3
d. « Conférences d’Aubonne », Suisse libérale,
Neuchâtel
, n° 78, 7 avril 1926, p. 2. Signé : Stud. litt.
5
Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)j
Neuchâtel
va-t-elle redevenir le centre artistique qu’elle fut au siècle passé
6
devenu plus net, plus cruel aussi. À Marin, près
Neuchâtel
, dans cette petite maison qu’on reconnaissait entre trente pareilles,
7
ût-ce qu’en prenant une initiative comme celle de
Neuchâtel
1927 7 il aura bien mérité sa place parmi les artistes neuchâtelois.
8
grâce décorative, il n’en reste qu’un, du moins à
Neuchâtel
même : Eugène Bouvier. Ce garçon aux allures discrètes promène sur le
9
seconde patrie si la peinture est sa première et
Neuchâtel
la troisième… Il y a par Eugène Bouvier quelque chose de nouveau dans
10
trouvent former un mouvement actif déjà, et dont
Neuchâtel
1927 sera la première manifestation collective. Est-il possible, au
11
Note de l’éd.) k. « Dés ou la clef des champs »,
Neuchâtel
1928 : beaux-arts, arts appliqués, architecture, littérature, Neuchât
14
lderlin », La Quinzaine artistique et littéraire,
Neuchâtel
, n° 18, 15 juillet 1929, p. 354-356.
15
me fait un ciel » — la vaporeuse beauté du lac de
Neuchâtel
. Mlle Kikou Yamata a su le voir aussi « gris et ardent sous le soleil
16
ikou Yamata : Saisons suisses (À l’Atelier rouge,
Neuchâtel
) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mars 1930, p
17
de Rougemont a poursuivi des études de lettres à
Neuchâtel
, Vienne et Genève. Il a collaboré à diverses revues suisses et frança
18
luie et le beau temps (Dialogue dans une tête) »,
Neuchâtel
1932, numéro thématique de la Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuch
19
rées d’hier, deux à Genève dans la matinée, une à
Neuchâtel
à sept heures du soir. Celle qui est bordée de noir est d’un ami aîné
20
x. — De quelle région de la Suisse êtes-vous ? De
Neuchâtel
? Attendez, Neuchâtel, rappelez-moi… Ainsi je me demandais parfois c
21
de la Suisse êtes-vous ? De Neuchâtel ? Attendez,
Neuchâtel
, rappelez-moi… Ainsi je me demandais parfois ce qu’on sait de Neuchâ
22
… Ainsi je me demandais parfois ce qu’on sait de
Neuchâtel
dans le vaste monde. Je trouvais à peu près ceci : la Bible d’Osterva
23
se vende à New York, mais à quel prix ! c’est le
Neuchâtel
blanc. (On voit sur l’étiquette le Trou de Bourgogne et la descente d
24
quand j’étais enfant, c’était quitter Couvet pour
Neuchâtel
, le « Vallon » pour le « Bas », l’école pour les vacances. C’était fu
25
ertés civiques a été obtenue par les bourgeois de
Neuchâtel
et signée par leur comte souverain en 1214.
26
20. Principauté souveraine depuis le Moyen Âge,
Neuchâtel
a choisi de se confédérer avec la Suisse le 1er mai 1848, après une b
27
u plus grand nombre. Le « Rôle des Bourgeois » de
Neuchâtel
illustre cette continuité jusqu’au xvie siècle. Au-delà tout devient
28
ment et la structure sociale de la Principauté de
Neuchâtel
, du xve siècle jusqu’aux débuts du xixe , ne manquent pas d’évoquer
29
e la Suisse, écrit en 1776 : « La constitution de
Neuchâtel
est une monarchie limitée, dont la machine est mise en mouvement par
30
est composée de quatre conseillers de la ville de
Neuchâtel
. Ce Tribunal n’est, à parler régulièrement, qu’une cour suprême de Ju
31
de Ville et des Députés de Vallengin… La ville de
Neuchâtel
jouit de privilèges très considérables. Elle a la police de son terri
32
dans le Prince, le Conseil d’État, et la ville de
Neuchâtel
, conjointement considérés ; que le Vallengin a une sorte de voix néga
33
eux l’esprit de caste et de famille qui régnait à
Neuchâtel
. Dieu nous préserve, écrivait-il, des parvenus par droit de naissance
34
un des principaux artisans du « cantonnement » de
Neuchâtel
, c’est-à-dire de son inclusion, mais sans changer de régime, dans le
35
nuelle au gouvernement du pays. Au xixe siècle,
Neuchâtel
ayant cessé d’être ce qu’il conviendrait de nommer une aristocratie r
36
xplique très mal, et qui touche à ma profession :
Neuchâtel
, pour tant de culture, pour tant de livres lus, relus, et de bon choi
37
dant le séjour qu’il fit au Locle, dans la neige…
Neuchâtel
semble se prêter à ces parenthèses du sort, à ces conjonctions clande
38
ndre son Journal, pour vérifier s’il y parlait de
Neuchâtel
. Et je tombe sur ce court passage, à la date de 1913 : « Combien j’ai
39
rix Rambert 1938 », Feuille centrale de Zofingue,
Neuchâtel
, n° 1, novembre 1938, p. 36-39. Pris remis pour récompenser l’auteur
40
rich et offerte au public suisse par le canton de
Neuchâtel
. Il y a quelque chose de profondément émouvant dans ce don : un canto
41
érature (la plus belle qui soit, nous le savons à
Neuchâtel
comme à Marseille). C’est à cela, c’est à ce « reste » que vous dites
42
ociation des anciens étudiants de l’Université de
Neuchâtel
, Neuchâtel, n° 17, 1939, p. 150-151.
44
férence prononcée au mois de janvier 1939 à Bâle,
Neuchâtel
, Lausanne et Genève. i. « Le protestantisme créateur de personnes »,
45
en Suisse, et particulièrement dans le canton de
Neuchâtel
, qui m’a demandé d’écrire ce drame. Il existe en effet chez nous des
46
t au Locle ; un chœur d’enfants dans la région de
Neuchâtel
; enfin un petit ensemble d’excellents amateurs de musique plus savan
47
usique plus savante : le chœur « Sine Nomine », à
Neuchâtel
même. J’utiliserai donc, pour mon drame, une masse chorale qui représ
48
nis : M. Denis de Rougemont nous dit… », Curieux,
Neuchâtel
, n° 34, 23 août 1940, p. 1. Propos recueillis par F. G. et précédés d
49
ndé », Vingt-huit écrivains de la Suisse romande,
Neuchâtel
, Éditions de la Baconnière, 1940, p. 233-240.
50
de janvier 1939 dans les aulas des universités de
Neuchâtel
, Lausanne et Genève, sous les auspices des Amis de la pensée protesta
51
ichois et des Bernois, des gens d’Unterwald et de
Neuchâtel
, des Grisons et des Bâlois, et même deux espèces de Bâlois ! Qu’il y
52
de janvier 1939 dans les aulas des universités de
Neuchâtel
, Lausanne et Genève, sous les auspices des Amis de la pensée protesta
53
nnées M. Denis de Rougemont est revenu au pays de
Neuchâtel
, dont il est une des fiertés. Ce retour n’est d’ailleurs que provisoi
54
casion du soixantième anniversaire de Karl Barth,
Neuchâtel
, Delachaux et Niestlé, 1946, p. 162-167.
55
les retrouve au bar. Et de quoi parlons-nous ? De
Neuchâtel
, bien entendu, où ils étaient il y a trois mois, et des répétitions d
56
rées d’hier, deux à Genève dans la matinée, une à
Neuchâtel
à sept heures du soir. Celle qui est bordée de noir est d’un ami aîné
57
du Lion. Pourtant, de mes études assez poussées —
Neuchâtel
, Vienne, Genève en huit semestres, lettres latines, allemandes et fra
58
en Suisse dans la maison de mes parents, près de
Neuchâtel
, où je garde dans une armoire, comme chaque soldat et officier suisse
59
Denis de Rougemont. et dans la Feuille d’Avis de
Neuchâtel
: Les plaidoiries au procès Oltramare : où il est question de Denis
60
nt en moins d’une heure d’un monde à l’autre — de
Neuchâtel
à Berne par exemple — ne servent cependant qu’aux petits déplacements
61
ar les Rencontres internationales de Genève 1946,
Neuchâtel
, Éditions de la Baconnière, 1947, p. 143-163. Accompagné de la note :
62
Anaxagore, à penser avec les mains ? Je suis né à
Neuchâtel
, me dit Denis de Rougemont. J’ai fait des études de lettres en Suisse
64
x. — De quelle région de la Suisse êtes-vous ? De
Neuchâtel
? Attendez, Neuchâtel, rappelez-moi… Ainsi je me demandais parfois
65
de la Suisse êtes-vous ? De Neuchâtel ? Attendez,
Neuchâtel
, rappelez-moi… Ainsi je me demandais parfois ce qu’on sait de Neuch
66
Ainsi je me demandais parfois ce qu’on sait de
Neuchâtel
dans le vaste monde. Je trouvais à peu près ceci : la Bible d’Osterva
67
se vende à New York, mais à quel prix ! c’est le
Neuchâtel
blanc. (On voit sur l’étiquette le Trou de Bourgogne et la descente d
68
quand j’étais enfant, c’était quitter Couvet pour
Neuchâtel
, le « Vallon » pour le « Bas », l’école pour les vacances. C’était fu
69
lus grand nombre. Le « Rôle des Bourgeois » de
Neuchâtel
illustre cette continuité jusqu’au xvie , et pour beaucoup jusqu’au m
70
ment et la structure sociale de la Principauté de
Neuchâtel
, du xve siècle jusqu’aux débuts du xixe , ne manquent pas d’évoquer
71
e la Suisse, écrit en 1776 : « La constitution de
Neuchâtel
est une monarchie limitée, dont la machine est mise en mouvement par
72
est composée de quatre conseillers de la ville de
Neuchâtel
. Ce Tribunal n’est, à parler régulièrement, qu’une Cour suprême de Ju
73
Ville et des Députés de Vallengin… » La ville de
Neuchâtel
jouit de privilèges très considérables. Elle a la police de son terri
74
dans le Prince, le Conseil d’État, et la ville de
Neuchâtel
, conjointement considérés ; que le Vallengin a une sorte de voix nég
75
eux l’esprit de caste et de famille qui régnait à
Neuchâtel
. Dieu nous préserve, écrivait-il, des parvenus par droit de naissance
76
un des principaux artisans du « cantonnement » de
Neuchâtel
, c’est-à-dire de son inclusion, mais sans changer de régime, dans le
77
inuelle au gouvernement du pays. Au xixe siècle,
Neuchâtel
ayant cessé d’être ce qu’il conviendrait de nommer une aristocratie r
78
xplique très mal, et qui touche à ma profession :
Neuchâtel
, pour tant de culture, pour tant de livres lus, relus, et de bon choi
79
dant le séjour qu’il fit au Locle, dans la neige…
Neuchâtel
semble se prêter à ces parenthèses du sort, à ces conjonctions clande
80
ndre son Journal, pour vérifier s’il y parlait de
Neuchâtel
. Et je tombe sur ce court passage, à la date de 1913 : « Combien j’ai
82
Problème de l’union européenne d’Olivier Philip,
Neuchâtel
, Éditions de la Baconnière, 1950, p. 9-11.
83
s plus divers, « Au Vaneau », près de Lausanne, à
Neuchâtel
, à Berne. Mais je n’ai plus souvenir d’aucune conversation qui mérite
84
vait le prix Nobel. Chez Richard Heyd, un soir, à
Neuchâtel
, l’on jouait au « cadavre exquis ». (L’un écrit trois questions, l’au
85
vous un partisan de l’Europe unie ? Je suis né à
Neuchâtel
, c’est-à-dire dans le canton qui a été le dernier à se rallier à la f
86
la fédération suisse en 1848. Jusqu’à cette date,
Neuchâtel
était une principauté dont le souverain se trouvait être, en même tem
87
nt, ce serait l’hypothèse la moins folle, puisque
Neuchâtel
, Fribourg, Vaud et Genève où l’on parle français souderaient ainsi la
88
, Bâle, Fribourg, ainsi que les villes alliées de
Neuchâtel
et de Genève, devinrent des républiques oligarchiques. Un certain nom
89
n. L’Institut chronométrique de l’Observatoire de
Neuchâtel
, qui donne l’heure à toute la Suisse, collabore étroitement avec les
90
he quand les résultats sont bons. L’Université de
Neuchâtel
a son laboratoire de recherches horlogères. De son côté, l’industrie
91
ues et religieuses. Celles de Genève, Lausanne et
Neuchâtel
sont françaises et marquées par l’esprit protestant ; celle de Fribou
92
versité romande unique, qui engloberait celles de
Neuchâtel
, Lausanne et Genève, les moins dissemblables, ne ressurgit périodique
93
n vigueur est l’œuvre d’un professeur de droit de
Neuchâtel
, M. G. Sauser-Hall. 36. Aux sept universités mentionnées, il faut aj
94
e de Näfels, Vaud son 24 janvier et son 14 avril,
Neuchâtel
son 1er mars ; toute la Suisse a son 1er août ! Et si l’armée est la
95
ichois et des Bernois, des gens d’Unterwald et de
Neuchâtel
, des Grisons et des Bâlois, et même deux espèces de Bâlois ! Qu’il y
96
oyers culturels bien distincts, Genève, Lausanne,
Neuchâtel
et Fribourg, les trois premiers sont protestants, le quatrième cathol
97
m Rappard, La Constitution fédérale de la Suisse,
Neuchâtel
, La Baconnière, 1948, p. 20. 9. Ibid., p. 83. r. « Deux notes sur
100
s de la Bibliothèque publique et universitaire de
Neuchâtel
, sous l’identifiant 547. Comme l’indique l’auteur en note, ce « aperç
101
là, terminant mes études, dans la petite ville de
Neuchâtel
, et nous étions passionnément surréalistes, comme nos aînés avaient é
111
cantons primitifs) à la monarchie (principauté de
Neuchâtel
) en passant par les systèmes les plus complexes d’oligarchies patrici
112
iam E. Rappard, La Constitution fédérale de 1848,
Neuchâtel
, 1948 (ouvrage de base, contenant de larges extraits du Protocole de
113
0 ; Gonzague de Reynold, Conscience de la Suisse,
Neuchâtel
, 1938 ; Denis de Rougemont, La Confédération helvétique , Paris, 195
114
; André Siegfried, La Suisse, démocratie témoin,
Neuchâtel
, 1948 ; E. Hughes, The Federal Constitution of Switzerland, Oxford, 1
115
dédié à Melpomène. 3. Éditions de la Baconnière,
Neuchâtel
, 1946, 32 illustrations. 4. W. Technau, Die Göttin auf dem Stier, c
116
s plus divers, « Au Vaneau », près de Lausanne, à
Neuchâtel
, à Berne. Mais je n’ai plus souvenir d’aucune conversation qui mérite
117
vait le prix Nobel. Chez Richard Heyd, un soir, à
Neuchâtel
, l’on jouait au « cadavre exquis ». L’un écrit trois questions, l’aut
118
qu’on lira plus loin. Éditions de la Baconnière,
Neuchâtel
, 1946, 32 illustrations. 6. Voir notamment W. Technau : Die Göttin a
119
onales de Genève 1946, Éditions de la Baconnière,
Neuchâtel
, 1957. 276. H. von Hofmannsthal : article daté de 1925, in Gesammelt
120
Karl Jaspers : L’Esprit européen, La Baconnière,
Neuchâtel
, 1957, p. 298 à 302. 300. Op. cit., p. 424. 301. Id. ibid., p. 43
121
2. L’Esprit européen, Éditions de la Baconnière,
Neuchâtel
, 1949, p. 148-156. 303. Conférence prononcée à la Sorbonne, le 4 nov
122
ns L’Europe de Demain, Éditions de la Baconnière,
Neuchâtel
, 1945. 325. Cf. le discours de Briand, supra : « une sorte de lien f
124
e 1962, p. 9-14. Présenté par cette note : « Né à
Neuchâtel
, en Suisse, Denis de Rougemont, qui fit ses études dans diverses vill
125
sistances dans L’Europe de demain, La Baconnière,
Neuchâtel
, 1945 ; qui donne un récit détaillé des rencontres clandestines de Ge
126
e en jeu , par Denis de Rougemont, La Baconnière,
Neuchâtel
, 1948. Le congrès de l’Europe se tint du 7 au 11 mai à La Haye, sous
127
ns L’Europe en jeu . (Éditions de la Baconnière,
Neuchâtel
, 1948). 3. Dépassement du principe de non-contradiction ; principe d
128
Voici ce qu’a donné cette entrevue. Né en 1906 à
Neuchâtel
, Denis de Rougemont est un écrivain suisse d’expression française… Je
129
s ; 3° nous sommes de vieilles républiques — même
Neuchâtel
, en dépit de ses princes — fondées sur une large autonomie des commun
130
es. 3° nous sommes de vieilles républiques — même
Neuchâtel
, en dépit de ses princes — fondées sur une large autonomie des commun
131
cette note : « Denis de Rougemont : né en 1906 à
Neuchâtel
. Études de lettres et de philosophie. Éditeur à Paris dès 1931. Lecte
133
vé à la Bibliothèque publique et universitaire de
Neuchâtel
sous l’identifiant 242. Il s’agit d’une conférence (sans date ni lieu
134
vé à la Bibliothèque publique et universitaire de
Neuchâtel
sous l’identifiant 459. Outre les variantes les plus notables de l’éd
135
casion du soixantième anniversaire de Karl Barth,
Neuchâtel
, Delachaux et Niestlé, 1946, p. 162-167) et en revue (« Théologie et
136
és à la Bibliothèque publique et universitaire de
Neuchâtel
sous l’identifiant 469. Il s’agit du texte d’une conférence donnée à
137
vé à la Bibliothèque publique et universitaire de
Neuchâtel
sous l’identifiant 592. be. Le manuscrit date de 1947 cette statisti
138
vé à la Bibliothèque publique et universitaire de
Neuchâtel
sous l’identifiant 988. bw. Le manuscrit français est peu lisible, l
139
Proudhon s’est peut-être souvenu de son passage à
Neuchâtel
(où il fut un temps typographe) en écrivant son grand livre, Du princ
140
Proudhon s’est peut-être souvenu de son passage à
Neuchâtel
(où il fut un temps typographe) en écrivant son grand livre posthume,
141
uvent le sens même de leur vie. Dans le canton de
Neuchâtel
de mon enfance, combien de fois n’ai-je pas lu cette devise gravée su
142
es parents et trois des grands-parents étaient de
Neuchâtel
, je trouve 32 Neuchâtelois et 32 Européens surtout Français, mais pas
143
tenir ? Aux nobles troubadours de Grandson et de
Neuchâtel
? À Guillaume Tell, qui est très probablement un personnage mythique,
144
t de ce groupe, de naturaliser culturellement. Et
Neuchâtel
, comme toute la Suisse, vous le savez, doublera sa population d’ici t
145
comme ceux dont j’ai pu suivre à l’Université de
Neuchâtel
l’enseignement direct (car nous étions très peu nombreux) : un Max Ni
146
ngen, les Lenzbourg, les Kybourg, les Savoie, les
Neuchâtel
, et enfin les Habsbourg. Bertold de Villingen, fils d’un « homme libr
147
de 1815 amène l’entrée de Genève, du Valais et de
Neuchâtel
dans une confédération renouvelée. Encore, le dernier de ces trois Ét
148
es conditions de toute union : ainsi le fait pour
Neuchâtel
de rester la seule monarchie au sein de la Confédération. Vient un mo
149
ire d’un petit nombre de familles, nobles ou non.
Neuchâtel
est un cas spécial, à cause des princes. Le château qui domine la pet
150
r, Histoire de la neutralité suisse, Bâle, 1946 ;
Neuchâtel
, 1949. 36. Gespräche und Discursen zweyer Evangelischer Eydtgenosse
151
us fixes. En plein xviiie siècle encore, Genève,
Neuchâtel
, Mulhouse, les Grisons et même Vaud étaient reconnus comme confédérés
152
ar Edmond Privat, Trois Expériences fédéralistes,
Neuchâtel
, 1942). 53. W. Rappard, op. cit., p. 206. 54. « Le terme de conféd
153
quable du nombre des charges et des magistrats. À
Neuchâtel
, par exemple, au lieu du Petit Conseil des patriciens, du Grand Conse
154
isses surent échapper en se déclarant neutres. Et
Neuchâtel
enfin, principauté souveraine, fut un État dès le haut Moyen Âge, len
155
l’autre. Seuls jusqu’ici (1964), Genève, Vaud et
Neuchâtel
ont accordé le droit de vote aux femmes. Les autres cantons romands c
156
de Naefels, Vaud son 24 janvier et son 14 avril,
Neuchâtel
son 1er mars ; toute la Suisse a son 1er août ! Et si l’armée est la
157
ichois et des Bernois, des gens d’Unterwald et de
Neuchâtel
, des Grisons et des Bâlois, et même deux espèces de Bâlois ! Qu’il y
158
finement, tandis que les montagnards de l’Ouest —
Neuchâtel
, Vaud, Genève — manifestaient un génie très particulier de la mécaniq
159
n. L’Institut chronométrique de l’observatoire de
Neuchâtel
, qui « donne l’heure au monde », collabore étroitement avec les fabri
160
he quand les résultats sont bons. L’Université de
Neuchâtel
a son laboratoire de recherches horlogères. De son côté, l’industrie
161
uvent le sens même de leur vie. Dans le canton de
Neuchâtel
de mon enfance, combien de fois n’ai-je pas lu cette devise gravée su
162
ls ou historiques — cité de Genève, pays de Vaud,
Neuchâtel
ou La Chaux-de-Fonds, Jura bernois, Fribourg, moitié francophone du V
163
automates de Jaquet-Droz, qu’on voit au musée de
Neuchâtel
. De ces charmantes poupées qui ressemblent aux marionnettes de Salzbo
164
e. C’est de là que sont descendues, en 1848, vers
Neuchâtel
, les colonnes révolutionnaires qui allaient renverser le régime patri
165
e population. » Avec mon projet, il était servi :
Neuchâtel
fournirait deux petits chœurs et une compagnie théâtrale d’amateurs,
166
res endroits) ni son accent (qui est dur et sec à
Neuchâtel
, aimable dans le pays de Vaud, plutôt vulgaire à Genève) mais sa « co
167
nts avec, puis sans jardin » — vint s’installer à
Neuchâtel
. Il s’appelait Sauser-Hall, et il avait deux fils. L’un, Georges, dev
168
fils. L’un, Georges, devint professeur de droit à
Neuchâtel
et rédigea le Code civil de la Turquie. Et l’autre, nommé Fritz, s’éc
169
ues et religieuses. Celles de Genève, Lausanne et
Neuchâtel
sont françaises et marquées par l’esprit protestant ; celle de Fribou
170
ue, qui engloberait celles de Genève, Lausanne et
Neuchâtel
, ne resurgit périodiquement que pour se voir aussitôt repoussée avec
171
es parents et trois des grands-parents étaient de
Neuchâtel
, je trouve 30 Neuchâtelois et 34 Européens surtout Français, mais pas
172
es signes » saussurienne. 110. Jean Piaget, né à
Neuchâtel
, fondateur du Bureau international de l’Éducation, est actuellement p
173
Proudhon s’est peut-être souvenu de son passage à
Neuchâtel
(où il fut un temps typographe) en écrivant son grand livre, Du Princ