le succès de Ford , elle menaçait de léser pour longtemps au plus intime de l’homme mode
94 sans auto. Voilà l’affaire lancée. La passion de Ford se donne libre cours. Il ne s’agit plus maintenant que de lui donner
95 n’ait plus qu’à plier bagage. Mais c’est ici que Ford montre le bout de l’oreille, et que son but réel est la production po
96 réservation, d’autorégulation et d’alternances. » Ford a créé un second dimanche dans la semaine, “retouché l’œuvre de la cr
97 r la duperie : ce jeu du chat et de la souris. Si Ford relâche les ouvriers, et leur donne une apparence de liberté, c’est p
98 vu. Il est déterminé par la réclame, les produits Ford qu’il faut user, etc. Il a pour but véritable d’augmenter la consomma
99 teintes. » On peut se demander jusqu’à quel point Ford est conscient des buts et de l’avenir de son effort. Pour mon compte,
100 ts propres, humains et divins. » Mauvais loisirs. Ford lui a donné une auto pour aller admirer la nature entre 18 et 19 heur
101 s les rouages de la vie moderne. » Le triomphe de Ford réduira l’Esprit à devenir l’apanage d’une sorte de franc-maçonnerie
102 ’Occident. » La logique, parlant par la bouche de Ford  : “Inutile, donc à détruire.” Ford a raison, une fois de plus. Pas de
103 r la bouche de Ford : “Inutile, donc à détruire.” Ford a raison, une fois de plus. Pas de compromis possible de ce côté. Mai
104 l n’est pas exclu que l’antisémitisme primaire de Ford l’ait amené à subventionner Hitler à ses débuts, en 1922. 101. Cf. A
39 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
105 uvre. Plus grave encore est la publicité. Lorsque Ford entreprend de convaincre les paysans du Middle West qu’ils ont besoin
40 1978, Articles divers (1978-1981). « Quel avenir voulons-nous ? » (1er février 1978)
106 enti celui-ci dans un texte écrit dès 1928 contre Ford  ; j’avais alors 20 ans. Ajoutez à cela que les Arabes ont pris au sér
41 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
107 en français. L’article était intitulé « Le péril Ford  » et s’élevait contre Ford et son triomphe, qui commençait à se manif
108 it intitulé « Le péril Ford » et s’élevait contre Ford et son triomphe, qui commençait à se manifester à ce moment-là. L’aut
109 -là. L’auto industrielle n’avait que 29 ans, déjà Ford était milliardaire. Et j’ai eu une réaction viscérale. Je me suis dit
42 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
110 es, par les procédés publicitaires que l’on sait, Ford va changer tout cela, c’est-à-dire va changer la nature même des beso
43 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
111 es livres. Dès l’âge de 22 ans, j’ai écrit contre Ford , et quelques années plus tard contre Hitler : l’auto et le national-s