1
enne connaissance… le Sens Critique. Moi (gêné)…
Rougemont
. Le Sens Critique. — Il y a un certain temps déjà que nous ne nous s
2
Abel Grandfils, Laurens van Kuyk, René Crevel et
Denis de Rougemont
, sont précédées d’une introduction dont nous reproduisons l’extrait s
3
245. Le texte est précédé de la note suivante : «
M. Denis de Rougemont
a poursuivi des études de lettres à Neuchâtel, Vienne et Genève. Il a
5
lomon de Crac, tous droits demeurent réservés par
Denis de Rougemont
, à la suite d’une entente formelle avec les héritiers du baron de Cra
6
umérique. Elle a été manifestement réintégrée par
Denis de Rougemont
en vue de l’édition de 1982. 7. Toute l’échelle des ivresses : ivres
7
a révolution neuchâteloise — le Procureur général
de Rougemont
… considérait la monarchie comme fatalement condamnée » (II. 242). « I
8
uelle. D’où septante-six ouvrages publiés par des
Rougemont
en Suisse, en France et en Allemagne, entre 1830 et 1900. Et cela va
9
le réalisme révolutionnaire. Cordialement à vous,
Denis de Rougemont
. d. « Sur un certain front unique », Europe, n° 122, 15 février 193
10
303-304. Précédé de la notice suivante : « M. D.
de Rougemont
a adressé à P. Nizan la lettre suivante en demandant son insertion da
11
ulièrement heureux de donner ici le témoignage de
M. Denis de Rougemont
, qui appartient aujourd’hui au groupe de l’Ordre nouveau et qui a eu
12
sur plusieurs jeunes écrivains révolutionnaires.
M. Denis de Rougemont
est protestant, et collaborateur à la NRF , etc. »
13
étarienne. Pour l’Ordre nouveau : Arnaud Dandieu,
Denis de Rougemont
, Daniel-Rops, Robert Aron, Alexandre Marc, René Dupuis, Jean Jardin,
14
semaines dans les rues de Paris. À part cela, M.
de Rougemont
, malgré ses appels à Luc, n’a pas répondu à notre question, il fait m
15
° 5-6, janvier-février 1934, p. 571-572. Le texte
de Rougemont
est entrecoupé d’un commentaire de la rédaction de Commune.
16
1933-1934, p. 57-59. e. Voir le compte rendu que
Rougemont
en fait dans les Cahiers du Sud, et repris dans Politique de la pers
18
I du n° 12 de L’Ordre nouveau , du 15 juin 1934,
Rougemont
apporte la précision suivante : « On a pu croire, à lire mon article
19
ud, Marseille, n° 162, juin 1934, p. 386-391. k.
Rougemont
en fera la recension dans la NRF de mars 1936.
20
omes. 18. Titre d’un essai d’Arnaud Daudin et D.
de Rougemont
, qui joint à quelques autres, paraîtra bientôt en librairie. Ce volum
21
s’agit d’Avant l’aube (Éditions « Je sers ») dont
Rougemont
donne une recension dans Foi et Vie en septembre 1931. Kagawa sera ég
22
septembre 1931. Kagawa sera également évoqué par
Rougemont
dans un article du Semeur paru en mai 1935.
23
airie Ernest Leroux. c. Voir le compte rendu que
Rougemont
fait de L’Humanité de Jésus d’après Calvin de Max Dominicé.
24
r, Paris, n° 6-7, avril-mai 1935, p. 387-416. e.
Rougemont
en rend compte dans la livraison de septembre 1931 de Foi et Vie .
25
ent de l’article extrêmement important publié par
Denis de Rougemont
dans le dernier numéro du Bulletin. »
26
° 265, octobre 1935, p. 599-601. v. Voir la note
de Rougemont
sur le Paracelse de Frédéric Gundolf, dans la NRF de septembre 1935.
27
⁂ À propos d’une conversation avec un SA D.
de Rougemont
nous écrit d’Allemagne : « L’ami XXX n’a pas dû lire Mein Kampf. Ce n
28
es « Clubs de presse » sont fondés et dirigés par
Denis de Rougemont
et R.-Philippe Millet de L’Ordre nouveau , L.-Émile Gallëy et Jean M
29
Jean Maze, R.-Philippe Millet, Emmanuel Mounier,
Denis de Rougemont
. e. « Formons des clubs de presse », La Flèche, Paris, n° 51, 30 j
30
aillant-Couturier est plus amplement commenté par
Rougemont
dans le numéro d’Esprit de février 1937 : « Paul Vaillant-Couturier :
31
la liberté, Paris, n° 3, 20 mars 1937, p. 10. i.
Rougemont
a rendu compte de cet ouvrage dans Esprit de mars 1937.
32
es. 75. Sur la notion de commune mesure, cf. D.
de Rougemont
, Penser avec les mains , Albin-Michel, 1936. 76. Sur la question de
34
7, p. 826-851. Introduit par la note suivante : «
M. Denis de Rougemont
, qui a publié récemment un remarquable essai sur la culture dans la s
35
éraires, Paris, n° 768, 3 juillet 1937, p. 8. p.
Rougemont
en fait la recension dans la NRF de novembre 1937.
36
stance que ses livres se vendent très bien. Enfin
Denis de Rougemont
dénonça le sophisme sur lequel repose l’œuvre de M. Benda, œuvre, en
37
les mains et Politique du personnalisme [sic],
M. Denis de Rougemont
vient d’illustrer ce que l’on peut appeler sa « doctrine », en nous d
38
s d’une vie diminuée et matériellement difficile,
M. Denis de Rougemont
sait tracer un tableau très vivant et très nuancé de la province fran
39
A. M. Petitjean, Marius Richard, Armand Robin, D.
de Rougemont
, Michel Seuphor, Jean Tardieu. On voit qu’il ne s’agit pas d’une écol
40
suisse : personne et fédéralisme », coordonné par
Denis de Rougemont
et ouvert par une lettre de C. F. Ramuz, que Rougemont commente ici e
43
« Subjectivité et transcendance », Lettre de
M. Denis de Rougemont
(décembre 1937)s Pourquoi voulez-vous — ou veulent-ils — que la ph
44
nt dans son rapport à l’éthique. s. « Lettre de
M. Denis de Rougemont
», Bulletin de la Société française de philosophie, Paris, n° 5, déce
45
se, Paris, n° 292, janvier 1938, p. 145-146. aj.
Rougemont
en a rendu compte dans le numéro de mai 1934 de la NRF : « Le Procès
46
er l’État de la tyrannie de l’Argent ? Réponse de
M. Denis de Rougemont
», Combat, Paris, n° 26, 10 juin 1938, n. p. Précédé de la note suiva
47
extra-gouvernementale. Pour atteindre ce but, M.
de Rougemont
souhaite “une action spirituelle” plus forte, plus riche et plus nobl
49
t j’en sens ma crête en rougir — « La poule de M.
de Rougemont
». Voici le début de ce libelle : Dans le livre si… si… et si… (je s
50
élogieux, tout à fait déplacés à mon avis) de M.
de Rougemont
, Journal d’un intellectuel en chômage , il y a une poule. C’est une
51
semparer elle se met à couver. On regrette que M.
de Rougemont
ne nous ait pas présenté le coq, même par la plus discrète allusion.
52
par la plus discrète allusion. Puis on attend. M.
de Rougemont
écrit des pages pénétrantes à propos de Goethe. La poule couve, la po
53
. 14 mai, 16 mai, 21 mai, rien, toujours rien. M.
de Rougemont
cite Spinoza — mais il est inquiet : dans la nuit du 21 mai, n’y tena
54
monsieur sérieux. Pour copie certifiée conforme :
Denis de Rougemont
. 3. Me permettra-t-on d’ajouter ma petite remarque aux déclarations
55
nse d’un protestant. Par sa pensée ferme et drue,
Denis de Rougemont
exerce une influence décisive sur les différents mouvements qu’on peu
56
un intellectuel en chômage , et les autres écrits
de Rougemont
en sont parmi les plus importants témoignages. »
57
les amis et collaborateurs de la Vie protestante,
M. Denis de Rougemont
, le jeune auteur romand dont la réputation n’est plus à faire. Nous l
58
Réponse de
Denis de Rougemont
, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)g Messieurs, Après ta
59
ercenaire, faut-il le préciser ? g. « Réponse de
Denis de Rougemont
, lauréat du prix Rambert 1938 », Feuille centrale de Zofingue, Neuchâ
60
publier en tête de ce numéro une page inédite de
Denis de Rougemont
, qu’il a bien voulu extraire pour nous d’un ouvrage qu’il prépare et
61
sont attaqués à la fausse passion) et la réponse
de Rougemont
. La voici : Au sujet de la lettre du R. P. Lavaud — je n’ai rien voul
62
Un quart d’heure avec
M. Denis de Rougemont
: Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)k Voici le
63
pourtant deux ans qu’il a été écrit. Son auteur,
M. Denis de Rougemont
, me dit pourquoi il a attendu ce temps pour le publier. C’est un jour
64
faire sans une foi. k. « Un quart d’heure avec
M. Denis de Rougemont
: Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne », Candide, Paris, n° 774, 11 j
65
Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit
Denis de Rougemont
(12 février 1939)q Avec l’audace souriante de ces guides helvétiqu
66
uriste stupéfait par le paysage et par le danger,
M. Denis de Rougemont
vient de publier L’Amour et l’Occident , livre qui va, sans doute, s
67
us valables sur le national-socialisme. Étranger,
M. Denis de Rougemont
connaît mieux que beaucoup de Français notre province : il a séjourné
68
fforce de dégager l’âme secrète de nos campagnes.
Denis de Rougemont
n’aime pas les villes, il n’a pas besoin pour écrire de ces conversat
69
hiver avec sa femme et Colinet, son petit garçon.
Denis de Rougemont
est grand, souple, il a la réserve affable des Suisses, et ce sourire
70
urs de l’époque. Qui s’opposait surtout, complète
Denis de Rougemont
, à la conception chrétienne du mariage. L’amour courtois est chaste,
71
rs étaient des cathares ? J’en suis persuadé, dit
Denis de Rougemont
, qui s’anime en exposant une théorie aussi originale. D’ailleurs, on
72
pourtant inspiré toute notre littérature, reprend
Denis de Rougemont
. Le mythe de Tristan et Iseut, qui pose pour la première fois ce fame
73
chapper jusqu’ici aux spécialistes du Moyen Âge ?
Denis de Rougemont
sourit avec malice : Les philologues ont un respect de la lettre qui
74
mariage, puisse encore inspirer la littérature ?
Denis de Rougemont
réfléchit : Non, je crois que nous sommes à une époque de transition,
75
trouver une solution nouvelle ? Pour moi, répond
Denis de Rougemont
, il ne peut y avoir qu’une solution : le mariage chrétien, mais prése
76
uveau pour moi, et très amusant. Avant de quitter
Denis de Rougemont
, je lui demande s’il n’attend pas avec une certaine curiosité les réa
77
« Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit
Denis de Rougemont
», Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 852, 12 février 1939, p. 3. I
78
Nicolas de Flue vu par
Denis de Rougemont
(8 juillet 1939)n Dans ce studio parisien, dont les larges fenêtre
79
n visage buriné par de longues méditations, voici
Denis de Rougemont
qui abandonne pour quelques semaines la bure du philosophe pour revêt
80
œuvre qu’Honegger met en musique sur un texte de
Denis de Rougemont
. Elle sera représentée à l’Exposition de Zurich et offerte au public
81
ravail diffère du genre purement théâtral, répond
Denis de Rougemont
à une de mes questions. Et ces différences sont ? Il a fallu se plier
82
-vous traduit, dans la pratique, ces nécessités ?
M. Denis de Rougemont
, un instant, songe, puis répond : Il y a donc un personnage central,
83
jeu d’acteurs, des réactions de la foule. Ce que
Denis de Rougemont
pas plus qu’Honegger n’avouent, c’est la joie qu’ils ont eue à créer
84
En marge de l’exposition : Nicolas de Flue vu par
Denis de Rougemont
, mis en musique par Arthur Honegger », La Patrie suisse, Genève, n° 2
85
tlérisme (14 juillet 1939)o Il était juste que
Denis de Rougemont
, cet homme sans domicile, ou plutôt aux innombrables domiciles, me re
86
tre rencontre la note de la maison. ⁂ Que dire de
Denis de Rougemont
? À peine connu il y a trois ou quatre ans, en dehors de quelques rev
87
anière risqueraient d’avoir de légèrement pédant.
Denis de Rougemont
anime les plus arides méditations et donne des ailes à la plus austèr
88
nt. Toutes les questions sont indiscrètes, répond
Denis de Rougemont
avec ce demi-sourire en coin qui fait son charme. Mon dernier livre m
89
ivre qui pourrait se concevoir en dehors d’elles.
Denis de Rougemont
parle lentement, en pensant ce qu’il dit. Parfois s’établissent entre
90
pêcher de compléter. Je ne le crois pas, réplique
Denis de Rougemont
. La passion a des racines naturelles. L’antiquité et l’Orient connais
91
aits amants, ne s’aimèrent pas. À la manière dont
Denis de Rougemont
répond : « C’est exact, en effet », on sent qu’il ne lui déplait pas
92
passionnels, tel l’hitlérisme. En homme prudent.
Denis de Rougemont
me recommande pour terminer d’insister sur le fait qu’il n’a pas voul
93
. La NRF continue d’étendre sa présence autour de
Denis de Rougemont
. o. « Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme », Tribune de Fra
94
res les plus stricts, mais c’est très bien ainsi,
Denis de Rougemont
et le directeur de la Guilde « en campagne », car nous sommes n’impor
95
lettre : « Le dialogue qui s’est poursuivi entre
Rougemont
et Davenson, après la note de ce dernier dans Esprit d’avril, nous a
97
e ne donne pas lourd de notre indépendance. Lt D.
de Rougemont
III/20. q. « Pourquoi nous sommes là », La DAC, Berne, n° 1, décemb
98
e inertie, c’est notre tâche patriotique. Plt D.
de Rougemont
. Adjudance générale de l’Armée Section Armée et Foyer t. « D’un c
99
p. 1-2. Présenté par cette note : « L’article de
Denis de Rougemont
publié dans La Coopération du 20 janvier a suscité beaucoup d’intérêt
100
folie devient évidente aux yeux de tous. » Plt D.
de Rougemont
6. Bien entendu, si je suis vivant après cette guerre, j’espère que
101
Neutralité (3 mai 1940)e
M. Denis de Rougemont
a eu l’aimable pensée de nous communiquer le « billet » ci-dessous qu
102
du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis :
M. Denis de Rougemont
nous dit… (23 août 1940)af J’ai tenté de retarder mon départ de qu
103
du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis :
M. Denis de Rougemont
nous dit… », Curieux, Neuchâtel, n° 34, 23 août 1940, p. 1. Propos re
104
s par F. G. et précédés de la notice suivante : «
M. Denis de Rougemont
s’en va. Telle est la nouvelle dont on parlait sous le couvert depuis
105
dans la fondation de la “Ligue du Gothard”. Non,
M. Denis de Rougemont
s’en va en Amérique parce qu’il vient d’être chargé par la fondation
106
rieusement motivé et ne signifie nullement que M.
de Rougemont
fuit les responsabilités… ou qu’on l’éloigne de la scène politique. A
107
ent. » ag. La rédaction conclut les déclarations
de Rougemont
de ce commentaire : « On dit que la “Ligue du Gothard” a reçu de nomb
108
s le titre : Mission ou démission de la Suisse ,
Denis de Rougemont
, l’un des lauréats du prix Gottfried Keller 1940, publie, réunis en u
109
s nous suggèrent. Voici tout d’abord l’opinion de
M. Denis de Rougemont
à qui nous avions exprimé notre étonnement. Par une brève lettre daté
111
s publions est la conclusion d’une conférence que
M. Denis de Rougemont
a donnée en septembre à Rio de la Plata, sous les auspices de l’Églis
112
xistence personnelle du diable, due à la plume de
Denis de Rougemont
. Nous n’avons pas à présenter l’écrivain neuchâtelois aux lecteurs de
114
nt — intéresseront vivement nos lecteurs. » f. «
Monsieur Denis de Rougemont
, de passage en Europe, nous dit… », Gazette de Lausanne, Lausanne, n°
115
vante : « Après une absence de quelque six années
M. Denis de Rougemont
est revenu au pays de Neuchâtel, dont il est une des fiertés. Ce reto
116
« Selon
Denis de Rougemont
, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (
117
placé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)v M.
de Rougemont
est rentré d’Amérique. Il nous en parle simplement, avec ce sens de l
118
lle est la « leçon d’Amérique » que nous a donnée
M. Denis de Rougemont
. En conclusion, disons que lorsque Talleyrand affirmait qu’il avait t
119
avait tort qu’a cinquante pour cent… v. « Selon
Denis de Rougemont
, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique »,
120
message gonflé de réalités souvent insoupçonnées.
M. Denis de Rougemont
est rentré d’Amérique. Pas pour longtemps, puisqu’il se prépare déjà
121
nduit à l’insondable gouffre de l’abstraction. M.
de Rougemont
, lui, a vécu l’Amérique. Il ne s’est pas borné à la survoler : il l’a
122
erne le monde ! Bien avant la sanglante tragédie,
Denis de Rougemont
, dans son Journal d’Allemagne , définissait le national-socialisme,
123
chapeau suivant : « Notre brillant collaborateur,
Denis de Rougemont
, avait publié avant la guerre de prophétiques études sur l’Allemagne
124
a société, mais aussi leur manière de s’exprimer.
Denis de Rougemont
, qui fut un des premiers à soutenir l’engagement intellectuel, notamm
125
, Paris, n° 8-9, août-septembre 1946, p. 188-189.
Rougemont
répond ici à une enquête d’Esprit sur le thème « Monde chrétien, mond
127
s nous avons tenu à recueillir les impressions de
M. Denis de Rougemont
, l’un de nos plus brillants essayistes, dont la conférence, en l’aula
128
européen : dans la libre discussion, nous confie
Denis de Rougemont
. La liberté d’opposition est typiquement européenne. Même sans en tir
129
s des différents pays. » … Notez, nous dit encore
Denis de Rougemont
, que je passe pour un homme de gauche dans les partis de droite et po
130
rannie n’aboutit jamais à la liberté. On le voit,
M. Denis de Rougemont
nous prouve que l’esprit européen s’inspire d’une grande liberté et d
131
se le dialogue, c’est le totalitarisme qui sévit.
Denis de Rougemont
nous dit encore quel éloge enthousiaste tous les participants ont fai
132
arés et prédisposés pour une mission de ce genre.
Denis de Rougemont
souhaite encore que l’an prochain on invite des conférenciers américa
133
un an plus tard. 7. Cf. The Heart of Europe by
Denis de Rougemont
and Charlotte Muret, New York, 1941. Cet ouvrage est resté inédit en
134
ande qui, heureusement, n’y comprenait rien. Puis
Denis de Rougemont
et Maritain. Enfin, Aron et Dandieu et leur Révolution nécessaire… Av
135
unisme. Faisons sentir par tous les moyens, comme
Rougemont
en tête de son article de Demain, que si nous combattons le communism
136
ux rendu compte de cet état d’esprit complexe que
Denis de Rougemont
, dans son Journal d’Allemagne … » Il s’agit d’une scène de ménage. C
137
êts à le payer. 87. Cf. The Heart of Europe by
Denis de Rougemont
and Charlotte Muret, New York, 1941. Cet ouvrage est resté inédit en
138
Conversation à bâtons rompus avec
M. Denis de Rougemont
(30-31 août 1947)n L’émouvante profession de foi fédéraliste qu’a
139
ongrès des fédéralistes européens de la bouche de
M. Denis de Rougemont
a eu un retentissement considérable. Avec cette simplicité propre aux
140
urtoisie qui est la marque de l’homme bien né, M.
de Rougemont
nous a fait l’honneur de nous recevoir quelques instants. Je viens de
141
ins chez nous, c’est l’influence considérable que
M. Denis de Rougemont
a exercée aux États-Unis en faveur de notre pays. Il est trop modeste
142
que, se référant à l’ouvrage sur la Suisse de M.
Denis de Rougemont
, il a donné comme argument principal le cas de notre propre armée. En
143
re propre armée. En Europe même, les écrits de M.
de Rougemont
, ont marqué de leur influence une partie de l’élite intellectuelle de
144
ement personnaliste a été créé vers 1932 à Paris,
Denis de Rougemont
représentant l’élément protestant, Jacques Maritain, l’élément cathol
145
aussi originale. Nous avons posé la question à M.
de Rougemont
, qui nous a répondu simplement : De tout temps, j’ai été fédéraliste,
146
fédérée. n. « Conversation à bâtons rompus avec
M. Denis de Rougemont
», Tribune de Genève, Genève, 30-31 août 1947, p. 9.
147
tenu devant la cour le bouillant Me Duperrier : —
Rougemont
s’est mis au service d’une propagande étrangère, comme Oltramare ; il
148
deux cas étant identiques, il faut donc condamner
Rougemont
, mais il faut acquitter Oltramare. Vous n’y comprenez rien ? Ni moi n
149
ère manière au procès Oltramare par Me Duperrier,
Denis de Rougemont
répond sur le ton de la plaisanterie dans le dernier Bulletin de la G
150
c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)h
Denis de Rougemont
me reçoit dans l’agréable maison qu’il occupe à la sortie du village
151
, bientôt après, éclatait la bombe d’Hiroshima et
de Rougemont
écrivait aussitôt ses étincelantes Lettres sur la bombe atomique où
152
st l’homme qui fait son destin, me dit avec force
de Rougemont
. C’est lui et lui seul qui déchaîne les forces qui aboutissent à la b
153
oi elle se donnera. Il faut, précisément, reprend
Denis de Rougemont
, que cette double négation devienne une affirmation, sous peine de vo
154
surprenant Me Duperrier, brandissant le livre de
Denis de Rougemont
, Journal des deux mondes , se lance alors à corps perdu dans une acc
155
journal, il lit à la cour l’admirable morceau que
de Rougemont
a dédié à Paris envahi par les Allemands et qui, paru dans la Gazette
156
Me Duperrier, de me faire ici le dénonciateur de
Denis de Rougemont
. et dans la Feuille d’Avis de Neuchâtel : Les plaidoiries au procès
157
iries au procès Oltramare : où il est question de
Denis de Rougemont
L’avocat fait ensuite un parallèle entre l’attitude de son client et
158
e l’attitude de son client et celle de l’écrivain
Denis de Rougemont
qui, constate le défenseur d’Oltramare, est allé se mettre au service
159
service de la BBO. Il se demande si, ce faisant,
Denis de Rougemont
n’a pas mis la sécurité du pays en danger. Une calomnie Peu de
160
tenu devant la cour le bouillant Me Duperrier : —
Rougemont
s’est mis au service d’une propagande étrangère, comme Oltramare ; il
161
deux cas étant identiques, il faut donc condamner
Rougemont
, mais il faut acquitter Oltramare. Vous n’y comprenez rien ? Ni moi n
162
p. 4. Précédé de cette note : « Suisse d’origine,
Denis de Rougemont
s’est penché, dès sa maturité, sur les problèmes politiques de notre
163
des formules pilules. Il inquiète et fait penser.
Denis de Rougemont
, protestant libéral et personnaliste, a passé cinq années aux États-U
164
Rencontre avec
Denis de Rougemont
(janvier 1948)r Vive le lettrisme ! La belliqueuse inscription, gl
165
versant avec Brice Parain et le Père Bruckberger,
Denis de Rougemont
. Il laisse ses interlocuteurs penchés sur les bonnes feuilles du Chev
166
à l’heure. Mais, d’abord, il faut faire le point.
Denis de Rougemont
a 41 ans. Petit, trapu, l’œil sombre, le poil noir, le sourcil épais,
167
r avec les mains ? Je suis né à Neuchâtel, me dit
Denis de Rougemont
. J’ai fait des études de lettres en Suisse et en Autriche, à Vienne.
168
consacrés, en France, à Kafka. La guerre rappela
Denis de Rougemont
en Suisse ; il fut mobilisé à l’état-major de Berne. Lors de l’entrée
169
a bombe atomique. Nous étions voisins, me raconte
Denis de Rougemont
. Chaque jour, vers onze heures du matin, ce patriarche du nouvel âge,
170
t en vain, mais d’y entrer. Je n’interrogerai pas
Denis de Rougemont
sur les États-Unis. Il leur a consacré de nombreux articles dans des
171
e vient de se lever pour sortir. Il passe près de
Denis de Rougemont
, lui serre la main et l’entretient d’un petit restaurant où ils avaie
172
voyez ça : des cretonnes !… » À New York, reprend
Denis de Rougemont
, j’ai eu la visite de Sartre. Il m’a dit : « Les deux plus grands écr
173
e se désigner soi-même… par personne interposée ?
Denis de Rougemont
poursuit : Ce qui m’a le plus étonné, ici, dans la littérature, c’est
174
hez les plus grands écrivains d’à présent, me dit
Denis de Rougemont
, c’est leur internationalisme. Il leur faut dépasser leurs frontières
175
Europe. Je suis profondément européen, me déclare
Denis de Rougemont
. Mais je pense que notre continent ne peut être sauvé que par une org
176
emps des terribles simplificateurs. Je demande à
Denis de Rougemont
quels hommes prendraient part aux états généraux de l’Europe dont il
177
bée ; les passants se hâtent de rentrer. Bientôt,
Denis de Rougemont
quittera Paris et s’installera à Ferney, à l’ombre de Voltaire, l’un
178
’il faut contrôler. Adieu ! r. « Rencontre avec
Denis de Rougemont
», Paru, Paris, janvier 1948, p. 10-15. Propos recueillis par André B
179
t d’extraits de différents discours prononcés par
Denis de Rougemont
, et réunis dans L’Europe en jeu . Ils sont reproduits ici dans le ca
180
écembre 1948, p. 1-2. Présenté par cette note : «
Denis de Rougemont
, l’auteur suisse de tant d’essais réputés outre-Atlantique comme en F
181
a révolution neuchâteloise — le Procureur général
de Rougemont
… considérait la monarchie comme fatalement condamnée » (II. 242). « I
182
uelle. D’où septante-six ouvrages publiés par des
Rougemont
en Suisse, en France et en Allemagne, entre 1830 et 1900. Et cela va
183
ements. 2. (Réd. — Nous devons à l’obligeance de
M. Denis de Rougemont
de pouvoir publier ce texte radiodiffusé.) r. « Printemps de l’Europ
184
1949)i Depuis la fin du mois de février 1949,
M. Denis de Rougemont
, le grand fédéraliste, parle chaque semaine au micro du « dialogue »
185
ère nouvelle s’ouvre au Vieux Continent. Monsieur
de Rougemont
, pourquoi faut-il fédérer l’Europe ? Parce qu’il n’y a pas d’autre mo
186
5, 10 septembre 1949, p. 12. L’enquête à laquelle
Rougemont
répond ici est précédée du chapeau suivant : « Récemment, notre corre
187
ci l’avis de Paul Chaponnière, Jacques Mercanton,
Denis de Rougemont
et de Corinna Bille. D’autres suivront la semaine prochaine. […] Ce s
188
ision et la vigueur qui distinguent la réponse de
M. Denis de Rougemont
. Si ce Suisse très cosmopolite reconnaît, à son tour, que notre pays
189
ausanne, Lausanne, n° 291, 8 décembre 1949, p. 1.
Rougemont
répond ici à une lettre ouverte de Virgil Gheorghiu parue dans le mêm
190
er cette liberté qu’on se flatte de lui accorder.
Denis de Rougemont
l’expose fort bien dans les pages qui suivent et nous sommes entièrem
191
la conférence de Lausanne (NDLR). 7. Dirigé par
M. Denis de Rougemont
, avec la collaboration de M. Raymond Silva comme secrétaire général (
192
950, p. 19-25. Il s’agit du discours prononcé par
Denis de Rougemont
lors de la Conférence européenne de la culture qui a eu lieu à Lausan
193
extrait de l’importante conférence prononcée par
Denis de Rougemont
au congrès de La Fédération à Beaune. Nous tenons à remercier M. de R
194
a Fédération à Beaune. Nous tenons à remercier M.
de Rougemont
pour son autorisation de publier ces lignes qui suscitèrent, nous en
195
importants extraits de cinq lettres que notre ami
Denis de Rougemont
écrivit à l’intention des députés réunis à Strasbourg. La session d’é
196
y a un redoutable abîme entre les propositions de
Denis de Rougemont
et les résultats des travaux de Strasbourg. On trouvera ici, demain,
197
rait des cinq Lettres aux députés européens que
Denis de Rougemont
écrivit à l’occasion de la session de Strasbourg. »
198
Précédé de la note suivante : « Nous recevons de
M. Denis de Rougemont
, au nom du conseil de direction du Centre européen de la culture, la
199
tionnaire. Il est suivi d’une première réponse de
M. Denis de Rougemont
aux questions IV et V : […] — Quelle attitude, selon vous, la Suisse
200
nal du Congrès pour la Liberté de la culture, par
Denis de Rougemont
, directeur du secrétariat international du Congrès. a. « Faire la pr
201
récise : « Ce texte est extrait d’une brochure de
Denis de Rougemont
, intitulée Les Libertés que nous pouvons perdre , que nous publieron
202
Extrait du discours prononcé par
Denis de Rougemont
à l’inauguration du Centre (mai 1951)a Notre programme n’est pas s
203
s hommes. a. « Extrait du discours prononcé par
Denis de Rougemont
à l’inauguration du Centre », Bulletin du Centre européen de la cultu
204
b. « Neutralité et neutralisme. Le discours de
Denis de Rougemont
au congrès de Bombay », Preuves, Paris, n° 3, mai 1951, p. 20-21. Le
205
, du 28 au 31 mars. Au cours de cette conférence,
Denis de Rougemont
, qui représentait le Congrès international pour la liberté de la cult
206
toriser à reproduire un extrait de la brochure de
Denis de Rougemont
, Les Libertés que nous pouvons perdre , dont nous ne saurions trop r
207
presque croire à la Providence !… Mais dites-moi,
Rougemont
, quand on saura que vous habitez ici, qu’est-ce qu’on va dire ?… » Et
208
r la note suivante : « Ces tableaux de l’Inde que
Denis de Rougemont
rapporte d’un récent voyage forment un curieux contraste avec les pag
209
ion. C’est à celui-ci qu’est consacré le texte de
Denis de Rougemont
que nous publions ci-après, qui a servi de conclusion aux débats et a