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trarque, venant après celle d’une Civilisation de
Saint-Gall
non moins remarquable, le met aux antipodes de ces historiens contemp
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s réformateurs : Myconius, de Zurich ; Ritter, de
Saint-Gall
; Valerius Anshelm, de Berne (dès 1529) ; Stumpf, pasteur à Stein, et
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ian, le savant humaniste fondateur de l’Église de
Saint-Gall
, décrit la vie de Nicolas dans un ouvrage sur la Vie monacale. Il ins
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re un ami de Vadian, Hermann Miles (ou Ritter) de
Saint-Gall
, qui mentionne le Frère Claus avec de grands éloges dans un ouvrage d
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ch) ; de Vadian (Joachim von Watt, réformateur de
Saint-Gall
et grand humaniste) ; d’Œcolampade (réformateur de Bâle) ; d’Ulrich C
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on, vers l’est cette fois, et c’est Glaris, c’est
Saint-Gall
, qui restent collés au flanc de la masse compacte. Quelques mouvement
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génieurs de Lausanne, l’Université commerciale de
Saint-Gall
, l’Institut des hautes études internationales de Genève : soit onze é
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itait donc la Suisse. Bien plus, un industriel de
Saint-Gall
avait intérêt à faire passer ses produits destinés à l’Italie par le
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e abbaye princière d’Einsiedeln, la cathédrale de
Saint-Gall
et les églises de la campagne lucernoise, Beromünster, Ettiswil et Su
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points extrêmes de la Suisse actuelle : Genève et
Saint-Gall
, Porrentruy et le Stelvio. Du Righi, l’on voit par temps clair la cha
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d’Argovie, de Thurgovie, de Vaud et du Tessin.
Saint-Gall
et les Grisons, qui avaient mené jusque-là des politiques indépendant
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les princes-évêques de Coire, de Constance et de
Saint-Gall
, variablement coalisés, souvent en guerre les uns contre les autres,
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isse plutôt qu’à la traverser. Les industriels de
Saint-Gall
envoyaient leurs produits à Genève par Besançon et en Italie par le B
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illes villes de culture et de commerce de Genève,
Saint-Gall
et Bâle furent d’abord des terres et des cités épiscopales, rattachée
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achines, les populations de la Suisse orientale —
Saint-Gall
et Zurich — avaient porté l’industrie textile à son plus haut point d
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e abbaye princière d’Einsiedeln, la cathédrale de
Saint-Gall
et les églises de la campagne lucernoise, Beromünster, Ettiswill ou S
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s successifs et parfois simultanés. Il y avait eu
Saint-Gall
. Son abbaye fondée au commencement du viiie siècle, sa bibliothèque
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tropes de Notker le Bègue et des autres moines de
Saint-Gall
au ixe siècle, jusqu’aux oratorios d’Arthur Honegger, je ne trouve p
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lon l’étude récente du professeur Kneschaurek, de
Saint-Gall
, une dépense d’un milliard de francs pour couvrir ce programme d’ici
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officiels. Plus tard, il fait de longs séjours à
Saint-Gall
et en Appenzell. Il meurt à Salzbourg en 1541. 113. On doit à Jacque
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ie plus aisément. Sans même parler de l’abbaye de
Saint-Gall
, source principale de la musique européenne (séquences et tropes de N
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lie ; s’enrichit aux couvents de Jumiège, puis de
Saint-Gall
avec les séquences et les tropes de Notker ; se constitue d’une maniè
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de l’Europe. On y verrait s’allumer, par exemple
Saint-Gall
, son abbaye fondée par des moines irlandais au commencement du viiie
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à rappeler que depuis la fondation de l’abbaye de
Saint-Gall
et celle de l’Université de Bâle, l’apport de la Suisse à la culture,