1 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
1 Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)v Qu’un écrivain de l’Ouest reçoive un prix Stali
2 possible encore avec son peuple. v. « Hommage à Pasternak  », Journal de Genève, Genève, n° 255, 31 octobre 1958, p. 1.
2 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
3 i dire, ma thèse va plus loin : c’est « l’affaire Pasternak  » dans son ensemble, j’entends le drame entre l’auteur, le peuple rus
4 me une affaire d’amour-passion. Voyons les faits. Pasternak écrit un énorme roman (dont une partie seulement sera publiée) décriv
5 gime dans son livre, pourvu qu’on le laisse, lui, Pasternak , en communion avec son peuple. Comment comprendre cette démarche, ven
6 soupçonner de lâcheté ? Le peuple russe condamne Pasternak pour avoir mal parlé des commissaires. Mais Pasternak les attaquait p
7 ernak pour avoir mal parlé des commissaires. Mais Pasternak les attaquait pour avoir trahi le peuple russe. Si maintenant il les
8 ’élite culturelle de l’Europe. Ainsi, le roman de Pasternak ne vint au jour qu’au lendemain du « dégel » soviétique : rien n’est
3 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
9 anges, comme il se doit. Mais au lieu de traduire Pasternak , nous dit-il (hélas ! interdit en Russie) qu’on traduise de vrais com
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
10 i dire, ma thèse va plus loin : c’est « l’affaire Pasternak  » dans son ensemble, j’entends le drame entre l’auteur, le peuple rus
11 me une affaire d’amour-passion. Voyons les faits. Pasternak écrit un énorme roman (dont une partie seulement sera publiée) décriv
12 gime dans son livre, pourvu qu’on le laisse, lui, Pasternak , en communion avec son peuple. Comment comprendre cette démarche, ven
13 soupçonner de lâcheté ? Le peuple russe condamne Pasternak pour avoir mal parlé des commissaires. Mais Pasternak les attaquait p
14 ernak pour avoir mal parlé des commissaires. Mais Pasternak les attaquait pour avoir trahi le peuple russe. Si maintenant il les
15 ’élite culturelle de l’Europe. Ainsi, le roman de Pasternak ne vint au jour qu’au lendemain du « dégel » soviétique : rien n’est
5 1971, Articles divers (1970-1973). L’Amour et l’Europe : L’Express va plus loin… avec D. de Rougemont (12 avril 1971)
16 ans Le Docteur Jivago, c’est la Russie, telle que Pasternak l’aimait et telle qu’on lui interdisait de l’aimer, symbolisée par un
6 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
17 es tirés de romans contemporains (Nabokov, Musil, Pasternak ), mais aussi de la vie et des œuvres de Kierkegaard et de Nietzsche,
7 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Le ludion, le contestataire et le prophète
18 Proust, Dos Passos, Fitzgerald, Morand, Moravia, Pasternak , mais aussi (dans une autre dimension) le T. S. Eliot du Waste Land,