1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
1 trarque, venant après celle d’une Civilisation de Saint-Gall non moins remarquable, le met aux antipodes de ces historiens contemp
2 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
2 re un ami de Vadian, Hermann Miles (ou Ritter) de Saint-Gall , qui mentionne le Frère Claus avec de grands éloges dans un ouvrage d
3 ch) ; de Vadian (Joachim von Watt, réformateur de Saint-Gall et grand humaniste) ; d’Œcolampade (réformateur de Bâle) ; d’Ulrich C
3 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
4 s réformateurs : Myconius, de Zurich ; Ritter, de Saint-Gall  ; Valerius Anshelm, de Berne (dès 1529) ; Stumpf, pasteur à Stein, et
5 ian, le savant humaniste fondateur de l’Église de Saint-Gall , décrit la vie de Nicolas dans un ouvrage sur la Vie monacale. Il ins
4 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Suisse 1848-Europe 1949 (II) (13 juin 1949)
6 ’état de l’Europe d’aujourd’hui. Un commerçant de Saint-Gall qui voulait vendre ses produits à Genève devait payer tant de droits
5 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
7 on, vers l’est cette fois, et c’est Glaris, c’est Saint-Gall , qui restent collés au flanc de la masse compacte. Quelques mouvement
6 1953, La Confédération helvétique. Chapitre IV. La famille et l’éducation
8 génieurs de Lausanne, l’Université commerciale de Saint-Gall , l’Institut des hautes études internationales de Genève : soit onze é
7 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
9 itait donc la Suisse. Bien plus, un industriel de Saint-Gall avait intérêt à faire passer ses produits destinés à l’Italie par le
8 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
10 e abbaye princière d’Einsiedeln, la cathédrale de Saint-Gall et les églises de la campagne lucernoise, Beromünster, Ettiswil et Su
9 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Puissance du mythe
11 points extrêmes de la Suisse actuelle : Genève et Saint-Gall , Porrentruy et le Stelvio. Du Righi, l’on voit par temps clair la cha
10 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
12 déjà « villes impériales » Soleure, Schaffhouse, Saint-Gall et Zurich.
11 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Le pacte de 1291 a fondé la Suisse »
13 d’Argovie, de Thurgovie, de Vaud et du Tessin. Saint-Gall et les Grisons, qui avaient mené jusque-là des politiques indépendant
12 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
14 les princes-évêques de Coire, de Constance et de Saint-Gall , variablement coalisés, souvent en guerre les uns contre les autres,
13 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
15 isse plutôt qu’à la traverser. Les industriels de Saint-Gall envoyaient leurs produits à Genève par Besançon et en Italie par le B
14 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
16 illes villes de culture et de commerce de Genève, Saint-Gall et Bâle furent d’abord des terres et des cités épiscopales, rattachée
15 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 2. Les paradoxes de la vie économique
17 achines, les populations de la Suisse orientale —  Saint-Gall et Zurich — avaient porté l’industrie textile à son plus haut point d
16 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
18 e abbaye princière d’Einsiedeln, la cathédrale de Saint-Gall et les églises de la campagne lucernoise, Beromünster, Ettiswill ou S
19 s successifs et parfois simultanés. Il y avait eu Saint-Gall . Son abbaye fondée au commencement du viiie siècle, sa bibliothèque
20 tropes de Notker le Bègue et des autres moines de Saint-Gall au ixe siècle, jusqu’aux oratorios d’Arthur Honegger, je ne trouve p
21 lon l’étude récente du professeur Kneschaurek, de Saint-Gall , une dépense d’un milliard de francs pour couvrir ce programme d’ici
22 officiels. Plus tard, il fait de longs séjours à Saint-Gall et en Appenzell. Il meurt à Salzbourg en 1541. 113. On doit à Jacque
17 1971, Articles divers (1970-1973). L’Europe est d’abord une unité de culture (1971)
23 lie ; s’enrichit aux couvents de Jumiège, puis de Saint-Gall avec les séquences et les tropes de Notker ; se constitue d’une maniè
18 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
24 ie plus aisément. Sans même parler de l’abbaye de Saint-Gall , source principale de la musique européenne (séquences et tropes de N
19 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
25 de l’Europe. On y verrait s’allumer, par exemple Saint-Gall , son abbaye fondée par des moines irlandais au commencement du viiie
20 1988, Inédits (extraits de cours). « L’heure est venue. Allons-y » [préface d’Alexandre Marc]
26 à rappeler que depuis la fondation de l’abbaye de Saint-Gall et celle de l’Université de Bâle, l’apport de la Suisse à la culture,